Comme quoi les Contes de fées n'hésite pas ! [Chronique]

CHAPITRE 15

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Les jours passèrent, tous ce passer bien de mon coté. 

Fatiha venait parfois ici pour me voir et apprendre la religion avec Yamina. Elle avait vraiment changé que ce soit physiquement ou mentalement elle était devenue une femme mature et avait compris ses erreurs. Elle progressé de jour en jour et Yamina était fier d'elle tout comme son frère d'ailleurs. 

Elle nous aviez confié qu'elle avait aussi parler a Khaoula pour qu'elle se repentie elle aussi et demande pardon a Dieu mais elle ne l'avais pas écouter après l'avoir insulté. 

J'allais toujours a mes rendez-vous et j'apprenais toujours les lois et ce dont j'avais besoin pour ma vengeance. J'avancer petit a petit mais surement. Amir je ne le laisserai pas sans sortir sans lui avoir infliger une morsure, j'étais vraiment déterminé a ce qu'il souffre de la plus dur des façons. 

[...]

Un jour je faisais le linge quand la porte sonne, j'étais toute seule a la maison je vais donc ouvrir sans prendre la peine de regarder dans le judas et ouvre la porte. Devant moi ce tenait Fatima ma tante et Amir. 

Fatima avait la tête baisser et ne disa rien, Amir me souria. Je commença a avoir du mal a respirer, je tenais fermement la porte pour ne pas m'écrouler. Il la poussa a l'intérieur et s'assyea sur le canapé. Fatima s'assyea a ses cotés toujours la tête baisser et je vis un larme tomber sur ma main qu'elle essuya rapidement avant de relever la tête mais je l'avais vu... Et j'ai aussi vu un bleu sur sa joue et en dessous de son œil... J'espère que ce n'est pas Amir qui lui a fait ça ! 

J'envoya un message a Yu pour l'avertir que son pere et sa mere etait ici. Je n'avais pas oser m'asseoir et ne regarder pas Amir. Comment je pouvais me venger de cette homme si j'avais toujours peur de lui ? Il me fallait affronter cette peur ! 

- Amir : Assis toi c'est mieux je vais te parler clairement. 

Je ne leva pas la tete en sa direction et ne l'obeis encore moins. Quand il avait parler tout mon corps frissonna et j'eu envie de m'écrouler au sol. 

- Amir : Un homme que je connais tres bien et venu me parler l'autre jour et veux marier son fils et il t'avais deja aperçu il est venu me voir car il pense que tu dois etre parfaite pour son fils. 

"Tu n'as plus aucun droit sur moi pour me marier a un homme ! Je refuse ce mariage !"

- Amir : Je ne t'es pas demandé ton avis, c'étais pas une question je venais juste t'avertir car tu va venir a la maison avec nous et tu va epousé cette homme que tu le veuille ou non. Je déteste que ma réputation soit détruite a cause d'enfant incapable comme toi ou l'autre la ! 

"Je ne me marierai pas ! Tu as renié ta famille et j'en fais partie ! Tu n'as pas de droit sur moi !"

- Amir : Hahahahaha ! Ma pauvre j'ai encore tout les droits je suis encore ton tuteur c'est ma fille que j'ai renié pas toi donc tu va m'écouter et venir. 

Il se leva et je couru m'enfermer dans la cuisine mais il bloqua la porte avec son pere. Je poussa de toute mes forces pour pouvoir fermé la porte, mais lui de son coté poussé aussi la porte afin de l'ouvrir. 

Il reussi et m'attrapa par les cheveux. J'avais mal au crane, il m'arracher presque les cheveux. Je commença a pleurer de douleur, lui comme a son habitude rier. Il fit signe de la tête a ma tante de le suivre, elle pleurer en silence. 

Il me fit sortir de l'appartement je me débattais mais chaque fois il me mettait un coup et plus je me débattais et plus les coups était de plus en plus fort. On passa par le hall et les gars habituel qui était présent. J'en est aperçu sortir son téléphone et appeler. Je me débattais pour le faire comprendre que j'étais obliger de le suivre. 

- ... : Euh 3ami tu devrais attendre Yussef il va pas tarder a arriver lache la wallah elle veut pas aller avoir toi. 

- Amir : C'est comme ça que tu parles avec un homme plus vieux que toi ? Tu fais quoi de ta journée a part vendre de la drogue ? Ta mere est au courant de ce que tu fais ?

- Lui : C'est pas le rapport je m'en fou de sa moi mais Amsah elle bouge pas d'ici tant que Yu il est pas la. 

Amir ouvrit la porte et me traina dans ma voiture avant de dire au gars : Mon fils est au courant ! Mêler vous de vos affaire. 

Durant le trajet Amir affiché un sourire de victoire et regarda sa femme. 

- Amir : Pourquoi tu pleures hein ? Elle va se marier et va vivre loin d'ici ! On ne la verra plus et tant mieux. 

- Fatima : Tu n'as pas le droit de faire sa ! 

- Amir : Son pere m'avait bien dit que c'est ma fille le jour ou il me la laisser alors je fais ce que je veux d'elle ! Elle ne cause que des problèmes depuis qu'elle est née hein ! 

On arriva il m'avait jeter dans le salon et s'assyea sur un canapé et me regarda. Ma tante avait essayer de me relever. 

- Amir : Tu crois que si sa pute de mère n'avait pas trompé mon frère elle serait la aujourd'hui ?! 

A cette phrase je le regarda avec un regard noir et en même temps rempli d'incompréhension. Il ria et fis a Sa femme de s'asseoir. Elle ne le regarda pas et me leva et m'aida a marcher pour rejoindre mon ancienne chambre mais mon oncle n'était pas de cette décision. 

- Amir : Ta mère ne voulait pas se mariage avec mon frere et elle est aller faire sa pute quand il avait le dos tourné ! Mon frere n'est pas ton pere mais il a fait semblant de l'etre parce que ta mère aller avoir de gros problèmes. Pff depuis le début tes comme elle une pute a problèmes qui ne sert a rien ! Je lui est toujours dis de te laisser toi et ta mère mais lui il ne m'écoute pas et il me laisse sa soit disant fille d'un bâtard et d'une pute ! 

Je m'arrêta et me retourna pour lui faire face. Ma mère n'aurai jamais osé quand j'étais avec eux elle aimé mon père sa se voyait jamais elle n'aurai osé lui faire de mal jamais. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui fis un doigt d'honneur et il ria encore plus. 

- Amir : Tu ne me crois pas hein ? Fatima j'ai raison hein ?! Demande a ma mère elle le sait elle ! 

Je regarda Fatima qui avait baisser la tête et me poussa a sortir du salon. On alla dans ma chambre et je souleva sa tête et la regarda droit dans les yeux pour chercher une réponse a cette interrogation mais elle pleura et détourna le regard. Je m'effondra au sol tout en tapant le sol. 

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