Quelques mois plutôt.
Je courai sur les toits des maisons comme toutes les nuits. Je sautai de toit en toit. Il y avait qu'à ce moment là où je me sentais vraiment libre. Je me dépêchai de rentrer avant que mon père se rend compte que je suis encore partis cette nuit. C'était devenus une habitude: sortir le soir pour courir et s'arrêter sur un toit pour regarder les étoiles.
Il est désormais 6:00. J'allais être en retard, je courai encore plus vite. Pour la première fois depuis deux ans je retourne à l'école. Depuis le décès de ma maman, mon père m'avait interdis de retourner au lycée pour que je m'entraîne et puisse me battre. C'était au cas où M.Miller voulait me prendre comme il l'avait fait avec ma maman. M.Miller est un homme âgé qui a lancer une entreprise de je ne sais pas de quoi. J'arrivais enfin à ma maison. Je passais par la fenêtre, me mis en pyjama puis m'installa dans mon lit. Quelques minutes plus tard, mon père me réveilla. Je me levai de mon lit surexciter de pouvoir retourner à l'école, avoir des amis, ne plus passer mes journées à me battre. C'était une libération. Je me dépêchai de m'habiller et de manger. Enfin prête j'allais partir mais mon père m'interrompt en disant:
"Tu sais que les cours ont commencer depuis un mois, et vu que tu seras la nouvelle ils vont te poser des questions sur toi. Et en aucun cas tu dois dire ou montrer que tu sais te battre. Tu m'as bien compris?
-Oui papa, répondis je en étant gêner.
-Alors si on te demande de te présenter tu dira quoi?
-Je m'appelle Faith, j'ai 16 ans et on viens de déménager cette semaine. Je suis passionnée d'équitation. J'ai un chat qui est blanc comme les nuages et une jument qui s'appelle Cocaïne."
Il me fit un signe de la tête et me dit qu'il allait me conduire au lycée.
Dans la voiture c'était trop calme. Je commençais à stresser. J'avais peur que ma timidité prennes le dessus, et que je sois seule toute l'année. Ça fait tellement longtemps que je ne suis pas allez à l'école. On était plus très loin du lycée et on voyait déjà des élèves normaux. Il y en avait qui rigoler, d'autre parler. En les voyant j'avais l'impression que jamais je serai comme eux: être heureuse et avoir une vie normale. Arrivée au lycée mon père me souhaita une bonne journée.
J'entrai dans la classe, tout le monde m'observait: j'aurai dus m'en douter. La professeur me demanda de me présenter, et je répondis instantanément: "Je m'appelle Faith, j'ai 16 ans et on viens de déménager cette semaine." Elle me demanda de m'installer à côté d'un garçon brun.
Quand je m'étais assise à ces côtés, il s'était présenté en disant qu'il s'appelait Hunter. Il avait l'air d'être quelqu'un de généreux. Il me racontait qu'auparavant lui aussi était nouveau et que ce n'était pas facile. J'étais d'accord avec lui. Il me souriait, je compris que c'était quelqu'un qui rigoler souvent, qui était gentil. Alors il m'avait proposer de manger avec lui et des amis. J'avais accepter sans réfléchir tellement j'étais heureuse de savoir que ce midi, je ne mangerai pas seule.
À la cantine, je suivis Hunter car j'avais aucun repère. Où il posa son plateau, il y avait déjà deux filles à table. Il me les présentait. Emily, une fille très coquette brune au yeux noisette. C'était la petite amie d'Hunter. Et elle, c'est Paige. Elle est rousse au yeux vert comme l'émeraude avec des petites tâches de rousseur. Je la trouvai magnifique. Au début on avait des conversations sans intérêt pour moi. Mais j'avais l'impression que pour une fois on s'intéresser à moi. Ce qui était devenus très rare depuis le décès de ma maman. Tout aller bien jusqu'au moment où Paige me demanda d'une voix douce qu'elle était mon passe temps et mes loisirs. J'avais dis que c'était l'équitation et j'avais longuement hésiter à évoquer les arts martiaux. Mais si jamais je pouvais avoir des amis, je voulais qu'ils sachent ce que je faisais. Ce que j'étais.
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722187: Je voulais juste être humaine.
Fantasía"Alors qu'allez vous faire maintenant que vous êtes avec moi?" A ces mots, une joie interne s'empara de moi. Enfin il me posa cette question. Je le regardai et répondis calmement: -Obéir à tout vos ordres. Pour éviter d'autres morts inutiles...