Dédicasse à Melike25700 tesekur ederim ma askim ! :)
" Il y n'a pas que l'amour blesse, il y a les conséquences de certains de gestes. T'es parti. Ta famille pleure et la fête est finie. Il n'y a pas que l'erreur qui blesse, il y a le mal de l'absence qui reste, ce pour la vie, mais comment as tu pu finir ainsi ? "
**
Bismillah,
J'étais là, assise à même le sol, près de lui, ou du moins de ce qu'il en reste. Les yeux fermés vers le ciel et ma main posée sur mon coeur, je ne pensais plus qu'à lui, à lui et à ses grands et magnifiques yeux bruns, a son magnifique sourire, ses belles dents blanches, sa bouche, son nez.. Je pensais à sa force, à son mental qui lui à permis de changer, de grandir et de devenir un Homme sous mes yeux. J'étais bien là, assises à ses côtés. Je ne voulais être nul part a part ici, de plus je m'attardais à ce moment là sur chaqu'un de ces petits détails qui faisait de lui mon ame-soeur en me demandant ce qu'il aurai bien être s'il était encore là.
Cela faisait bientôt quatres mois, quatres longs mois, où je vivais jour et nuit dans le flou, où j'essaiyais d'avancer tant bien que mal. J'étais fatiguée, ésoufflée et lassée de devoir me battre seule contre cet amour qui vit en moi et qui ne fait que de s'accroitre, lassée, de devoir me battre contre moi-même pour effacer toute trace de haine dans mon coeur. Comme chaque jour en sortant de la fac, je venais ici, dans notre endroit, parce que oui, dorénavant ici, était mon seul refuge, l'endroie ou je me sentais le plus bien, où je pouvais penser à Tolonay en tout sérénité, c'est fou comme ici, je le sentais si proche de moi mais pourtant si loin à la fois. Après quelques minutes de relâchement, je me devais de rentrer, alors comme chaque jour, je me força à avancer, d'un pas las pour rentrer chez moi.
S'il n'en tenait qu'à moi, je parsserai ma vie ici auprès de toi, Tolonay.
D'un pas lourd, je sortis de ce cimetière et me dirigea vers la cité, par chance, je n'avais que 20 minutes de marche à faire, mes ce temps me permettais encore de rêvasser. Il y avait un vent frais mais encore assez chaud, d'Octobre, cela faisait que quelques temps que nous avions repris les cours, mais à vrai dire j'étais tellement à fond dedans et bien décidée à faire tout mon possible pour valide ma quatrième et avant dernière année.. J'avançais tranquillement tout en réfléchissant.
C'est bien sa ton problème dorénavant Fatou, tu réfléchis trop ! -Oh va te faire satanée conscience !
Quand soudain une personne me rentra dedans sans faire exprès je pense.
Elle: Je suis désolée, je ne vous avez pas vu et je..
Moi : Ce n'est pas grave.
Je ramassa mes affaires et me releva, quand je réalisa que cette personne n'avait toujours pas bougée d'un poils et était toujours là à m'observer.
Moi, relevant la tête : Ah Firdev
Firdev : Si je savais que c'étais toi crois-moi que je ne me serai même pas excusé
Je la regarda bien dans le blanc des yeux, elle avait beaucoup changée et surtout maigri. La Firdev que j'ai connu auaparavant était certes arrogante mais pleine de vie. Tandis que celle qui se trouvait en face de moi, à ce moment précis, était comme effacée, elle semblait perdu, et triste, mais surtout elle débordait de rage en elle.
Comme quoi ton abscence nous pèse tous..
Moi : ..
Elle, agacée : Quoi, t'as perdu t'as langue où c'est comment ?
Moi : D'après ce que je vois, tu as toujours cette même agressivité, tu n'as pas changée Firdev
Elle : Et pourquoi donc devrai-je changer ?
![](https://img.wattpad.com/cover/40317716-288-k144205.jpg)
VOUS LISEZ
Chronique d'une renoi : love d'un turc
RomansaCette chronique est tout droit sortie de mon imagination. Cette chronique parlera d'une fille noire, qui va rencontré un gars turc. Suspense, suspense. Entre amitié, joie, haine, désespoir, culture différente et amour je vais vous écrire cette chron...