XV. Meet Arnaud.

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Moi : Bref c'est pas la clé de la voiture que tu es venu chercher ? Monte au lieu d'ouvrir ta bouche pour rien !

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Moi : Bref c'est pas la clé de la voiture que tu es venu chercher ? Monte au lieu d'ouvrir ta bouche pour rien !

Il m'a attrapé par les cheveux et m'a giflé. Armel l'a poussé.

Christiane : Mais Idriss arrête, ça ne se fait pas !

Idriss : DÉGAGER DE MA MAISON ! SORTEZ BANDE DE PUTES !

Ils les faits dégager, tels des chiennes. Je n'ai pas peur de lui, il a qu'à venir me dévisager. J'irais porter plainte ! Il revient dans la cuisine, je vienne de me rendre compte que s'aurait été mieux si j'avais changée de pièce. Idriss me prend par le cou et me plaque aux murs.

Idriss : Comme ça madame veut se rebeller devant ses copines...

J'essaye de retirer sa main de mon cou, mais il le sert un peu plus. Je frappe sur sa main, j'arrivais plus a respirer. Il me lâche, je tombe au sol, il me donne des coups pieds au ventre, jambes. J'avais tellement mal, je criais comme une malade. Il me relève par les cheveux et me cogne au mur. Il a écrasé ma tête avec ses pieds, me crache à la gueule puis il sort de la maison. Je pleurais comme un bébé, c'est vrai que j'avais bien cherché ! J'essaye de me relever, je n'ai pas assez de forces. Je reste assise là, dans la cuisine à pleurer mon sort ! Je m'endors là.

Lorsque je rouvre les yeux, il faisait noir et je suis toujours dans la cuisine. Je me lève avec difficultés et monte. Je passe devant sa chambre, il est au téléphone. J'entre dans ma chambre, et vais dans la salle de bain. Je baisse un peu mon short et vois des bleus sur mon ventre, en plus ça me brûlait. Mon visage n'avait pas grand chose, juste une bosse sur le front, encore merci. Je me déshabille et prend une douche rapidement. Une fois terminée, je m'habille de mon pyjama et me couche sur mon lit. Même ci il m'a frapper, je resterais toujours aussi chiante ! Je l'embêterais jusqu'à ce qu'il ait marre de moi puis je fuirais avec sa fortune. Mon téléphone sonne, je réponds sans regarder qui c'est.

- Allô

Ça va ? Il t'a fait mal ? T'as pleurer ? Dis moi tout !

C'est Christiane.

- Je vais bien.

- Il t'a frappé ?

- Oui... Mais ça va !

- Si tu as quelques choses d'autres tu me dit !

- Oui...

- J'ai appelée la patronne pour lui dire que demain tu ne pourras pas venir.

- Merci....

On a continué à parler de tout et de rien jusqu'à 22 :16. Je raccroche et commence à dormir mais la porte s'ouvre sur Idriss. Je ne le regarde même pas et me retourne. Il s'assoit à coté de moi et caresse mon bras, je bouge un peu pour lui montrer qu'il me dérange.

« Les actes valent plus que les paroles. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant