XIX. This witch!

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Lendemain

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Lendemain.

Je me lève du lit et entre dans la salle de bain. Je ressors et m'habille d'un skinny noir troué au niveau des genoux, un crop top débardeur à bretelles fines blanc, et des Air max thea noir et blanche.

J'attache mes fausses locks, prends mon sac où il y avait nos maillots puis je me parfume. Idriss était déjà prêt.

On descend pour manger. Après, on devait attendre les gens qui allaient nous emmener faire une balade à pieds. Y'avait pas que nous, y avait d'autres touristes aussi.

Avec Idriss on faisait que se faire des bisous, câlins...

Quelques minutes après une femme et un homme arrive. Ils nous expliquent ce qu'on va faire puis on commence notre marche. On s'est arrêté au golf, il fallait que l'on fasse un groupe de 4. Une fille et un gars étaient avec nous. La fille c'était une métisse, et le gars c'était un français j'pense. On nous donne chaque un bois de parcours puis on va sur un terrain d'exercice. Idriss arrivait à jouer, la fille et le gars aussi sauf moi. Je lançais comme une grosse merde.

Moi : Idriss aide moi non ? J'arrive pas !

Idriss : T'es trop nul !

Gars : Si vous voulez je peux vous montrez comment faire.

Idriss lui a lancé un regard noir et lui a dit « Non, je vais lui montrer moi-même ». Bref, Idriss me montre comment faire. Le gars était comme un pervers en train de se frotter à mon derrière, mais bien sûr je lui ai mis un coup de pression il a tout de suite compris qu'il devait arrêter. Au fil du temps j'ai réussi puis un golfeur est venu voir si on arrivait à jouer et tout.

Après le golf, on a été faire du cheval. C'était trop bien, moi j'avais un cheval tout noir, il faisait un peu peur. Par contre, ça ne sentait pas forcement bon. Ensuite, Idriss a loué un yacht, c'était beau et grand. Ça l'a coûté la peau du cul mais lui il s'en balek'.

On se pose dans le yacht, j'étais tombé amoureuse. C'était trop beau. Je vais dans une chambre et me mets en maillot de bain. Idriss était partit faire je sais pas quoi, pour le moment je m'en fou, dès que je suis bien tout me va. Je mets mes lunettes de soleil et me pose sur un transat. Je ferme les yeux pour être tranquille mais un imbécile qui s'appelle Idriss me jette du transat.

Moi : Ça te fait rire de voir ta femme souffrir ?

Idriss : Ouais !

Moi : Tchip, bouffon.

Bien sûr, je l'ai dis bien bas pour pas qu'il me jette cette fois-ci hors du yacht. Je me relève, ramasse ma paire de lunette et remets en place mon transat qui était aussi tombé. Je me repose sur le transat en tchipant Idriss comme jamain. Il se lève et entre à l'intérieur. Il revient quelques minutes après avec deux verres de champagne.

« Les actes valent plus que les paroles. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant