Une de pendu, une de retrouvée

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Elle arrivais de plus en plus près, et je ne distingué qu'une simple silhouette en contre jour.

Une petite voix tremblante se fit entendre :

Amandine : Brandon ? C'est moi ! Amandine...

Je ne savais plus quoi pensé, j'étais mitigé entre le soulagement et la peur, j'avais d'un coté ma meilleure amie qui étais en vie et de l'autre une autre amie qui était morte, dans cette situation, je suis perdu, je ne sais comment réagir, alors je lui sourit, elle me rendis mon sourire.

La voix se fît entendre une nouvelle fois

<< Salut à vous trois, une personne doit être morte à ce que je vois, c'est une bonne chose, dirigez vous vers la salle numéro 86 et attendez les instructions, ne faite des choses que vous pourriez regretter par la suite>>

Nous n'avions pas le choix, on devais suivre les règles qu'on nous donner, je ne voulais ni perdre la vie, ni qu'un de mes proches perde la sienne, nous avancions alors dans ce couloir lugubre, et une fois devant, je suis devenu un peu retissant quand a ouvrir cette porte, mais je me suis souvenu des règles imposes, si ont les suis à la lettre ils ne nous arrivera rien, Amandine avais les cotes semi-broyée et avait du mal à avancer, Kassandra était blanche comme un cul, et mon bras me faisait souffrir et le compte à rebours continuais a perdre des minutes ils nous en rester 16 et on ne savais toujours pas ce qu'il allait arrivé à la fin.

Nous étions tout les trois devant la porte 86 et attendions quelque chose, un mécanisme ou n'importe quoi pour entrer dans la salle, et en cherchant aux alentours de la porte je vis un bouton jaune.

A: Tu compte pas appuyer dessus quand même ?

K: Ah non tu vas pas contredire madame la voix, sinon elle pourrait nous tués un par un !!

B : Tu crois réellement que c'est le moment pour rire ? Surtout que derrière la porte c'est pour ta pomme ! Et Amandine je n'ai pas le choix ! si je ne le fait pas on risques tous gros.

J'appuyai alors sur le bouton et la porte s'ouvrit, nous entrons alors dedans, et comme d'habitude dans le noir, une fois de plus la vois se fit entendre.

<< Salutations, Brandon, tu as eu raison de pousser le bouton tu as compris mon petit système ! Pour l'épreuve qui va suivre je demande à Kassandra de s'approcher de la vitre teinté et me mettre ses deux pieds dans les étriers et de pousser les tes bras dans les blocs, ça va piquer un peu, mais au moins tu pourra la sauver, ta mère est suspendue au dessus d'une cave d'acide transparente, plus les minutes passe plus la balancelle descends, jusqu'à dissolution de chaque parcelle de son corps>>

K : Quoi mais c'est pas vrai, c'est une blague ? Maman, je vous en prie arrêtez tous, pas ma mère

Elle hurlais, ses cris étais déchirant, me brisé le cœur, ils avais osé mettre sa famille en danger, mais qui est assez déranger pour commettre des actes comme ça ? Et je vis mon amie avancée seul et mettre ses pieds dans les étriers et d'un seul coup ils se transformèrent en piège a loup, et lui broya littéralement les chevilles, ses cris de douleurs me monter à la tête et me fit vomir, le bruit de ses os qui craquer me fit frémir de dégoût, elle devais à présent mettre ses mains et pousser le plus fort possible, mais à bout de force elle lâcha prise.

B : Ne lâche pas prise, je sais que c'est douloureux, je sais ce que tu subit, mais ne faiblit pas ! Ne te laisse pas abattre, sauve ta mère, tu dois être forte et ne pas succombé à la tentation de tout abandonner, personne ne va mourir tu m'entends ? PERSONNE !!!!

Je n'étais pas du tout convaincu par mes propres paroles, je savais que j'allais perdre Kassandra, ses chevilles allais bientôt lâcher et ses bras seront probablement arraché de son corps, une une horreur comme ça, je ne supporte pas cette idée, mais absolument pas, je voyais pourtant mon amie pousser ses bras de toute ses forces dans les deux encoches, pendant que sa mère, descendais de plus en plus près de l'acide, ses bras étais dans les encoches, mais elle ne poussais pas elle n'avais pas de force, elle perdais beaucoup trop de sang, et arriva le moment que je redouté le plus ! Les pieds de sa maman trempèrent dans l'acide, je les voyais qui commençais à se dissoudre et ses hurlement étais atroce, je voyais sa peau fondre, ses os se dissoudre, Kassandra ne bougeais plus elle était inerte, elle avais du perdre connaissance, et je voyais le corps de sa mère complètement en morceau baignant dans les lambeaux de chair, de sang et de vêtement, il fallait que je réveille Kassandra et lui annoncer son échec.

B : Kassandra ? Réveille-toi, c'est fini ta maman est morte, ne regarde pas le miroir, laisse moi t'aider à te détacher.

Elle ne parlais plus, elle étais comme morte, mais toujours en vie, je n'arrivais pas à défaire les liens de ses mains, elles étais sellés ! La voix s'exprima de nouveau :

<< Kassandra, ma chère enfant, tu n'aura pas réussie à sauver ta pauvre maman, comme quoi tu ne pense toujours qu'a toi, tu préfère voir mourir ta famille plutôt que de souffrir un tout petit peu, c'est décevant, je suis dans l'obligation de dire que ton épreuve est un échec, les autre allez en chambre 45, un invité surprise vous attends>>

Kassandra murmura quelque chose :

K: J'ai essayé, mais la douleur était bien trop forte...

Un bruit de chaînes se fît entendre, je vis alors ses bras se détendre de plus en plus, j'avais peur, je ne voulais pas la voir mourir sous mes yeux il faillais que je l'aide, je tirais de toute mes forces, en vain, et c'est alors que ses bras s'arrachèrent en laissant son corps sans vie jaillir sur le sol.

TraquésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant