En Grèce.

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Akihito: Je n'aime pas l'idée de le laisser seul.

Asami: Nous avons 8 employés à la villa, parmi lesquels une nurse que tu as toi-même embauché.

Akihito: Il ne les connaît pas encore tous !

Asami: Et si tu ne les laisses pas l'approcher, il ne risque pas d'apprendre à les connaître ! Ça suffit, Akihito, ajouta-t-il dun ton exaspéré. Toby dort ! Pourquoi es-tu aussi effrayé à l'idée de passer la soirée avec moi ? J'ai fait des efforts pour être accessible et attentionné. Me considères-tu encore comme un monstre ?

Akihito: Non.

Avec un soupir impatient, Asami lui prit le menton.

Asami: J'essaie vraiment de comprendre ce qui se passe en toi, dit-il dans un souffle. Et tu ne m'aides pas beaucoup. Je croyais que tu aimais Spiraxos, et que tu y serais heureux.

Akihito: C'est très calme.

Il voulait dire par là qu'il avait du mal à assumer leur intimité, mais il se meprit sur le sens de ses paroles.

Asami: J'organiserai quelques voyage pour aller faire du shopping, si c'est cela qui t'ennuis.

Préoccupé par ce qui allait inévitablement se produire, Akihito répliqua machinalement:

Akihito: Qu'est-ce que cela changerait ? Le shopping ne m'intéresse pas.

Asami: Akihito ! Tu passais des heures à choisir tes tenus, ne me dis pas que les vêtements ne t'intéressent pas.

Il y passait des heures, effectivement. Parce qu'il ne savait quoi mettre pour lui plaire. Ses doutes s'étaient aggravés avec l'éloignement progressif de Asami. Plus il faisait des efforts, plus il semblait se détourner de lui. Avant qu'il ne finisse par comprendre que cela ne servait à rien.
C'était le moment idéal pour lui révéler ce qui lui était arrivé après son départ, un an plus tôt. Mais Akihito ne pouvait se résoudre à lui apprendre l'affreux vérité.

Quatrième Partie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant