[V] Soldats, en rang !

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« On nous prive de nos frères, on nous les enfermes, ils arrive même plus a fermer les paupières. Tourmentée par leur cauchemard, ils on passer l'âge d'être des zonnard, ils retrouvent leur maison, après quatre ans de prison, retrouve leur famille pour une nouvelle vie. Ils embrassent leur petite sœur, prenne dans leur bras leur petits frères, bien sur qu'ils ont un grand cœur. »

Après le départ de Tahar et d'Hichem, j'ai fondu en larmes. Je me suis écroulé sur le sol et j'ai pleuré. Ma mère me manquait, mon frère me manquait, ma tess m'étouffait, j'en pouvais plus de la hagla que me faisait Imran et Malik. Ils avaient fait quelques choses qui ne méritait pas qu'ont les pardonne. Ils m'avaient rabaissé, humilié, touché dans mon estime.

C'était quelques mois après l'incarcération de Zahid. J'étais rentré tard de ma journée d'école, c'était ma première année de seconde général, je venait a peine de fêtait mes seize ans. Ils étaient la, dans mon block, ils m'ont dit bonjours, auquel j'ai répondu en souriant tel une petite naïve. J'oublierais jamais leurs regards, ni leurs rire, ni même leurs main posé sur mes épaules. Ils m'ont pris dans la cave, on fermé la porte derrière eux. C'était la pire soirée de va vie, j'étais jeune et naïve, j'étais innocente et souriante, ils m'ont tout volé, tout pris.

Je suis restée toute la nuit de dos au mur en larmes et Tahar n'est pas rentrer. J'ai réveillé les p'tits et nous somme allé en cours comme si c'était un jour normal alors que notre frère venait de nous abandonné. L'homme est lâche, j'en revenais pas, Tahar venais de nous quitter alors qu'il avait juré que jamais il aurais pue faire sa.

Le soir même, nous étions tous rentrée en même temps, Neriman, Moncef, Houari et moi avions trouvé la porte de notre appartement ouverte et un homme de dos entrain de regardé la télévision. Cette homme même entre mille j'aurais pue le reconnaître, trois ans que je ne l'avais pas vue, on s'est tout les quatre regardé et nous avons crié en cœur : « Commandant ! » A ce moment même, il est resté de dos et il a ris, on n'a pue le voir car ses épaules ont bougé. Il s'est retourné, s'est lever, et nous a regardé. Nous avions tout les quatre la mains sur le front, nous étions rangé du plus grand au plus petit, c'est a dire de Moncef jusqu'à Houari.

« -Ah, mes soldats ! Moncef, quinze ans, douze quand je vous ai quitté, c'est bien mon soldat, vous êtes presque un homme, vous ne faite toujours pas de sport a ce que je vois. C'est pas grave on va arrangé sa. Vous êtes un bon soldat Moncef. J'espère que vous avez veiller sur notre troupe en mon absence petit !

-Oui commandant, répondit Moncef.

-C'est bien soldat, il se décale vers moi, mon meilleur soldat, quelle plaisir de vous revoir, seize ans quand je vous ai quitter, dix-huit aujourd'hui. Que dire de vous soldat ? Je suis fière d'avoir un soldat aussi courageux, vous a su prendre soin de la troupe quand le commandant n'était pas la. Respect soldat ! Soldat Neriman, je suis fière de vous. Dans le terrain de tir vous avez sue vous imposer, votre gentillesse et votre beauté en a fait des jaloux, respect soldat ! Mon petit Houari, que dire de vous ? Tout d'abord pardon, je suis fière de vous, je m'excuse soldat, j'ai était un mauvais commandant avec vous, Houari pleure, voyons soldat, les larmes ne sont pas accepté dans notre troupe. Repos soldats, cria Zahid. »

Nous nous somme tous jeté sur lui, trois ans que nous n'avions pas vue notre frère. On ne nous l'avez volé pendant trois années, on n'avais enfermé notre frère. On nous avez privé de notre modèle, de notre exemple, on nous avez laissé sans repères. Mais a présent il était la, et il n'allais pas nous quitter.

[ Tome 1 ]« Petit cœur succomberas a ses douleurs. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant