chronique : baba ta dernière volonté a été de me marier je les donc accepter

Introduction

A3lekoum salem

Donc je vais commencé par le commencement ce 3 septembre 2007 , ce jour gravé en moi le pire jour de ma vie , le jour où j'ai perdu l'homme de ma vie celui qui m'a élevé celui a qui je me confié oui mon père était mon confident comment vais-je faire sans l'homme de ma vie , celui qui a élevé ses 6 enfants avec tant de souffrance ! oui comme toute les familles rebeuse je suppose nous somme nombreux , bref ! Ou j'en n'étais ! Ah oui le jour ou on m'annonce que mon père a perdu la vie , je n'ai même pas eu le temps de lui dire au revoir que mon frère Kamel vient me dire cette nouvelle qui ma détruite , ces 5 secondes de ma vie les plus long les plus triste les plus douloureuse pour moi ! Comment faire face a cette nouvelles ?

Donc ce 3 septembre alors que je me levais pour allée au lycée ma meilleur amie Asmae vient me cherché en bas de ma tour comme tout les jours d'ailleurs , et oui je ne suis pas une fille digne d'une vie d'Holywood ou une fille pourri-gâté ou bien ses filles qui font un petite crise parce que elle n'ont plus de rouge à lèvre ou bien du verni à ongle assortie a leur vêtement , non moi je suis plutôt le genre de fille qui vit avec ce qu'elle possède , el hemdolileh je n'ai jamais manqué de rien grâce a mes parent l'homme et la femme de ma vie qui travaillait jour et nuit pour notre bonheur comment les remercié ? Quand on voit les ''teneur de mur'' entrain de s'échangeait du shitt ou je ne sais quoi , et quand il ''tombe'' c'est à dire en prison , nos parents comment sont -ils après tout sa ? Quand on vois nos parent pleuré a cause de cette terrible nouvelle ! Pourquoi les faire souffrir alors que eux font tous pour nous faire nagé dans le bonheur.... tant de question mais aucune réponse que Allah les aides ...

je disais donc ma chérie Asmae vient me cherché comme tout les jours , nous prenons le bus puis nous nous dirigeâmes vers notre lycée , premiers cour : Français , el hemdolileh j'aime bien cette matière notre professeur nous apprend et nous a jamais manqué de respect , je m'en sort plutôt bien avec 14 de moyenne , bref rentrons pas dans les détails ! Le cour se passe bien , ensuite le cour , le cour qui allée changé le cour de ma vie nous étions en cour d'anglais et je vis mon CPE entrée et me dit

CPE : Madame Samia ******** veuillez me suivre svp !

Qu'es-que j'ai bien put faire pour que le CPE vient me cherché je me posais mille et une questions au connerie que j'ai bien put faire avec Asmae ma complice , mais je ne savais pas que les questions que je cherché dans ma tête n'avais rien a voir avec se que je pensais ..
Je sort et je vois mon grand frère Kamel les yeux tout rouge , la première fois que je vit mon grand frère pleuré ! Le CPE s'en allât il restais plus que moi et Kamel !

Kamel : Samiia baba allah y rahmou

Moi je ne réalisais pas ! Non tout sauf ma famille personne peut les touché ! Après cette terrible nouvelle les mot qui résonnait dans ma tête '' baba allah y rahmou'' '' baba allah y rahmou'' '' baba allah y rahmou'' '' baba allah y rahmou'' ces paroles ne voulais pas sortir de ma tête j'ai pris au moins 10 minutes avant que mon cerveau digère le fait que mon père a quittais se monde , alors qu'au matin je lui avait fait un gros câlin et un bisous dans son front alors qu'il dormais comme un bébé , mais je comme pourrais-je imaginé que c'était le dernier câlin et que c'était le dernier bisous que je lui déposerez sur son front comment aurais pût imaginé ? Après ces paroles je hurlais , je me tapais les joue , les cuisses je me tirais les cheveux BABA NOON BAABA JE T'AIIME POURQUOII ?? POURQUOI BABA J'AI ENCORE BESOINS DE TOII BABAA JE SUIS ENCORE UN BEBE NAN PRENEZ MOII A SA PLAACEE '' je hurlais , pleuré me griffais j'étais en quelques sorte possédez Starf'allah !
Puis ensuite je m'évanouis , trou noir ! Je rappelle que j'étais encore au lycée ... en me réveillant j'étais dans ma chambre allongé sur mon lit , j'avais mal au bras s'en doute à cause de mes griffure mais la douleurs que j'avais au bras arrivé aux chevilles à celle que j'éprouvais dans mon cœur ...