Chronique d'une renoi : love d'un turc

Partie 24

".. l'humanité part dans des extrêmes pour une simple différence. Comment peut-on juger ? Alors qu'on est rien, juste les créatures du Créateur.. On a pas tous la chance d'avoir nos deux parents, on a pas tous la chance de vivre dans une famille harmonieuse, on a pas tous la chance d'avoir tout ce que l'on souhaite, on a pas tous un génie caché dans une lampe qui exaucerai tout nos vœux. On oublie que le monde n'est pas un compte de fée mais seulement le monde réel. On peut se forger un monde féerique voir utopique, tout simplement en cherchant la bonne formule.."

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Salam Waleykoum,

Bismillah

La personne qui approchait n'était autre que Tolonay.

Lui : Sa va pas princesse ?

Moi : Princesse, ah ah le bon vieux temps, tu m'avais appeler comme sa avant quand on était amis, mais quand on a arrêté de l'être tu m'appeler plus comme sa pourtant j'aimais bien moi "princesse"

Lui : Je t'appelais plus comme sa parce que je pensais que tu savais que j'avais pas besoin de le dire parce qu'avant si je t'appelais princesse c'est uniquement parce que tu étais la princesse de mon cœur seulement tu ne le savais pas encore et moi non plus mdr, et puis pouruqoi le "on a arrêté d'etre amis" pour ma part tu n'as jamais cessé de l'être, parce que même si on était ensemble sa n'avait rien changé pour ma part tu l'étais toujours et tu le saura toujours c'est fou ein.

Moi : Ouais, comment tu sais que j'suis venu sur le toit ?

Lui : Rien qu'à ton attitude durant cette soirée, rien qu'au son de ta voix quand tu as dit que t'allais dodo, alors j'ai dit à Sidy que j'allais aller chez moi vite fait et je suis sortit le temps que tu te changes, je me suis cacher après vu que t'étais tellement pressée et que tu voulais pas te faire cramer, tu m'as pas vu alors je t'ai suivie et t'es montée ici, et comme t'étais perturbée tu m'as pas remarqué fin au début la t'as finit par me cramer, moi qui voulait juste te contempler mdr

Moi : Mdrr c'est fou n'empêche comme on se connait, la preuve rien qu'à mon attitude, même ma propre famille ne sait pas quand je met mon masque, prend cet air de guerrière, et fais la meuf fore or qu'à cette heure-ci j'n'ai qu'une envie : me barrer

Lui : Oui, mais moi je le vois, je le sens et j'aime pas sa, princesse tu sais si t'as besoin de parler je suis là ein !

Moi : Je te comprend pas

Lui : Comment sa ?

Moi : Y a peine quelques heures, tu me dis qu'il faut que je refasse ma vie

Lui : Oui et bah ?

Moi : Et bah moi je l'ai compris dans le sens ou je doit refaire ma vie mais sans toi

Lui : Je sais

Moi : Tu sais quoi ?

Lui : Que les actes que je viens de faire sont en totale contradiction avec ce que je t'ai dit tout à l'heure seulement c'est plus fort que moi, je te voyais mal et je n'avais qu'une envie c'étais de te prendre dans tes bras me demande pas pourquoi je suis comme ça, pourquoi je te dis de me quitter pour ensuite venir te parler, parce que c'est comme ça j'y peux rien même là c'est mes sentiments qui parlent, parce que maintenant là, en ce moment précis je n'ai qu'une envie : prendre un minimum de ta souffrance pour alléger en quelques sortes ton âme, et ton cœur.. Cela va faire 2 ans qu'on se connait princesse, deux ans tu t'en rend comptes

Moi : Je croyais que tu ne savais pas ? Enfin plus !

Lui : Comment j'aurai pu oublier ces deux ans de vie hella, je vais pas faire le zemel et tout parce que toi même tu sais que ce n'est pas mon genre, seulement auprès de toi on a surmonté tellement de chose ensemble, t'as raison je suis lâche de te lâcher comme ça, de prendre la fuite zehma comme un lâche, de choisir la solution de facilité !