Le combat d'une vie

Chapitre 4: Double Face

Plusieurs jours sont passés depuis ma nuit à l'hôpital. Quand je suis rentré chez moi le lendemain au soir, j'ai passé une soirée avec ma mère, j'ai éteint mon téléphone puis j'ai dormi. Je suis retourné à l'école le lendemain, donc mardi. Mike m'a ignoré toute la journée, je ne m'attendais pas à ça, j'aurai juste aimé qu'il me dise bonjour, et qu'il prenne soin de moi comme il le fais si bien depuis que l'on ce connaît. Les jours d'après, c'étais la même chose. Mike m'ignoré, il resté avec ses autres amis. Chris, Mona et Lisa me soutenait que tout rentrerai dans l'ordre, qu'il fallait le laisser un peu seul, qu'il n'avais pas encore réussi à encaissé toute cette histoire. Donc je n'ai fais aucun pas vers lui. J'ai laissé faire.

Vendredi 20 septembre - 10h30

Je devais rendre ma copie de présentation à Monsieur Scott la veille, hors avec toute cette histoire je n'ai pas eu le temps de la faire. Il est 10h30 et c'est l'heure de la pause pour tout les élèves du lycée, au lieu d'aller prendre l'air comme les autres, je profite de ce moment pour aller me poser à la cafétéria, rédigé cette présentation. J'entre dans la cafétéria, et j'avance pour trouvé une place dans un coin calme ou je pourrais faire ça tranquillement. Je tourne la tête à ma gauche, aucune place de libre, je la tourne à droite et là, j'aperçoit Mike installé sur une table pas loin de celle qui vient de ce libéré et où je voulais me posé. Mon coeur s'accélère, je sent une vague de chaleur s'emparer de mon corps. Mais ce fût pour une courte durée, je voit une belle blonde, un peu coquette, mais un style vestimentaire correcte, petits talons, pantalon serrant, et petite veste en jean, s'approcher de la table ou ce trouve mike, elle prend place en face de mon beau brun, ça devrais être moi, pas elle. Je le voit sourire à pleine dent, elle en fais autant. Et à ce moment précis, je sent mon souffle ce coupé, j'ai l'impression qu'on me brise le coeur en milles morceaux. Leurs mains ce pose sur la table et mike pose sa main sur celle de cette fille. Je n'arrive plus à respirer, j'ai une douleur à l'estomac, j'ai envie de vomir. Je pensé que la seule personne qui compter à ses yeux, c'étais moi, et là je le retrouve auprès d'une autre fille. Je sais bien que je l'ai envoyé baladé, que je n'étais pas étais correcte avec lui, mais même si rien ne s'est encore passé entre nous, j'ai l'impression qu'il est fais pour moi. Je ne peut plus rester là, le voir avec une autre fille me blesse, ça me déchire le coeur. Je tourne les talons pour partir, quand soudain, j'entend une voix très familière m'interpellé. C'est Lisa, qui m'appelle.

-Lisa: Hé Jenna! tu vas où comme ça? tu ne vient pas avec nous? ont boit un café.

Je rigole nerveusement face à Lisa, mon coeur est toujours en miette, et je ne peut pas m'empêcher de lui montrer le spectacle.

-Jenna: Regarde là-bas (je tourne la tête vers la table ou ce trouve Mike et sa blonde) tu comprendras pourquoi je ne veut pas rester ici, je vais à la bibliothéque, je doit rédiger ma présentation. Salut

Lisa reste bouche-bée face à la situation, elle ne sais pas quoi me dire, à vrai dire je ne lui laisse même pas le temps de me répondre quoi que ce soit, que j'ai déjà fuit. J'arrive au niveau de la porte de la cafétéria et je m'apprête à sortir, je me retourne une dernière fois puis je regarde en direction de la table de Mike, il lève la tête et m'aperçois, il ne retire pas sa main de celle de cette fille, mais il me regarde, comme il ne m'a jamais regarder. Je peut voir de la haine dans son regard, de la vengeance, mélangé avec de la tristesse. Il m'en veut, et il veut me le faire savoir. Mais pourquoi me faire souffrir, comme si je ne souffrais pas assez.

Je sors de la cafétéria et je me précipite vers l'ascenseur. Les portes s'ouvrent, j'entre, au moment ou les portes sont sur le point de ce refermé, quelqu'un les retient, c'est Mike. Qu'est qu'il me veut encore ? il veut me finir ou quoi? Il rentre dans l'ascenseur et appuie sur le bouton d'arrêt. L'ascenseur ce stop, il me regarde et me dis :