Nous allons jouer à un jeu

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30 minutes de quoi, je ne comprenais pas du tout et les filles qui n'était pas du tout rassurante, qui parlais d'une bombe ou de fou dangereux qui voulais notre peau ! Moi je reste basé sur le fait que ceci n'est qu'une mauvaise blague ou encore mieux un rêve éveillé ! Je suis tétanisé, apeuré je n'ai même pas de mots pour décrire ce que je ressens à ce moment précis de ma vie, car je suis une personne qui as peur de l'inconnue et cette angoisse de ne pas savoir ou je vais, de ne pas savoir ce qui m'attends.

B: Les filles ? Il faut vraiment qu'on s'en aillent, il faut qu'on passe la porte et qu'on avance !

K : Je ne sais pas, si c'est prudent de faire ça !

E : Oui, mais si on ne bouge pas, on ne risque pas de savoir ce qui va nous arriver

B : C'est ce que je dit depuis 5 minutes !!! allez on y va et on verra bien ce qui nous attends

Je pris mon courage à deux mains et j'avance vers la porte, les filles me suivent à petit pas, peu sûre d'elles, plus j'avançais et plus j'avais peur de ce qui nous attendais, au moment ou nous étions sortis de la pièce des dizaines de flèches au niveau des plaintes du mur se sont éclairées et une voix de femme retentit dans la pièce.

<< Bonsoir vous trois, j'espère que vous avez fait bon voyage ?, Veuillez suivre les directions fléchées et avancés jusqu'en salle 100, une fois à l'intérieur vous aurez une goupille sur la porte tirés dessus et laissez vos guidez. >>

E : C'est quoi ça ? C'est une blague !

K : Je n'en sais rien mais je préfère arrivé avant la fin du compte à rebours, quoi qu'il puissent se passer

Je sentais sa voix qui tremblais, je n'osais même plus parler, je me contenta d'avancer dans la direction que la voix nous avais dit, plus les minutes passer et plus j'avais mal aux jambes, je voyais les salles qui défilées, '' 1, 2, 3, 64, 65....''. Je n'en pouvais plus de tout ça, j'étais fatigué, enfin arrivés devant cette porte 100, nous hésitions à rentré, je n'avais pas la force de le faire et les filles non plus jusqu'au moment ou Élisa se précipita.

E : Poussez-vous ça commence à me gonflée !!!

Nous étions abasourdis par ce courage dont elle as fait preuve, nous étions dans un endroit encore plus sombre, alors je tâtais derrière la porte pour trouver cette goupille, je touchas enfin quelque chose et je tira dessus, la porte se ferma dans un fracas assourdissant, toutes les lumières se sont allumées et nous avons pu découvrir l'horreur qui nous attendais, il y avais une grosse machine avec une poignée, et une grosse vitre noire, et je ne savais pas ce qu'elle pouvais contenir, jusqu'au moment ou la luminosité se fit plus haute, mais pas énormément, je pouvais distingués une silhouette, féminine je dirais, elle étais accrochée en l'air, oh mon dieu c'est quoi ce putain de cauchemars, la voix ! Elle résonna une nouvelle fois.

<< Bonsoir vous trois, comme vous le voyez vous êtes dans la chambre numéro 100, la porte est fermée à nouveau et si vous voulez un conseil amical n'essayez surtout pas de l'ouvrir, car à la fin du temps imparti et si vous passer cette épreuve avec succès elle se déverrouillera toute seule. Vous avez donc en face de vous une boite, avec un levier à l'intérieur, il suffis juste de tiré le levier et vous et cette jeune femme pourrais partir de cette chambre sans soucis, si vous ne respecter pas ses règles l'un d'entre vous devra le payez au prix de sa vie ! Le cordage accroché sur son thorax est directement reliés au levier et aux pieux qui se trouve dans ses cotes, plus le temps se rapproche de la fin plus les pieux s'enfonce dans son corps ! jusqu'à la perforation totale, vous avez 10 minutes. >>

La salle enfin éclairé j'ai enfin pu voir son visage, et je n'en croyais pas mes yeux, plutôt je ne voulais pas le croire, je me suis rué sur la vitre et j'ai hurlé tout ce que je pouvais, je n'arriver pas à le croire, elle étais en face de moi des pieux dans ses cotes et du sang qui coulais cette vision me fit prendre conscience que cette situation n'étais bel et bien pas une blague de mauvais goût  mais que nous étions tombés dans une merde pas possible

TraquésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant