Mon réveil sonna, mais je n'avais en aucun cas envie d'aller au lycée comme une fille normale, surtout après ce qu'il s'était passé. Je m'habillai tout de même et prenais la route du lycée. Je volais comme si aucune gravité ne pouvais m'atteindre. J'avais envie de le dire à tout le monde, de le criais sur tous les toits mes nouvelles capacités. Mais j'étais dans la retenue.
Arrivée au lycée, je vis que le couple et non Paige. Je viens vers eux alors qu'ils s'embrassaient. Puis je gâcha leur ambiance de petit tourtereaux s'aimant pour la vie en leur demandant si Paige était là. Emily répondit que non. Alors je décidai de leur prévenir que je n'allais pas rester au lycée, puis je partis. Sans même leur laisser le temps de comprendre quelque chose.
Je longeais le canal qui était à côté du lycée. Il y avait toujours des canards qui se baignaient et s'amusaient à chanter quand il voyait quelqu'un : sûrement pour réclamer à manger. D'habitude, il n'y avait jamais personne qui marcher près du canal. Mais là ce n'était pas le cas. Les personnes présentes étaient sois presser sois sans vie. J'accélérais le pas, comme le font chaque personne. Une fois loin de ce ce lieu; je repris mon rythme normal. Je me baladais dans la rue des galeries marchandes pour regarder les vêtements fait de somptueux tissus. En plus, j'adore regardais les vitrines des magasins et me demandais si tel ou tel vêtement me mettrais en valeur. Et, dans le reflet de la vitre, il y avait deux hommes habillaient de la même façon, de la tête au pied. Ils marchaient derrière moi et étaient tout les deux éloignés d'environ un mètre. Plus tard, quand je regardais de nouveau dans la vitre, ils étaient toujours là. A cette intersection, je tournis à droite, puis à droite, et enfin à gauche. Une fois que l'idée de les avoir semé m'était venu à l'esprit, je gâcha mon espoir en regardant dans la vitre qui me servait de miroir: ils me suivaient en fronçant les sourcils.
Je continuai sans cesse de changer de direction à chaque intersection. Puis il n'y avait aucune chance que je perds, car les routes de cette ville sont semblable à des feuilles quadrillés. Arrivée à une rue du beffroi, l'un des hommes ne me suivaient plus, il avait subitement changer de direction. Une fois devant le beffroi, je traversais la route, l'homme faisait de même. Je changeai une dernière fois de direction avant de voir l'autre homme, celui qui était partis. Il m'attrapa par la mâchoire alors que j'essayai de décoller ces mains. Quelqu'un enfonça une aiguille dans mon cou. L'incapacité de tenir debout survient, et tout mon être s'éloigna lentement.
J'ouvris durement les yeux mais il y avait quelque chose qui m'empêchai de voir. Je devais avoir des aiguilles ou des perfusions à mes bras, vu la douleur que cela me procurer. J'étais sûrement dans une voiture à cause des basculement. Discrètement, j'avais essayai de lever mon bras: mais j'étais attachée. A ce geste, une voix masculine disait que j'étais réveillée. Un autre répondis qu'ils devaient mettre leurs cagoules. Quelques secondes plus tard, on m'enleva un sac poubelle qui était sur ma tête. Nous étions bien dans une voiture mais ça ressemblait plutôt à une camionnette. En face de moi, je voyais trois carrures masculin et un plus loin qui ressemblais à un otage. A mes bras, c'était des sortes de perfusions qui se relier à des poches de sang qui se remplissaient. A ma droite, je voyais des petits cartons avec des poches de sang pleine. On me vidait de mon sang. Lorsque j'ai compris cela, je regardai l'un des trois hommes malgré leur cagoule qui camouflait leur visage. Il me disait durement:
"Tu veux quoi? Qu'on t'enlève une poche de sang en plus?
-Pourquoi vous me faîtes ça, répondis-je lentement.
-Déjà, c'est en aucun cas toi qui pose les questions. Et même si tu insiste, tu n'auras pas de réponses, car nous-mêmes nous sommes au courant de rien. Juste que plus on récupère de ton sang, mieux c'est. Et qu'il faut te nourrir de sang humain toutes les trente minutes pour pas que tu te dessèche. Et c'est bientôt l'heure de ton biberon chérie.
-Je t'interdis de m'appeler chérie."
L'autre homme intervient:
"Sinon quoi? Tu vas nous démembrer, nous transformer en knackie pour nous faire cuire dans ton petit four de vamgaciène?
-Vamga.. quoi?
-Ta gueule 722187.
-Non! Vous, vous allez vous taire. C'est quoi cette histoire, ce chiffre qui veux rien dire et ce vamga.. je ne sais pas quoi. Alors vous aimez me rabaisser juste parce que je suis attachée et que je ne peux pas bouger. Alors, détachez moi et on en parle entre humains civilisés.
-On doit surveiller prudemment nos sujets, tu as peut-être une part d'humanité mais ça te donne aucun droit.
-Détachez moi.
-Non.
-Je vous ai dis de me détacher!"
A ces mots, il regardait ces collègues avant de poser son regard sur moi. Il s'avança de moi alors qu'un homme lui disait que non. Il serra les poings et se prépara à me frapper. Celui qui avait dis non, attrapa son poing et frappa avec son pied au niveau du coude. Alors que l'un réagit, il attrapa sa tête pour la frappait contre la parois de la camionnette. Une fois finis, il se mit à enlever les perfusions avant de me détacher. J'allais sortir alors qu'il m'attrapait par le bras, en me disant que je devais me nourrir. Je ne compris pas sur le moment avant qu'il me montre l'otage, il enchaina:
"Dans tout les cas il va mourir. Alors nourris toi de son sang.
-Il est hors de question que je bois du sang humain. Tu m'as bien compris? Je ne sais pas si tu me prends pour une folle ou autre. Mais je ne suis pas ce que tu pense, je ne suis pas une sadique qui se nourris de sang.
-Et bien.. Tu m'auras obliger.
-Pardon?!"
Il sortit une lame. J'avais peur, peur qu'il l'utilise contre moi. Mais, pour montrer ma détermination à ne pas boire du sang répugnant: je ne bougeais pas. Il s'approcha de l'otage, ou plutôt du futur cadavre. Il lui trancha son bras, puis du sang nageait sur son bras, sur ces mains, puis glisser sur ses doigts avant de tomber à terre. Je restai là. Sans bouger. Devant ce spectacle tordant de plaisir absurde. Il s'approcha de moi et me dit de lui faire confiance. On s'avançait lentement devant ce corps.
Face à lui, il me donnait son bras recouvert d'un liquide incroyablement rouge et parfait. J'étais submerger. Je ne controlais plus le flux de ma pensée. Comme si tout s'était arrêter et qu'il n'y avait que ça qui compter. La plaie sur le bras était semblable a un fossé magique qui, l'odeur berçait mon odorat. J'étais comme dans une sorte d'extase. J'ai cru entendre qu'on me disait de lécher, juste pour goûter: ce que je fit.
Elle avait une odeur très succulente au point que des bruits de satisfaction sortit de ma bouche. Mon corps se fatigua de bien-être avec une si petite dose. Une fois plus de sang sur son bras, j'étais déçus. J'en voulais encore. Je mordais délicatement cette chair tendre et fraiche. Lorsque j'aspirais légèrement, tous ces merveilleux désirs surviennent grâce à ce sang. Je ne pouvais plus m'arrêtais c'était si bon. Ce plaisir parcourais mon corps. J'étais tellement bien. Je sentais que cette drogue s'estomper petit à petit: mais j'en voulais toujours plus.
Un cri survient, mais je m'en foutais royalement. Jusqu'à ce qu'on me pousse. Je vis l'otage avec un liquide verdâtre sortir de ces yeux, de ces oreilles, de son nez et de sa bouche. Il convulsait, je voulais l'aider. Mais c'était trop tard. Il ne bougeait plus. Il était mort.
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722187: Je voulais juste être humaine.
Fantasía"Alors qu'allez vous faire maintenant que vous êtes avec moi?" A ces mots, une joie interne s'empara de moi. Enfin il me posa cette question. Je le regardai et répondis calmement: -Obéir à tout vos ordres. Pour éviter d'autres morts inutiles...