La source du mal

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Avec un énorme mal de crâne, j'ouvris les yeux et vis que mon cousin et sa copine était eux aussi dans les pommes, mais pourquoi avais il eu ce visage avant que ma vision ne se trouble ?



B : Kevin ! Réveille toi, pourquoi m'as tu regarder  comme ça ? Tu étais troublant, j'ai même cru que tu était derrière tout le système..



K : T'es fou ? Tu es ma famille, comment j'aurais pu faire du mal à ma famille ! Ils étais derrière toi, je voulais te prévenir en essayant d'être discret, et après nous avons pas pu nous enfuir, ils nous on sauté dessus, et il était impossible pour nous de s'enfuir.



A : Leurs visages, j'ai vu leurs visage, comment ont-ils pu ?



B: Leurs visage ? Tu peux développer ?



Amélie était blanche et toute transpirante, elle tremblais, et pleurer en même temps, je me demande bien ce qu'elle as pu voir, pour être dans cet état second.



K : Nos parents, c'était nos parents enfin ma mère et celle d'Amélie, je ne comprends toujours pas pourquoi et comment c'est possible mais c'est bien elles qui nous ont tous attaqués, tu comprends pourquoi nous sommes restés tétanisés face à elles ?



J'étais éberlué par leurs récit, je ne savais pas dans quel position me mettre, leurs parents ? Et ma tante ? Une tueuse psychopathe ? C'est impossible, je devais exploré les lieux à la recherche d'une issue, il n'y avais rien juste deux porte, nous étions dans une cabane en bois, avec de la lumière, des fenêtres, et deux putain de porte blindées! Elles Était impossible à ouvrir, comme par hasard j'ai envie de dire...



B : Encore une épreuve vous croyez ? Trouvez un goupillon, tout ce qui peut activé la cabane n'ayez pas peur, et tirer dessus, nous fouillâmes sans rien trouver, jusqu'au moment où je trouvais ce foutu goupillon, et tira dessus, et miracle une des portes à coté de mon cousin s'ouvrit, je me posa encore pleins de questions, que va t'ont découvrir de nouveau ? Et d'après les hurlement de mon cousin ce n'était pas du jolie jolie



K : Ce sont nos parents, notre familles, nos amis, tes amis, ils sont tous mort ?



B : Vu comment il sont mis comme des trophées je crois que oui, ils sont bel et bien mort, ferme cette porte s'il te plaît.



Il joint le geste à la parole et clôtura définitivement cette maudite porte, nous continuons par tout les moyens de partir d'ici, il ne restais plus personne de nos connaissances, alors qui nous retiens, et que veulent ils de nous, jene sais ce que l'ont as fait pour mérité et pour que notre entourage mérite ce carnage, ce bain de sang, et malgré nos efforts il n'y avais rien, aucun indice ! Pas de mot, pas d'armes, pas de mécanisme, pas de chaînes, c'était juste une pièce froide et vide, nous étions assis sur ce plancher un peu humide et même en réfléchissant il n'y avais aucune solution, et comme je commençais à me faire chier, il fallait que je m'en aille, mais pas question que le jeu s'arrête ici, ils vont continuer sans moi, je me suis assez amusé comme ça.



Je me lève donc en direction de la porte et sorti la clef de ma poche, sous les yeux abasourdis des deux guignols, j'ouvris la porte, sorti de mes chaussettes deux lames et de ma poche interne, un magnétophone et leurs lança le tout avant de m'enfuir et de les enfermer. Je continuais jusqu'à mon quartier général pour voir sur les vidéosurveillances ce qui se passais et si tout ce que j'avais mis en place se dérouler comme prévu, je les regarder, ils étais perdu comme deux rats dans une cage, ne savant pas quoi faire, il ne bougeais pas, je pris alors les choses en mains, et dit dans lemicro :



B : Allez bandes de mollassons, appuyer sur le bouton play et que je jeu commence.



Il appuya et ma voix retenti dans toute la cabane.



<< Coucou les amours, oui je sais ça peut surprendre, mais on s'y fais vite, alors pour les petites anecdote, je met ça en place depuis plus d'un an avec l'accord de vos parents, bon de base ils ne devais pas mourir, mais n'ayant plus besoins d'eux j'ai pris la sage décision de les éliminés ! Pour le reste j'ai trouver les pièges seul, et construis tout,  Si j'ai des regrets d'avoir décimer mes amis et ma familles ? Pas du tout, c'était bandant ! Et je voulais terminer par vous, toi qui dis si bien que on ne touche pas à la famille, et bien détrompe toi, moi la famille je la saigne, je vous es donner deux lames, le principe est vraiment simple, qui de vous deux sera le plus égoïste ? Je Veux qu'il en reste un seulement, et ne pas vous toucher n'est pas la solution, car dans 30 minutes la cabane explosera et entraînera votre mort à tout les deux ainsi qu'a la petite sœur de Kevin et la grande sœur d'Amélie, si un de vous deux sort vivant, je libère vos deux sœur, allez Kevin, son sang doit être ta porte de sortie, avant qu'elle ne se jette sur toi. >>



C'est parti pour 30 minutes ...



FIN

N'hésitez pas à me dire en commentaire ce que vous en avez penser, et si vous avez des idées pour d'autres récits :) ❤️

TraquésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant