CHAPITRE 8

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Le contrôle de mathématiques c'est bien passé, en faite la matinée c'est bien passé. Bon, mis à part à la pause de quinze minutes où Steffan et moi avons croisé Eve qui ne m'aime pas du tout et qui me lance tout le temps des regards noirs. Elle se colle de plus en plus à lui comme une gamine. J'avoue que ça me met en boule...
La cloche viens de sonner l'heure de la pause dej', et Steffan est introuvable. Je ne vous pas Eve non plus. Elle doit l'avoir entraîné le plus loin possible de moi. Pff...
Je prends un panini et vais m'installer sur une table dehors. Ils ne sont pas la non plus.
Je mange rapidement. J'ai faim, mais pas l'envi de manger pour autant. Je me sens un peu seul.
Je vais à la bibliothèque pour rendre le livre que j'avais emprunter quelques jours plus tôt. Natalie est ravi de me voir. On parle un peu et je vais plus loin dans les couloirs de livres. Rien ne m'intéresse même si je ne sais pas vraiment ce que je cherche. Natalie me prévient qu'elle va devoir fermer et à regret je retourne dehors. Je vais m'asseoir sur un banc et bascule ma tête en arrière. Je reste comme ça à regarder les nuages passer.
-Tu vas te chopper un torticolis dans cette position.
-Qu'es que tu me veux Eve?
Je redresse la tête. Elle est juste devant moi, les mains poser sur les anches, la tête haute. Elle me regarde avec dégoût. Je soupire, je sais tres bien ce qu'elle me veut...
- Je vais être franche, je ne te supporte pas.
- Je pense que j'avais compris.
- Arrête de coller Steffan. Tu vas lui attirer des problèmes.
Et c'est elle qui me dit ça? Sérieux? Je suis scotché au banc.
- Je vais te prévenir, mais juste une fois, si tu t'approche trop de lui tu va le regretter, et amèrement.
Je la regarde sans pouvoir rien dire, car si j'ouvre la bouche je risque d'éclater de rire. Une menace! Sérieusement? Elle vois bien que je ne l'a prend pas au sérieux et c'est une jolie blonde furaxe qui me tourne le dos en me lançant un jurons qui me fait mal aux oreilles. Elle s'éloigne avec déhanché impressionnant.
Plus tard la cloche sonne et je monte en salle de Philo. Steffan est déjà là. Il me fait signe de venir m'assois devant lui.
La sonnerie retentit une deuxième fois et un homme fait son apparition dans l'embrasure de la porte. Je ne pense pas que l'on puisse le comparer à un homme... Il est beau, mais beau comme un dieu. Il a les traits fins et marqués, un nez droit, des yeux couleur océan et des cheveux blonds platine. Il se met derrière le bureau et nous prit de nous asseoir. Il ouvre le cahier d'appel et commence par les premiers noms. Puis arrive mon nom:
- Tien un nouveau nom...Jordan?
- Présent!
Je lève la main quand je me rends conte qu'il me chercher parmi les élèves. Quand son regard se pose sur moi j'ai l'impression de me prendre un coup de poing dans le ventre.
Il me regarde et je vois passer sur son visage, colère haine et dégoût à la suite. Ma marque me brûle.
Je detourne le regard et au bon de secondes qui me semble interminable il reprend l'appel. La douleur et les sensations de brûlures disparaissent. Quand il a fini il nous donne le sujet sur lequel nous devons travailler: "Est ce que grandire est une fatalité? "
Il nous demande de travailler individuellement. Je sort une feuille et commence à écrire un brouillon. Mon dos chauffe et je me retourne.
- Ça va?
Steffan a l'air inquièt. Pour lui montrer que tout va bien je leve les deux pouces.
D'un coup je ne peux plus respirer. Je me retourne pour etre face au professeur qui me regarde tout sourir. Je commence à voir trouble. Ma voix est bloqué dans ma gorge. J'entends a peine celle de Steffan qui est pleine d'inquiétude. Je sombre bientôt complètement dans le noir de l'inconscience.

Je dérives je ne sais pas vraiment où. Je suis dans un endroit ou il n'y a ni sole ni plafon. Puis je vois le visage de Steffan qui d'abord souri puis angoissé. Mon coeur cogne dans ma poitrine.
J'ai chaud... je suis bien. Je t'en la main vers la personne qui fait battre mon coeur. L'image s'efface et je me retrouve dans l'infirmerie. Je cligne des yeux et vois Steffan. Je rougi quand je me rends conte que je me suis agripper à son t-short. Il se retourne ses yeux émeraudes croisent les miens.


Voili-voilouuuu! Salut!
Voilà le chapitre 8 (enfin).
Bon je voudrais avoir votre avis (la j'ai vraiment besoin de savoir se que vous en pensez): je pense me lancer dans un nouveau projet d'écriture... avec je l'espère une histoire un peu plus construite. Ce qui voudrait dire que je mettrais du temps a l'écrire, et aussi à ecrire "Never In The Heart Angel" ... Donc voilà a vous de me dire se que vous en pensez!

Never In The Heart AngelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant