XLII. Faded Away.

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Je rigole, il ne me ressemblait pas du tout et je ne le connaissait pas!

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Je rigole, il ne me ressemblait pas du tout et je ne le connaissait pas!

Moi: Est-ce qu'il sait que j'existe ?

Alain: Mais bien sûr ! Tu es sa première fille comme peut-il t'oublier ?

Moi: Pourquoi il n'a jamais chercher à savoir plus sur moi?

Alain: Je ne sais pas. Puis tu sais, ton père a d'autres enfants beaucoup plus petits que toi. Il doit s'occuper d'eux.

Tship. Donc moi je suis pas son enfant.

Moi: Mmh... Il a combien d'enfants ?

Alain: Au total il en a 8. Oui 8.

Moi:Je suis la plus grande?

Alain : Oui. Tu sais, il a un fils qui habite sur Paris. Il s'appelle Joris, il a 18 ans.

Moi: Ah bon? Tu savais ça maman?

Elle : Non! Je pensais que parmis ces enfants tu étais la seule majeure!

Maintenant que je sais que j'ai un petit frère, il faut que je trouve à tout prix le moyen d'être en contact avec lui et de le rencontrer.

. . .

Il devait être 20:30 lorsque je suis sortie du travail.

Ma mère n'était pas là et Ibrahim est chez Shaïna, elle voulait le garder.

Alors que je me déshabillait, mon téléphone se met à sonner.

C'était un numéro que je ne connaissais pas.

« - Allô ?

- J'ai besoin de toi?

- Idriss! Qu'est-ce que tu veux ?

- Il faut que tu viennes me chercher à *** c'est urgent!

- T'es drôle toi! Tu te rends compte dans quel trou pommé que tu veux que je viennes te chercher ? Et puis pourquoi tu m'appelle moi? Les putes que t'as baiser à Tokyo ne peuvent pas venir te chercher ? Tshiiip, bref m'appelle plus! »

Je lui raccroche au nez.

Idriss a trop crû qu'on était pote lui et moi? Il me fait rire.

J'entre dans la salle de bain me doucher.

Ensuite je descend au salon, au même instant ma mère entre avec une dame.

Dame: Bonsoir.

Moi : Bonsoir madame.

Maman: Tu vas bien ma chérie ? Alors elle c'est une copine à moi, elle va dormir ici ce soir parce que sa fille est partit dormir chez une copine mais elle a oublier de laisser les clés pour sa maman. J'espère que ça ne te dérange pas ?

« Les actes valent plus que les paroles. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant