[ Tome 1 ]« Petit cœur succomberas a ses douleurs. »

[XIII] Le patient a succombé a ses douleurs.

J'étais une putain de dépressif, trois semaine sans eux. Trois semaines. Trois putain de semaine ou je voyais mon frère pleurais chaque soir toute en se levant chaque matin prenant la direction de l'école. Malgré les épreuves de la vie du haut de ses quinze ans, il assuré mieux que moi mon p'tit frère, chaque jour j'lui disais a quelle point je l'aimer, je l'embrasser tout le temps, sur le front, j'lui mordais les joues, les oreilles, c'était toute ma vie ce gosse.

Quand il était la je profitais de chaque moment passé avec lui, je faisait toujours la prière, mais je ressembler plus a rien, j'avais perdue beaucoup de poids, j'étais devenue un cadavre et chaque pas me demander un effort. Un jour Omar c'est proposer pour m'emmener voir Tahar a l'hôpital chose que je n'avais plus faite depuis leur mort. Dans la voiture Omar a fait part de son ressentis :

« -Tu fait peur p'tit coeur wAllah, tu me fait peur !

-...

-Elle est passer ou la petite princesse d'la tess qui n'avais peur de personne ? Celle qui courais comme une dingue après son ballon d'l'OM ? Celle qui se battait avec tout les p'tits d'la tess ?

-Elle est morte avec la moiter d'ma famille, et elle est encore entrain de mourir avec son frère.

- Faut pas que t'abbandonne petit coeur...

-M'appelle pas comme ça ! C'est lui qui m'appeller comme ça ! ARRÊTE ! M'APPELLE PLUS COMME ÇA !

-Smeh Ima', calme toi !

-J'suis a bout, j'en peut plus, je sais meme pas ce qui me retiens de sauter d'un toit !

-Eh ! Regarde moi ! Ya un gosse a la maison, il lui reste que toi d'accord ? L'abbandonne pas !

-J'ai plus la forçe, encore un seul truck et je pourais pas supporter ! »

Omar m'aide a sortir de la voiture, j'avais meme pas la force de marcher seul, il ma emmener devant la porte de la chambre et c'est eloigner pour nous laisser seul. J'ai a peine ouvert la porte, que je l'ai vue la allongé a terre baignant dans son propre sang. J'me suis jeter a terre, le passé l'avait rattraper, une balle dans le crane. Comment c'était possible ? Il était dans un hopital.

« -AHHAHAHAHAAHHA !

-QUOI ? RAHIMA ? YA QUOI ?

-IL S'EST FAIT BUTER OMAR ! IL EST MORT ! »

J'ai crier tout mes poumons, j'ai ameuter tout les docteurs, j'avais encore perdue un membre de ma famille !

[...]

J'suis sur ce toit, le toit d'mon ancien immeuble, j'arrive pas a y croire que je vais abandonner Moncef, je souffre trop, dans ce bas monde il y a trop de problème. Un jour Imran m'a raconté une histoire, c'est l'histoire d'un mec qui saute d'un toit, a chaque étages il se dit jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien il me disais que c'était comme a la té-ci, qu'à chaque pas qu'on faisait on se rassurer mais le principal c'est pas la chute mais l'atterrissage.

Je repensé a l'époque, où ma mère était encore en vie, on n'avait rien mais quesqu'on était bien. L'époque ou Zahid et Tahar ne trempait pas dans des histoire louche. L'époque ou on savait pas ce que c'était de se faire réveiller a six heure du matin par les condés. L'époque ou tous se qui comptait c'était de s'amuser, maintenant ils veulent tous des grosse liasses ya plus de pitier.

« -Fait pas sa, saute pas, m'interdisa Oussama.

-S'il te plaît Rhama, fait pas sa, me dit Chemsa.

-On est la nous, Husni il te laisse pas tomber.

-Vous pouvez ramené a la vie ma famille ? Vous pouvez pas, j'en peut plus, wallah j'suis a bout !

-Pense a Moncef Rhama, pense a moi, ta copine...

-Regarde moi Chemsa, j'ai plus la force de me battre, j'suis trop a bout, Il m'a trop éprouvé, j'suis a bout !

-Et tu pense a Moncef, me cria Oussama.

-J'ai donné toute ma vie pour lui, il sera mieux sans moi, il vivra avec Omar.

-Et moi tu pense a moi, cria Oussama.

-Et toi ? Ta penser a moi quand tu m'insulter ? J'avais besoin de toi ! Et t'étais même pas la !

-Smeh, il se met a genoux, pardonne moi wallah, je m'en veut, j'suis trop con, s'il te plaît, éloigne toi du bord d'accord ?

-Petit cœur, cria une voix toute cassé que j'aurais pue reconnaître entre mille.

-Anas, je cours le prendre dans mes bras alors qu'il est en larmes.

-Mon petit cœur a moi, t'amuse pas a ça Ima', j'y arriverais pas moi, pense a moi et Moncef, on fait comment sans toi ?

-J'arrive plus a vivre hayati*, je t'aime de tout mon cœur Anas, occupe toi de Moncef d'accord ? Le laisse pas dérapé.

-Non j'te lache pas petit cœur, tu peut pas partir comme ça.

-Dit lui que j'aurais pue donné ma vie pour lui, que j'aurais pu mettre Dieu en colère juste pour ses beaux yeux ! »

Je le lache et je cours vers le bord, un trou dans la poitrine, c'est tellement petit pour décrire ce que je ressentais. J'entend Oussama crier a Anas de faire quelque choses.

« -Petit cœur a succomber a ses douleurs, dit-il alors qu'il venait d'arriver, mon si beau petit frère. »

C'est la fin pour Rahima et c'est ainsi que ce termine son histoire.

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Hayati : Ma vie