Deux heure de retard, rien que je tournais en rond dans mon petit huit metre carré. Je m'enfermer dans ma chambre, la musique a fond, je quittait pas mon by SFR, j'avais essayé d'appeler au moi trente fois, et Zahid n'avais pas repondue. Je tremblais quand j'ai vue ce numéro que je ne connaissait pas s'affiche. Je répond toute tremblante.
« -Allô, dit-je.
-Allô, bonjour, je suis bien en communication avec une personne de la famille *****.
-Oui, il se passe quoi ?
-C'est l'hôpital *****, vos deux frère et votre sœur on fait un accident, venez vite. »
Je raccroche et m'empresse de courir prendre le bus, j'étais a bout de force, j'étouffais, j'en pouvais plus. En passant devant le block ou j'ai croiser une fois de plus ses mecs qui tenait les halls, j'me suis dit, putain ils on fait expres ! Depuis le lycées on nous rabaisser, nous les enfants de l'immigration, on nous enfermé dans des putains de bâtiments qui nous empêcher de nous aimer.
On n'avais pas le droit de s'aimer, y'avais pas de place pour l'amour dans nos quartier, on n'avait des grands frères trop protecteur. Au final c'était tous des putains de dilleur, mes frères c'était des dilleurs, mon frère de cœur était un dilleur, le garçons que je frèquentait était un dilleurs et j'me demandais même quand nos p'tits frère deviendront des dilleurs.
Moi je remettait cette faute sur l'état, ce putain d'état qui dit liberté, mais qui faisait tout pour nous isoler, ce putain d'état qui disais égalité mais qui mettait des amandes a nos sœur parce que elle avait choisis la voie d'la pudeur. Cette état qui disais fraternité mais qui nous laisser les mains dans la merde tout le temps cette état qui faisait pleurer nos mère rendez fou nos frère et déshabiller nos sœur !
Malgré tout ce que je viens de dire j'crache pas sur la france parce que elles nous acceullit, j'crachais pas non plus sur le système parce que ils nous donnez quand meme donner des aides, mais des fois j'me demandais même si cétait pas fait exprès, tout sa pour avoir la conscience tranquille, parce que malgrè toute ses aides on était toujours dans la merde.
J'massois par terre, j'ai due mal a assimiler la nouvelle, j'prend des grosse bouffée d'air j'ai l'impression que bientot il va plus en avoir tellement je manque d'air. L'infirmière me demande si j'vais bien j'repond meme pas je cours a la sortie, j'monte dans le bus, j'sens que j'vais crever, une forte envie de chialer ! J'y crois pas ! Ya Allah pourquoi tu me fait sa ? J'fait ma prière chaque jour je pose mon frond au sol !
J'vais pas supporter Allah, l'épreuve que tu m'envoie est trop lourde pour mes petites épaules ! Inconsciemment je cours chez Oussama, je tape a la porte. Husni me regarde sans parler, j'ai même pas besoin de parler que mes yeux l'ont fait a ma place des torrents et des torrents se deversent sur mes joues. Husni me regarde choquée et me prends dans ses bras, j'tombe sur mes genoux, Husni tombe avec moi, j'cris, je cris toute cette détresse qui faisait que j'allais étouffé, que resté dans ce béton allais finir par me tuer !
« -Ils sont morts, Husni, ils sont morts, tous mort, j'suis seul, Dieu me les prends tous un par un !
-Calme toi Rahim, n'oublie jamais qua Allah nous appartenons a Allah nous retournons, me dit Moncef derrière Husni.
-Moncef, je le prend dans mes bras, il m'reste que toi, seulement toi, tu fait très attention a toi. »
Moncef et moi somme rentré chez nous, Omar nous soutenez comme il pouvait, mais on ressemblait a deux dépressifs. Chaque jours j'me rendais a l'hôpital voir Tahar, il me disais que le passé le rattrapé qu'il devait des sous a des gars pas fréquentable que sa allez mal finir. Je passait mon temps a le coller tandis qur lui il le passais a prier.Mon cousin Ismaël, du côté de ma mère, mon cousin préféré, c'était proposé pour rapatrier les corps au bled, vu que nous on n'avais pas les moyens.
On avait finis le déménagement et on habitait deux tour plus loin, j'me suis dit que maintenant la maison elle était trop grande, que rien n'était acquis, je passais mon temps a pleuré dans ma chambre ou on avait installé deux lit, pour Neriman et moi. Husni, Chemsa j'les boycotter, j'envie juste envie de parler avec Oussama mais il m'envoyé chier et il m'insulter, j'allais de plus en plus mal et je parlais plus a personne sauf a Tahar, j'allais plus a l'école, j'était une dépressif.
J'vais mal très mal et ya personne pour m'aider quand vais-je sortir de ce gouffre ?
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[ Tome 1 ]« Petit cœur succomberas a ses douleurs. »
Novela JuvenilRahima, jeune fille de dix-huit ans écorché par la vie, par se monde, elle est a la recherche du bonheurs mais pour l'instant elle est plongé dans le malheur. « Regarde c'est elle ! » « Elle est maltraité par son grand frère. » « Ce sont les enfan...