Le rues des quartiers chics de Séoul étaient, comme toujours, bondées a cette heure-ci. Les véhicules freinaient et patientaient devant les piétons, qui eux prenaient un malin plaisir à slalomer entre elles. Les nombreux taxis présent klaxonnaient, furieux d'être ainsi stoppés dans leurs course.
Dans l'un d'eux, une jeune femme patientait, insensible au vacarme de l'extérieur. Pendant que son chauffeur passait ses nerfs sur l'agitation pourtant habituelle, cette femme, les écouteurs vissés dans les oreilles, tapait rageusement un message sur son téléphone portable.
Alors que son véhicule avançait péniblement, elle leva brusquement la tête sembla se rendre compte de l'immobilité du trafic. Soupirant, elle ôta les écouteurs de ses oreilles, puis ordonna au chauffeurs de stopper sa course. Sans prêter attention a son mécontentement , elle lui jeta quelque billets, pris son sac -assez volumineux- et sortie dans la rue. Elle contourna les voitures et s'arrêta sur le trottoirs. Elle saisit son téléphone, composa un numéro et quand son interlocuteur décrocha, lui hurla presque :
« Alors ? C'est quoi ton adresse à la con ? Parce que la je suis plantée au milieu de Séoul comme une conne ! Ah cause de qui, hein ? »Une voie féminine lui répondit :
« Tu ne peut t'en prendre qu'à toi même, chérie ! Mais bon, quand tu achètera une once de maturité et de raison ! L'adresse est "45, rue Min Ho Chin». C'est l'appartement 3 au 7ème étage. La dame qui t'acceuillera est une très vieille connaissance. Montre-toi respectueuse. »
« Ouais, c'est ça !»
Elle raccrocha tout aussi violemment.
"45 rue Min Ho Chin... C'est où ça ?" Elle chercha du regard un plan, ou quelque chose qui pourrait l'aider, mais il n'y avait que des passants pressés. Elle décida de tenter sa chance avec l'un d'eux. Elle se dirigea vers une femme d'une quarantaine d'années.
« Excuse me... Do you speak english ?"La femme la regarda d'un aire étonné, puis tourna les talons et continua sa route. Soupirant, et regardant la femme s'éloigner, elle se tourna vers un homme assez jeune, la vingtaine, et lui posa la même question. Celui-ci répondit dans un très bon anglais :
« Yes, Why ?»
[NDLA : A partir de maintenant, les dialogue seront en francais mais il sont en réalité dit en anglais.]
« J'aurais besoin d'un renseignement... Où se trouve la rue Min Ho Chin ?»
« Hem... Elle est tout prêt d'ici. Vous marcher encore jusqu'à l'embranchement là-bas, puis vous tournez à gauche puis à la première à droite.»
«Merci.»
Elle suivit la direction indiqué, et en chemin, pensa a ce qui l'avait forcer à parcourir la capital d'un pays inconnu, dans la langue lui paraissait fantaisiste, seule.
Cela était indigne de son rang social.
Elle, Asuna Tao Chan, fille unique d'une défunte et du multi-milliardaire Kimochi Tao Chan, lui même patrons d'une entreprise internationale de création de logiciels extrêmement chers -et extrêmement inutiles- que tous les bourgeois et "richoux" de banlieues s'arrachait. Tant de logicielle jugés débiles par Asuna, inventés à la chaine et qui faisait gagner beaucoup, beaucoup d'argent à son père -et donc à elle-. Une vie de rêve, être riche, avoir ce que l'on veut, être suivis par les média et avoir sa propre double-page dans les magazines people... Une vie de rêve, oui, si sont ingénieux de père n'aurais pas commit l'acte stupide de ce marier (à la mort de sa première femme) avec une pouf. Avec une grosse pouf actrice qui la détestait et qu'elle détestait aussi.
De plus, son père avec 45 ans et la pouf 29 ans. 29 ans ! Elle pourrait être sa sœur ! Mais pour sur, elle ne "l'aimait" que pour l'argent...
