Louis ouvrit la porte de la mienne et me laissa entrer.
Je ne vis rien, les volets étaient fermés et aucune chandelles n'étaient allumées.
Tout ce que j'entendis, c'est le bruit de la porte qui se fermait et le souffle de Louis sur ma nuque...
Gloups...La main de Louis se posa délicatement sur mon épaule.
- Que faites-vous ? Chuchotai-je fébrile
Il plaça son autre main sur ma hanche :
- Je profite de mon invité...
Ma respiration se bloqua pendant un instant. J'avais peur, j'avais chaud, je n'étais pas confiante et pourtant j'étais surexcité.
La main qui maintenait mon épaule longea mes courbes jusqu'à atteindre ma taille. Je sentis d'autant plus le souffle du futur roi sur ma nuque. Des lèvres avides vinrent se déposer sur ma peau frissonante.
Il déposa quelques baisers, léger et doux. Je sentais par sa respiration saccadé qu'il ne tiendrait pas longtemps la lenteur.- Vos frères ne seraient sûrement pas content si ils apprenaient ce que vous faites en ce moment... murmurai-je un tantinet apeuré
Louis prit une bouffée d'air et se força à parler :
- Rien ne m'empêchera de continuer à faire ce que je fais.
Il caressa ma nuque avec le bout de son nez.
- Pourquoi me toucher alors que je suis blessée...
Louis s'arrêta contrarié. Il souffla tout en se plaçant devant moi :
- J'irais doucement...
Il passa sa main derrière ma nuque et plongea son visage dans mon coup, pour me baisers, me caresser et quelque fois me mordiller délicatement.
- La domestique avait dit pas avant une semaine, tentai-je de le convaincre
Il me prit précipitamment le visage entre ses mains et appuya son front contre le mien, ce qui me fit couiner.
- Une semaine, c'est bien trop long... Ne t'en fais pas, je vais te faire du bien ! Dit-il d'une voix suave et grave
Il se pencha vers moi pour atteindre mes lèvres mais je reculai d'un pas.
- Ce n'est pas bien, lançais je au hasard
Louis leva un sourcil et avança d'un pas pour se coller à moi.
- Ah oui ? Me provoqua-t-il
Je devins rouge et détournai le regard. Je ne pouvais plus reculer, j'avais atteind le mur. Il me prenait littéralement en otage...
- Oui, ce n'est pas résonnable !
- Trouve un autre argument, souffla-t-il de plus en plus avide et de plus en plus impatient
- Vous et moi le regretterons...
- Et ?
Un silence s'installa, tandis que la main de Louis avait prit sa place dans le creux de mon dos.
-Je ne sais plus quoi dire...
Malgré le noir, je me doutais que le prince affichait un sourire en coin. Il mumura :
- Je ne vous ai jamais demander de parler...
Ses lèvres au bord de l'explosion se posèrent sur les miennes et il m'embrassa goulument. Il s'appuya contre le mur, ses deux bras de chaque côté de mon visage. Il embrassait terriblement bien mais je serrais consciensieument mes dents pour ne pas que les limites du résonnable ne soit dépassé. Louis tira sensuellement ma lèvre inférieur avec ses dents. J'eus un hoquet d'étonnement et il profita de ma surprise pour dessérer sa mâchoire et m'embrasser langoureusement. Avec une telle intensité que je pourrais perdre pied à tout instant.
Je sentis sa main caresser mon coup, son corps de serrant au mien et son avidité se décupler. Les limites étaient déjà franchie, je priais pour qu'un miracle nous stop mais je priais également pour que personne ne nous dérange et qu'il me fasse part de son expérience et de sa pratique.
Tout en continuant de m'embrasser, il me conduisit vers le lit. Mes jambes ne me portaient quasiment plus et il du me tirer jusqu'à lui pour que je le suive.
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L'amour est un jeu de garçons
Ficção GeralL'histoire que je vous présente se passe en des temps immémoriaux, où les rois gouvernaient sur leur peuple et où les princes cherchaient chaussures à leur pied. Je vous parle d'un lieu éloigné où les nobles étaient nobles et où les paysans étaient...