Soigne moi ❤

Chapitre 2 : un passé qui resurgit

Je voudrais m'excuser pour les fautes d'orthographe que je vais sûrement faire.

-------------------------

PDV CORALIE

1 ère journée de cour finit. Je n'avais pas revu Mathis, du reste de la journée. Et je m'en fiche, car je ne suis pas sa pote et je pense que l'on ne le sera jamais.

À la récré, j'ai fait la rencontré Marine et Jordan. Ils sont très sympas. Marine et grande, les yeux bleus et elle est blonde avec les cheveux très longs, il lui arrive en bas du dos. Et Jordan était grand aussi brun et les yeux verts. Ces yeux étais magnifiques. Il avait un look vestimentaire qui lui allait à la perfection. Jordan et Marine étaient meilleurs amis.

Je sors du lycée et je dis au revoir à Marine et Jordan. Il était 18h 00 et il fessait noir à cette période de l'année. En janvier, c'est l'hiver avec normal qu'il fasse noir. Je ne connaissais pas bien Paris et plus j'avais peur de me perdre. Je m'engage dans une petite ruelle. Depuis toute à l'heure, j'avais l'impression qu'on me suivait. À chaque fois que je ne retourne pas je ne voyais personne.

Bref, je devais rêve. Ça devait être mon imagination. Ça m'arrivait souvent sa à Nantes. Je décide de mettre mes écouteurs et d'écouter de la musique. Je ne sais pas vraiment ou j'étais, mais mon téléphone ne disait de continuer tout droit alors je décide de continuer.

Tout d'un coup quelqu'un m'attrape le poignet. La personne le serre tellement fort.

"- LÂCHE MOI, TU ME FAIT MAL. Cria je.

- Calme toi Coralie, je ne te ferais rien."

Je ne le voyais pas et ça m'intrigue et en plus il me fessait mal. Il me t'en naît tellement fort le poignet. Mais comment il connaissait mon prénom. Je décide de lui posait la question parce qu'il me fessait mal.

"- Lâche moi. Comment tu connais mon prénom?

- Je te connais même très bien.

- Mais tes qui ?

- Tu ne me connais pas, mais comme je te les dis moi je te connais. Et tu sais que tu es très mignonne?

Il me fessait très très peur. Je ne voyais pas son visage. Mais je sentais son souffle. Il avait un souffle chaud. Il me plaqua contre le mur et mit mes mains du dessus de ma tête. Je me débâter mais rien à faire, il ai plus fort que moi.

À y repenser sa voix me dit quelque chose. Je ne suis sur que je les déjà entendu. En n'espérant que quelqu'un passe par là, je me remis à crier.

"- À L'AIDE, AU SECOURT."

Mes crie non pas durer longtemps, car il a posé sa main sur ma bouche. J'ai essayé de lui donner un coup dans c'est entre jambes, mais il esquive tout. J'étais bloquée.

"- Ça ne sert à rien de crier, je ne te ferais rien, je veux juste te poser questions.

-Bas posse moi tes questions. Mais je ne sais pas en quoi je pourrais t'aider.

- Alors quel était le nom de ton chef à Nantes? "

Ho non, pas ça. Je ne veux pas que ça recommence. Il me donna une forte gifle pour que je lui réponde, mais je décide de lui dire.