Seuls et allongés sur le sol, gisait les corps de mon cousin Kevin et de sa femme Amélie, je ne savais même pas si il étais en vie, d'un pas sournois, j'avançais vers eux, m'abaissa à leurs niveau, et par soulagement je vis qu'il respirer, je leurs tapotais l'épaule et leurs dis :
B : Hé ho ! Réveillez-vous, vous avez atterri là comment ? Vous vous en souvenez ou c'est le trou noir ?
Kevin se racla la gorge et ouvrais doucement les yeux, avant défaire une crise de panique, je devais le calmer, mais il ne voulais rien entendre, j'ai du alors employé la manière forte, en lui mettant une claque dans la figure. Il se calma un peu et repris ses esprits avant de me dire, que la dernière chose qu'il avait aperçu était une silhouette encapuchonné et du gaz soporifique.
K : Mais c'est quoi cet endroit ? Une sorte de lieu celtique ? Un terrain de jeux ? Je sais pas dit moi, c'est une blague ou un truc dans le genre ?
Amélie se réveilla, pile poile pour le récit de toute mes aventures, j'ai commencer par parler de la pièce sombre, de la voix,des portes numérotés, j'ai raconté comment j'avais sauver Amandine et comment je l'avais perdue, comment sa fille s'est noyée, comment Kassandra, Élisa, et les autres on tous péris, les épreuves, le sangs, les pièges mortels... Il me regardais sans trop me comprendre, je crois qu'il était mort de trouille, et je les comprends, c'est une horreur d'encaisser ce genre de nouvelles alors que l'on es encore dans le brouillard.
A : Si j'ai bien compris, tout le monde est mort ? Alors il faut faire quoi ? C'est notre tour à nous ? Il va falloir que l'ont souffre pour s'en sortir ?
B : Je n'en sais rien, la voix m'a ordonner d'aller dans la chambre 1 et que je n'aurais plus d'instructions, que pour moi s'en étais fini!Il fallait juste que je trouve une porte de sortie, c'est tout.
K : Ah ! C'est tout ? Mon dieu que c'est simple, des morts et toi qui es blesser, mais oui trouvons la porte de sorti,C'EST TOUT !!!
Je devais trouver la sortie, si la voix ne m'avais pas menti, la sortie se trouvais dans cette chambre, il fallait racler les murs,les sols, les plafonds, sans succès ! Et je me suis dit qu'a se moment là, peut-être qu'ils avais raison ! Et si eux aussi il avais une épreuve à passer, si ils devais faire quelque chose pour déclencher un mécanisme ? Je me mis alors en quête d'un goupillon, sans leurs dire bien entendus, sur le sol je remarqua alors, une sorte de brise de vent glaciale, elle émanais du dessous du mur, je compris alors que notre porte vers la liberté se trouvais juste là, peut importe ce qu'il fallait sacrifié, un bras, une jambe ou même mes dents, je m'en fou je veux partir .
B : Venez vite, j'ai trouvé une porte !!! dépêchez vous,aidez moi a l'enfoncer
Ils y avais des feuilles morte partout, il fallait les dégager,au bout de quelques minutes, nous avions réussis à voir la lumière du jour, il fallait que nous trouvions désormais la sortie, mais il n'y avais rien, pas une poignée ni d'ouverture, ni de goupillon comme sur les autres porte, d'un coté j'étais rassuré, car les dernières goupilles qui ont été arraché on coûter la vie a tout mes amis, je regardais mon cousin, avec peine, car je n'avais pas envie de le voir mourir, j'ai énormément de mal à supporter la perte de mes amis, mais je n'imagine pas celle d'un membre de ma famille, je vis Kevin, il avait trouver quelques choses, et il tira dessus, je n'eus le temps de lui dire de ne pas faire ça, mais rien ne se passa, pas un bruit, la voix ne revint pas.
K : J'ai fait quoi ?
B : J'en sais rien, mais j'espère rien de grave
A : Les garçons ? La porte elle est entre-ouverte ...
Elle avait raison la porte venais de s'ouvrir, il fallait être prudent, avancer à pas de loup, nous n'étions sur de rien, tout pouvais arrivé, Élisa en avais subit les conséquences, Amélie,d'un courage sans nom tira dessus, et l'ouvrit complètement, courage sans nom ou complètement conne.
Nous étions face à une immense forêt, lugubre, mais l'air était si bon, si pénétrant, j'avais ce sentiment de revivre à nouveau,sans perdre une seconde je me suis jeter dehors je ne voulais plus mettre un pied dans ce lieu atroce, les autres emboîtais mon pas, et nous nous retrouvions enfin dehors, l'air était frais, pur, la nuit était tombé, mais au moins nous étions en sécurité, j'avais l'impression que tout ce calvaire pris fin une bonne fois pour toute !
Un coup de feu retenti dans la pénombre, puis un deuxième, je savais qu'on allait pas être si tranquille, que tout ça était planifier ! Pris de panique Kevin s'en alla d'un coté prenant Amélie par la main, j'étais affolé, je ne savais pas quoi faire je les avais déjà perdus de vue, je ne savais pas ou ils avait disparus, milles et unes questions dans ma tête à ce moment précis,mais une seule raisonna plus que les autres, il me fallait un endroit pour me cacher, mon bras me lançais énormément, j'ai l'impression qu'une aiguille es encore coincé dedans ! Je marcher quand je percuta quelqu'un...
B : Vous avez foutu quoi ? Vous m'avez laisser seul dans la forêt ! Vous êtes des grands malade de vous aventurés seul alors que des gens nous cherchent.
K : Désolé, j'ai pris peur, je crois que j'ai paniqué, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai voulu ensuite retourner sur mes pas mais j'ai vu deux grande silhouettes qui traînais, alors on as préféré rester cacher.
A : Et moi il m'a pris la main je n'ai pas compris ce qu'il m'arriver, et par ailleurs comment sais tu que c'est nous qu'il cherche ?
B : Tu rigole Amélie ? Tu n'en déduis pas la même chose ?Vu notre situation tu ne crois pas qu'il es plausible qu'ils nous cherche ?
A : Oui, vu de cet façon c'est sur, il faudrait que nous élaboration un plan pour les piéger et essayer d'en finir avec eux,mais c'est plus facile à dire qu'a faire, alors vous avez des idées ?
K : Non, aucune je n'arrive pas à réfléchir quand j'ai peur.
B : Moi je n'ai pas peur, je ne sais pas pourquoi mais je me disque si ils avais eu à nous attaqués ils l'aurait déjà fait non ? Et si tout ça n'étais encore qu'un de leurs stupide jeu ?
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase que je vis le visage de mon cousin devenir sombre et menaçant, et que mes yeux se fermèrent et tout devin noir...
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Traqués
HorrorNous sommes trois adultes sans histoires, propre sur eux et qui ne demande rien a personne nos journée étais banale dans notre petit appartement , sauf quand Kassandra as trouver cette grosse enveloppe dans sa boîte aux lettres, cette enveloppe co...