Enfin bon, toujours était-ce que sa belle-mère, pour la punir d'une petite bêtise, avait décidé de l'envoyer pour une durée indéterminé dans ce pays -la Corée du sud- alors qu'elle savait bien qu'Asuna n'y trouverais pas ses marques.
Cette bêtise, aussi minime soit-elle, à été reprise par ces même journaux people qui avait autrefois clamé ses louanges. Les gros titres affichaient "Asuna Tao Chan trompe son petit ami avec un plus jeune qu'elle" "Tromperie au sein des Tao Chan" "Une couguar chez les milliardaires ?". Et sa belle mère, à la fin de ses remontrances, selon lesquelles Asuna avait "bafouée l'honneur de la famille et déshonorer le nom de son père" m, en avait profité pour l'envoyer loin d'elle, des USA et de sa vie sociale.Ayant trouvé la rue, Asuna chercha le numéro 45. Il s'agissait d'une assez vieille bâtisse comme coincé entre deux restaurants chic, à l'aspect insalubre. A l'intérieur flottait une odeur étrange, et elle fronça le nez pour ce débarrasser de cette puanteur. "Voyons voir... 7ème étage." Elle chercha l'ascenseur qui n'existait visiblement pas. La jeune femme jura entre ses dents, et reprit de monter les escaliers. Arrivé au 7éme étages, haletante, elle frappa à la porte où un "3" était gravé couleur or. Le temps que la propriétaire ouvrit, elle examina l'étage : quatre portes sombres identiques, des murs délavés à la tapisserie écaillée, et -horreur- un sac poubelle éventré qui trainait dans un coin. Et toujours la même puanteur entêtante. "Oh mon dieu, comment ai-je pus entrer dans un endroit pareille ? Comment je fait pour tenir plus de dix minutes là-dedans ?"
A ce moment là, la porte s'ouvrit, sur une vieille femme d'une soixantaine d'années à l'aire mauvais.«Oui, c'est pourquoi ?»
Dit-elle d'une voix suraiguë et d'un ton hautain. Asuna répondit d'un ton hésitant, la gorge et le nez prit par une nouvelle odeur nauséabonde qui semblait venir... De l'appartement lui même.
« Euh... Je m'appelle Asuna, je suis censé... »
« Ah ! C'est toi ? La jeunette qui profite de ma bonne âme pour glaner mon logis ? »
"Et merde ! Si elle me provoque elle va pas faire long feu la p'tite dame !"
« Mais je m'en bat les couilles de ta niche à la con, la vieille ! Moi je veux juste de la bouffe et un hôtel 5étoioes pour dormir ! Tu crois que tu m'impressionne avec tes aires de putes à talon ! Pauvre conne ! »
Puis Asuna tournis les talons et redescendit les escaliers. Elle entendait de loin la vieille lui hurler en ricanant :
«Pauvre fille ! Bonne chance pour te trouver une "niche"»
Enfin dehors, elle respira un grand coup, pour ôter de ses poumons l'air dégueulasse tant respiré. Elle jeta violemment son sac contre un mur, et jurant entre ses dents, s'assit dessus brusquement.
Elle était à nouveau seule, et perdue dans cette grande ville où tout lui était inconnu.∞∞∞
Voilà, le premier chapitre de cette fiction sur le groupe iKON. J'espère qu'il vous a plus, c'est un peu de l'improvisation car je n'ai qu'une vague idée de comment rejoindre la parti final que j'ai écrite ^^.
Kiss&Enjoy ∞

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[iKON] Ensemble
Fiksi Penggemar« Je vais mourir. Mourir. Je vais mourir, maintenant. Je me répétais cette phrase en boucle. C'était insensé. Cela ne pouvait pas arriver, pas à moi. Aux autres, mais pas à moi. » « C'était eux. Comment avait-ils put me faire ça ? Les larmes coulaie...