Je ne savais plus quoi faire. Je ne bougeais plus et rester figée devant ce cadavre. Alors que l'homme masquer me disait de le suivre. Je n'arrivais plus à faire répondre mes muscles. Jusqu'à ce qu'il haussa de la voix:
"Vas t'en Faith.
-Non. Il est mort par ma faute. Je dois l'aider.
-Arrête tes conneries. Il est trop tard alors viens avec moi
-Je ne veux pas te suivre. On doit l'aider.
-Bien."Il s'avança du cadavre puis enleva son haut; je ne disais rien. Il enfonça sa main dans sa poitrine alors que je lui avais dis d'arrêter. Il tira d'un coup sec; son cœur était là,dans sa main, rempli de sang. Il croqua dans son cœur pendant que je grimaçais, il venait de le remarquer. Alors il ajouta:
"Quoi? Tu en veux? C'est comme une pomme.
-Mais tu es malade!
-Tant pis pour toi."Il croqua encore dans ce cœur avant de le manger complètement. Une fois finis il se lécha les doigts. C'était tout simplement répugnant, ça me donnait la nausée. Puis il ajouta:
"C'est bon tu peux partir maintenant. Il a aucune chance d'être en vie après ça. Et ne t'en fais pas pour moi. On se reverra bientôt.
-Ça risque d'être compliqué de te retrouver si je sais même pas à quoi tu ressemble
-Je te retrouverai. Maintenant vas t'en."Je partie désormais pour rentrer chez moi. J'essuyais le sang qui se durcissait et craquait sur mon menton. Une fois chez moi, mon père me demanda pour quoi j'étais déjà là. J'avais complètement oublié que j'étais censé être en cours à ce moment là. Alors je disais bêtement qu'un professeur était absent. Je savais qu'il ne me croyait pas mais vu qu'il ne me disait pas plus ça m'arrangeais.
Je montais dans ma chambre pour m'habiller avec des vieux vêtement sales, pour passer la fin de journée avec Cocaïne. Alors que je me changeais, je vis ce tatouage toujours aussi horrible à mes yeux. Même si on fond je l'aime bien, car oui il symbolise mon changement d'une nouvelle vie meilleure. Enfin pour l'instant, on ne sait jamais.
Je voyais au loin, par la fenêtre, Cocaïne. Devant la prairie où elle s'y trouvait, je vis qu'elle broutait tendredement l'herbe, et la mâchait. Puis, elle m'a vu. Elle hennit avant de trotter pour me rejoindre. Je prenais sa haute encolure dans mes bras. Je montait sur son dynamique dos et commençait à trotter dans la clairière. Mon coeur battait selon le rythme de ses sabots qui frappaient le sol. Sa crinière volait dans le vent tout comme ces oreilles qui restaient vif, mais surtout à l'affût du moindre bruit. Le coeur de Cocaïne battait contre mes mollets, je sentais chaque efforts, chaque muscles actifs, comme si on en formait qu'un. Au bout de quelques temps, elle était fatiguée, mais elle ne le montre jamais. Je n'ai jamais compris pourquoi mais elle était comme ça, elle peut mourir de fatigue et d'épuisement juste pour me faire plaisir. Je décidai alors de l'arrêter et de la mette dans son box. Je prenais de la paille au sol pour la lui mettre sur elle, et enlevait le plus possible de sueur. Ensuite, je lui donnait des friandises, ces friandises au goût fruit rouge; de plus elle sentait très bon. Une fois que je sortie de son box, elle se roulait au sol.
Fatiguée par ce petit entraînement, je décidai de me faire un bon chocolat chaud; que je finis de boire en deux secondes comme toujours. Je montais dans ma chambre et faisais des câlins avec Skitty. Jusqu'au moment où je reçois un message de la part de Paige. Elle me demandait si je pouvais la rejoindre dans l'une de ces fêtes que tout le monde était invité. Le thème était horreur et gore, je riais car on est très loin d'Halloween. Mais elle trouvait ça sympa et en rapport avec le film qu'on va regarder à deux ou trois heures du matin. Je demandais à mon père si je pouvait dormir chez Paige, il accepta sans même réfléchir et tant mieux.
Je me déguisais en vampire: sexy blouse noir, escarpins, mais surtout du faux sang sur mon menton qui coulait le long de mon cou, de ma clavicule. Une fois prête, mon père me conduisait chez Paige. La nuit commençait légèrement à tomber, on entendait de la musique à fond qui venait de la rue. Arrivée devant chez Paige la musique était tellement bien et forte, ça provenait bien de chez elle. Je disais à mon père que je l'appelait quand j'irai dormir ou autre; c'était juste histoire qu'il ne s'inquiète pas.
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722187: Je voulais juste être humaine.
Fantasía"Alors qu'allez vous faire maintenant que vous êtes avec moi?" A ces mots, une joie interne s'empara de moi. Enfin il me posa cette question. Je le regardai et répondis calmement: -Obéir à tout vos ordres. Pour éviter d'autres morts inutiles...