Où sommes nous ?

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Nous étions à peine réveillés,  les filles quand à elle somnolé encore un peu, il faisait très froid, et l'odeur était réellement nauséabonde, qui me donne envie de vomir.

Je ne savais pas quoi faire je me sentais faible, comme si j'avais été drogué ou battus, et au loin j'entendais une voix familière qui hurlais...

"S'il vous plaît sortez moi d'ici, je vous en prie"

Les filles commençais à ouvrir les yeux et comme je m'en doutais c'est devenu dramatique

K : On est ou la ? on fou quoi ici putain ? J'ai mal à la tête en plus.

E : On as été kidnapper vous croyez ? Enfin je dit ça comme sa... , en plus je suis à moiter dans le col-tard, j'arrive même pas à ouvrir les yeux.

B : J'en sais rien je sais juste que ça fait 5 minutes que je suis réveillé et que je ne comprends pas ce qui se passe, je me souviens juste d'un homme à notre porte qui nous as gazé.


Oui en effet je ne me souvenais que de sa et je me demande encore si mes souvenirs sont légitimes car toute cette histoire parait si improbable que moi même je me demande si nous sommes vraiment piégé ou si ou nous as fait une mauvaise blague et j'étais assis je regarder autours de moi i n'y avais rien mis à part une grande porte face à nous, et je m'y avancé pour voir ce qui en retourne, mais au moment ou j'allais l'ouvrir, Kassandra se mis à hurlée :

K : NON, ne l'ouvre pas !!! On ne sais pas de quoi il en retourne on ne sais pas ce qui va se passer, si on va être attaqué, ou si la pièce va explosée! Je pars sans doute loin je le sais mais si une personne complétement taré à été capable de nous endormir et nous trainer jusqu'ici je me demande de quoi encore cette chose et capable...

B : Oui tu as sans aucun doute raison, mais nous n'avons plus le choix, on ne peux pas rester indéfiniment ici à moisir, i faut que l'on fasse quelque chose et vite avant que l'un d'entre nous fasse une erreur et pète un plombs.

Je sais bien qu'elle avais raison mais moi aussi je sais que Élisa ne va pas tenir encore longtemps elle est banche comme un cul et regarde autours d'elle sans dire un mot ! J'ai l'impression d'avoir en face de moi une folle dans sa chambre d'asile psychiatrique

B : Les filles restées s'il vous plaît le plus loin possible de cette porte vous ne devais vous en approchez seulement lorsque je vous le dirais, si comme vous dites il y as un soucis, je préférè être le premiers à en subir les conséquences.

J'avais peur mais je voyais à leurs visage que elles même n'aurais pas été et plus je m'approcher, plus mon angoisse grandissais, alors je me suis retourné et je les ais vu toute les deux dans un coin, sale et déboussolées, leurs regards me disais n'y va pas, on ne veux pas te voir mourir. Je n'avais pas e choix il fallait que je me dévoue car je n'aurais pas pu rester indéfiniment dans cette pièce, j'espère juste que ma dernière image ne sera pas la vue de mes deux amies tétanisées dans un coin.

J'avais mes deux main sur la pognée de la porte, c'était vraiment dur à ouvrir, mais avec la peur au ventre et la force de la détermination j'ai réussi a la déclenché, j'ai essayé de voir par l'ouverture mais en vain. Il fallait que je l'ouvre, alors je saisis la porte et tira de toutes mes forces, et la seule choses que l'on as entendu c'est un fracas de ferraille et un minuteur qui se déclencha, il était en haut de la porte, et les lumières se sont allumés, la seule chose que je voyais c'était le visage des filles, qui regardais au dessus de la porte ou le minuteurs indiqué qu'il nous restais 30 minutes.

Mais 30 minutes de quoi ?


TraquésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant