Assise dans le van noir du groupe, Asuna était cernée entre DongHyuk et YunHeong. Assis au volant, HanBin lui jetait des regards tanto suspicieux, tanto furieux. Elle, le regardait l'aire de dire : "Et ouais, vous m'avez retrouvés. Mais vous m'avez bien cherché quand même, bande de cons"
Elle s'était fait prendre par JunHoe, qui l'avait vu et s'était approché discrètement. Asuna, qui c'était préparée à devoir courir, avait été prise par surprise.
Elle ressentait encore le stress qu'elle avait subit ces 4 dernières heures, à déambuler dans la rue, à fixer toutes les personnes l'approchant avec suspicion et essayer de ce faire la plus discrète possible. Et surtout, le moment horrible quand elle s'était retournée et avait vu JinHwan la fixer. Elle avait vraiment cru qu'elle ne pouvait plus bouger, son souffle était coupé. Mais pourtant, il s'est contenté de soutenir son regard, longtemps, et de partir, sans avertir ChanWoo, qui était avec lui -elle l'avait vu, et partait pour l'éviter- ni faire ne serait-ce qu'un geste pour l'attraper.
"Peut-être... ne voulait-il pas que les autres me retrouve ?"
Ces sous ces pensées pleines de doute qu'elle descendit du véhicule quand celui ci fut arrivé. Des gardes du corps les attendant l'escortèrent jusqu'à la porte, et la firent rentrer dans la maison. Au premier abords, rien n'avait changé. Mais en avançant dans la pièce, elle distingua petit à petit les modifications apporté à l'habitat : les fenêtres avaient été renforcé, tout comme la porte d'entrée qui était à présent sécurisé par une serrure à cartes magnétiques. Des caméras supplémentaires avaient été rajoutés dans les pièces, traquant les angles morts autant que ses restes d'intimité. D'un geste, elle se libera de l'emprise des gardes, et d'un pas précipité, ce rendis dans sa chambre. La aussi, une caméra la fixait d'un œil inquisiteur, et Asuna fut prise d'un puissant sentiment d'étouffement. Ou qu'elle aille, elle était traqué par le regard de ces machine, ainsi que ceux, pleins de jugements, des sept jeunes hommes qu'elle "côtoyait".
Bien que depuis sa naissance, et cela dû notamment à sa famille, le concepts de vie privé lui avait toujours été inconnu, et ce surtout depuis la fin de son adolescence, quand sa notoriété s'était accentué autant que sa médiatisation, jamais elle ne s'était senti aussi surveillé. Ces regards qui autrefois la rendait fière, maintenant pesait sur elle comme un poids, la forçant à s'arcbouté tel un être inférieur.La détresse paralysait ses pensées, l'empêchant de réfléchir à des solution plus convenable, et cela depuis qu'on lui avait révélé la véritable raison de sa présence ici, ainsi que l'accident grave de son père. Ainsi, elle se força à s'asseoir et à réfléchir calmement, faisant le tri dans son esprit.
Premièrement, elle était retenue contre son gré par un groupe d'idoles coréens, dont les ordres venait d'un PDG puissant disposant de nombreuse ressource. Celui-ci demandait à sa famille, contre sa libération, une importante somme d'argent.
Deuxièmement, son père avait eu un accident, sa vie était en jeu, et bien qu'Asuna fut elle même dans une situation médiocre, et ne s'en inquiétait pas moins pour son père, et elle espérait vraiment que la santé de celui ci était stable et s'améliorait.
Une fois rétablie -elle ne doutait pas que celui ci sois réellement en danger, son esprit refusant l'éventualité d'un décès ou de quoi que ce sois dans ce genre- il n'aurait aucun mal à payer le montant nécessaire pour sa libération, ainsi qu'a entamer une procédure judiciaire contre la YG entertainment, et tout les problèmes seraient ainsi réglé.
Troisièmement, un fait moins concret, portait sur Jinhwan. Ses agissements l'intriguait. Il la défendait, semblait la soutenir, et avant même qu'elle ne fut au courant des agissements du groupe, quand celui-ci se faisait distant, il avait été le plus présent des sept, et Asuna de son coté, se demandait pourquoi Hanbin les haïssait ainsi. Peut-être était il de son coté, ou était ce un stratagème, une feinte visant à lui faire espérer un allié, un soutien ? Elle ne savait pas, et le doute persistait, la forçant à de méfier. Au delà de ça, une image lui revenait sans cesse, celle du regard qui lui avait lancé avant de se perdre dans la fouille, quelques heures auparavant, ce regard qui la faisait frissonner et qui la faisait douter. Douter d'elle même, douter de ses sentiments. Mais elle préférait agir comme si ceux-ci n'existaient pas, et rangea ces pensées au fond de son esprit, se consentant sur les faits réels et concrets de la situation.
Asuna soupira, rassuré des faits de cette façon exposés. Tout cela lui paraissait plus simple, et elle ne doutait pas qu'elle sortirait de cette affaire indemne. Aveugle et insouciante proie.
Elle sursauta quand quelqu'un frappa à sa porte, et fit la sourde oreille. Malgré l'absence de réponse, la personne poussa la porte et entra.
C'était Jinhwan.
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Bonjour les gens ^^
Ce chapitre 15 est le premier chapitre depuis plusieurs mois, et je vous en demande pardon.
Je n'ai aucune excuse, si ce n'est les examens, et quand bien même, il sont terminés depuis plusieurs semaines.
Enfin bref ! J'espère que je ne suis pas trop fait attendre (c'est beau l'espoir) et je compte dès à présent reprendre un rythme régulier dans la publication des chapitres (même si il n'en reste plus beaucoup, et oui les amies, cette fiction est bientôt terminé !).
Je n'ai pas non plus été beaucoup présente sur Wattpad ces derniers mois, passant de brève fois pour lire quelques chapitres de certaines fictions, et j'en ai donc encore énormément à lire, à commenter et je peux vous dire que j'ai du boulot ! :DCe chapitre 15 donc, n'est pas très long, mais je pense que le 16 arrivera d'ici quelques jours, ainsi que le 17 (et 18 si 18 il y a, même si je pense que ma fiction sera fini avant ^^).
Je vous remercie d'avoir lu ce chapitre, d'avoir eu le courage d'attendre sa parution et de lire ma fiction ^^
Bisous !
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[iKON] Ensemble
Fanfiction« Je vais mourir. Mourir. Je vais mourir, maintenant. Je me répétais cette phrase en boucle. C'était insensé. Cela ne pouvait pas arriver, pas à moi. Aux autres, mais pas à moi. » « C'était eux. Comment avait-ils put me faire ça ? Les larmes coulaie...