Chapitre 21: Le retour du douloureux passé.

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Chapitre 21: Le retour du douloureux passé.

(à écouter avec la vidéo en multimédia: "Run away" Keaton Stromberg*)

- Mercredi 3 février 17h - 

PDV Amy

Assis sur les chaises du couloir des urgences; on regarde silencieusement passer les gens. Alicia et sa mère sont parties il y a quelques minutes, elles ont attendues avec moi l'arrivée de Baptiste qui était dans les bouchons. Alicia m'a donné son numéro: on se reverra c'est certain! L'amour de ma vie est maintenant assit à ma droite, il essai de réconforter en caressant tendrement ma main, mais j'ai bien vu qu'il était aussi peu rassuré que moi car il n'arrête pas de taper nerveusement du pied par terre. Quand il est arrivé, je me suis tout de suite blottie dans ses bras et j'ai fondue en pleurs; il était gêné d'être arrivé avec du retard et pensait que j'allais lui en vouloir, mais le plus important c'est qu'il soit là (mieux vaut tard que jamais!!). J'avais les yeux rouges et parfois les larmes venaient toutes seules rouler sur mes joues. J'avais vu le médecin et cela faisait maintenant trois heures qu'il m'avait dit qu'il viendrait dès qu'il aurait fait un bilan complet. Je ne sais donc pas ce qu'il se passe, en plus les urgences ne sont même pas pleines! Tient, en parlant du loup, le voilà qu'il arrive. God il a pas une belle tête! Ça craaaaiiiint!! Je serra la main de Baptiste, il tourna son regard son regard vers moi et je murmura "le médecin" tout en le désignant d'un mouvement de tête; il jeta un coup d'oeil au médecin qui était maintenant plsu très loin de nous et me dit: "Courage mon amour, je suis là". Il déposa un doux baiser dans mon coup et le médecin arriva:

- Bonjour jeunes gens! Vous êtes Amy Launch?
- Euh oui en effet ...
- Bien, alors votre mère s'est fait percuté par un camion, heureusement que c'était du côté passager sinon il n'y aurai plus personne! Elle a donc quelques quelques blessures au niveau du visage et un bras dans le plâtre pour quelques semaines. Elle dort actuellement mais vous pouvez aller la voir. Cela lui fera plaisir je pense, elle m'a raconté tout ce que vous aviez prévus dit-il avec un sourire.
Amy, les larmes aux yeux: Mer-merci beaucoup !! 
- Je vous en prie. Chambre 431.
Mon sourire disparu aussitôt. C'était la chambre où mon père avait vécu ses derniers moments. Baptiste eu sûrment la même reflexion que moi car il tourna son regard plein de tendresse vers moi, lui aussi avait perdu le sourire; le médecin qui avait bien cu qu'il se tramaint quelque chose demanda:
- Euh tout va bien?
Baptiste répondit à ma place:
- Oui oui c'est bon. Merci. 
- Alors je vous laisse, à dans quelques jours pour la sotie de votre mère Amy!
Et il s'enfonca dans le couloir où quelques infirmières s'activaient autour d'un lit dans le boucan pas possible des "bips". Je ne voulais pas assister à ce qui aller se passer; et une fois de plus, Bapt' eu la même pensée que moi car il prit la direction de notre très cher escalieret me tira par la main.

PDV Baptiste 


J'entendais des bips incessants qui provenaient d'un echambre où les infirmières s'activaient fermement. Je ne voulais pas assister à une mort et je pense qu'Amy non plus, je pris donc la direction des escaliers. 
Chambre 431! Je n'en revenais pas! N'y avait-il pas assez de chambres dans cet hôpital? Non, il fallait que le destin se déchaine et fasse encore plus mal à ma raison d'être. Depuis que j'ai rencontré ce rayon de soleil, il ne cesse d'être assombrit par les obstacles de la vie. Quand je l'ai rencontré, je me suis fait la promesse de la voir tout les jours avec ce si jolie sourire sur son visage. Mais je me sens nul, car à chaque fois qu'une chose se passe bien, une autre vient casser ce bonheur si fragile. On est enfin arrivé dans l'escalier, Amy lacha alors tout ce qu'elle pensait en pleurant à grandes eaux, je la pris dans mes bras. Ça me faisait mal de la voir comme ça. Je réussi à la calmer après quelques longues minutes, elle se redressa tout en gardant ses bras autour de mon torse et me dit:
- Baptiste ... Pourquoi cette chambre là?
Bonne question mon amour, pour toute réponse, je ressera mon étreinte autour de ses hanches. Elle reprit:
- Baptiste ... Je t'aime.
Et sur ces mots, elle m'embrassa. C'était un baiser remplie de sincérité, de tristesse, de douleur mais surtout ... D'Amour. Je n'avais jamais autant aimé une personne, c'était avec elle que je voulais construire ma vie, avoir des enfants. C'était la bonne, j'en étais certain. À cette pensée, je rendis notre baiser encore plus fougueux. À bout de souffle et à contre coeur, nous dûmes nous écarter, je murmura: "Je t'aime mon ange, tu es celle avec qui je veux construire ma vie". Une larme roula le long de sa joue et elle murmura: "Baptiste, tu es ma raison d'être; je ne peux pas imaginer ma vie sans toi. Je t'aime" . Une larme roula sur ma joue aussi, j'étais ému. Elle reprit la parole: 
"Maintenant, je vais essayer d'être la plus forte possible et je vais rentrer dans cette chambre qui signifie tant pour moi. Je vais prendre mon courage à deux mains et faire connaissance avec ma vraie mère, et pendant ce temps là, j'aimerais que tu sois à mes côtés. Parce que toi aussi tu as le droit de savoir". 
J'hocha la tête et mains dans la main nous nous dirigeâmes vers cette chambre qui contenait toutes ses origines, sa vie. 

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