Akihito: Lâche-moi immédiatement, Asami !
Il le déposa sur la chaise longue le plus proche.
Asami: Voilà, je t'ai lâché, dit-il avec une douceur insupportable, tout en détachant sa ceinture d'un geste habile.
Horrifié, Akihito voulut se cramponner à ses vêtements, mais c'était trop tard. Il avait déjà fait glisser son pantalon sur ses jambes. Ensuite, il lui ôta prestement son t-shirt, qui alla rejoindre le pantalon sur le sol pavé.
Akihito: Asami, tu as perdu la tête ?
Asami: Tu es incroyablement sexy, fit-il d'une voix rauque, en glissant ses doigts sur son torse, avant de lui ôter son caleçon sans le moindre hésitation.
C'était facile pour lui, évidemment, il était bien plus fort que lui.
Asami: M'y prendre avec précaution n'a pas été la bonne approche, continua-t-il. Apparemment, quand un homme se montre sensible, l'homme croit qu'il a des arrière-pensés.
Horriblement conscient du soleil qui dardait ses rayons sur son corps entièrement nu, Akihito essaya de se relever, mais Asami le maintint fermement.
Asami: Plus question de te dérober, agape mou. Plus de peignoirs, de pantalon larges ou de pièces obscures. Nous ferons l'amour en pleine lumière et tu vas voir à quel point j'ai pitié de toi. Tu veux savoir si je suis excité ? Si tu me fais encore bander ? Eh bien, je vais te le montrer.
Akihito: Non, protesta Akihito en relevant les genoux pour dissimuler son intimité.
Mais il repoussa ses jambes d'une main en descendant la fermeture éclair de sa braguette de l'autre.
Un instant plus tard, il était nu, lui aussi. Son corps bronzé luisait au soleil, musclé, mince et... très excité.
Asami vint se placer au-dessus de lui en un mouvement fluide. Il était la virilité incarné.Asami: Alors, tu crois toujours que c'est de la pitié ? demanda-t-il avant d'enfouir son visage dans son cou.
Akihito ne put retenir le gémissement de plaisir qui lui était monté aux lèvres. Un soudain explosion de volupté le submergeait, le consumant tout entier. C'était à la fois délicieux et humiliant.
Akihito: Non, Asami...
Asami: Pourquoi ? Pourquoi te ferais-je l'amour par pitié ? Je suis égoïste, Akihito. Je fais les choses pour moi-même. Parce que je le veux. Et je te veux.
Puis il lui prit la main et la posa sur son membre ferme et chaud. Il était à la fois dur et doux comme du velours, constata Akihito en sentant sa main trembler à ce contact.
Asami: Je vais être très franc, pethi mou. Cela ne s'appelle pas de la pitié. C'est du désir. Brûlant et sensuel. Je ne cherche ni à prouver ni à affirmer quoi que ce soit - mais à faire l'amour.
Il lui prit le visage de ses 2 mains et pencha sa bouche vers la sienne.
Asami: Faire l'amour, répéta-t-il contre ses lèvres. Tu as compris ?
Akihito: Asami...
Asami: Je te désirs. Je t'ai toujours désiré et cela ne va pas changer. Tu m'entends ? demanda-t-il d'une voix rauque. Un jour, Asami avait découvert que Akihito avait des hormones féminines en lui et qui pouvait avoir des enfants, quand nous aurons des enfants, tu auras peut-être d'autres cicatrices, mais ton corps restera toujours ton corps. Et c'est le tien que je désirs. Pas celui d'un autre.
Des enfants ? Avait-il bien dit des enfants ?
Akihito se trouvait en proie à un vertige inouï. Son pouls battait follement tandis qu'il essayait de garder le contrôle de ses pensés. Mais celui-ci lui échappaient, comme mues par une volonté indépendant de la sienne.
A cet instant, il le pénétra profondément d'un coup de reins vigoureux. Akihito renonça alors à garder tout contrôle sur ses pensés et sur son corps. Quand il le sentit bouger en lui, tout logique avait quitté son esprit. Il voulut parler, mais déjà la bouche de Asami se refermait sur la sienne tandis qu'il se retirait, s'enfonçait de nouveau en lui, de plus en plus sauvagement, comme s'il voulait l'atteindre jusqu'au coeur.
Cette fois, il n'y avait pas de douces caresses préliminaires. Seulement une démonstration de sexualité brute, de domination masculine.
Asami releva la tête un instant.Asami: Tu me sens, Akihito ? demanda-t-il d'une voix sourde contre ses lèvres en s'enfonçant puissamment en lui. Tu me sens en toi ?
Akihito gémit son prénom en refermant les doigts sur son dos. Les sensations qui se déployaient en lui étaient si puissants qu'il pouvait à peine respirer. Jamais il ne s'était senti aussi désiré.
Doucement, il lui mordilla la lèvre avant de le caresser avec sa langue.Asami: Tu es incroyable, murmura-t-il.
Puis il se retira légèrement.
Akihito: Non..., protesta Akihito.
Asami: Non quoi ? répliqua-t-il avec un lent sourire, tout en se retirant encore un peu plus. " Non, ne t'arrête pas ", ou " non, ne fais pas cela " ?
Akihito: Asami...
Il resta immobile pendant quelques secondes insoutenables, avant de s'enfouir de nouveau en Akihito. Le mouvement fit déferler en lui des vagues d'excitation d'une violence inouïe.
Asami: Ce n'est pas de la pitié, dit-il dans un souffle. C'est du sexe brûlant, agape mou. C'est ce que nous partageons, toi et moi, tu le sens ?
Incapable de dire un mot, Akihito accueillit le plaisir qui l'inondait à chaque coup de reins de Asami. Enivré jusqu'au plus profond de son être, il le regarda un instant dans les yeux. Le lien qui les unissait était d'une intimité total, unique.
Et lorsque tout explosa en lui, il creusa le dos. Son corps se convulsa en une marée de plaisir si intense qu'il en perdit le souffle.
Aussitôt, il sentit le corps de Asami se tendre à l'extrême et, en une dernière poussé, il s'abandonna en lui.
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Quatrième Partie.
FantasiVoilà l'autre suite j'espère que vous allez aimer. Bonne lecture à vous tous ! J'espère que ça va vous plaire. Pensez à voté et à mettre des commentaire pour me donner votre avis merci à vous tous