L'amour existe-t-il ? ( karma x Nagisa )[réecriture]

Chapitre 5

PDV Nagisa

985 mots, chapitre assez long, désolé >.<

J'arrive devant ma maison, très essoufflé après avoir couru une bonne dizaine de minutes. Je m'accroche à la poignée de la porte d'entrée pour reprendre ma respiration qui se calme aussitôt. Je vais charger, j'en suis sûr et certain. Vous vous posez sûrement des questions, bon...je vais vous raconter :

_je vis dans une petite maison à quelques pas du lycée, ma mère est secrétaire à temps plein et je l'adore. C'est elle qui me câline et ( essaie ) de me protéger depuis que je suis né, elle a certe, une allure un peu folle avec son look hipster. Mais je l'aime quand même. Ensuite, il y a mon père, je sais même pas si je dois appeler ça, un "père". Il est au chômage et abuse chaque soir de mon corps. Il est complètement taré. Il vient dans ma chambre à 18 heure pétante, une heure avant que ma mère revienne du travail et me déshabille, pour ensuite, abuser pleinement et librement de mon corps. Il compte chacun de mes suçon avant de passer à l'acte. C'est même lui qui m'a dépucelé. Il veut s'assurer que je n'ai pas d'autres relations, et pour cela, il les compte. En ce moment, j'en ai trente-deux sur le corps. Six dans le cou et vingt-six sur le haut de mon corps. C'est pour ça que je porte des chemises à manche longues ou des pulls avec des cols qui me couvrent la totalité de mon cou.  Il me dit de rien répéter à qui que ce soit parce qu'il sait, qu'un moment à l'autre, il va finir par le découvrir et dit que je signerai mon arrêt de mort. Il dit tout ça en rigolant, mais je sait qu'en lui, se trouve un soupçon de vérité. Après l'acte, je dois manger pendant une dizaine de minutes maximum et pour la suite, travailler comme un fou. Il veut absolument que j'ai de bonnes notes, et pour ça, je travaille jusqu'à minuit ou bien ça peut aller jusqu'à une ou deux heures du matin. Je vis cette torture depuis quelques années, depuis qu'il a perdu son boulot. Je déteste mon père. Je ne sais pas ce que c'est d'avoir un vrai père. Un père qui protège son enfant et fait tout pour le rendre heureux. Non, moi j'ai un père chômeur, violeur, fou. Je pleure parfois en cachette et me retire progressivement de la société._

Bref, j'affiche une expression triste sur mon visage quand je repense à tout ça. Je me gratte la nuque nerveusement, prend une grand inspiration et entre, frottant mes chaussure contre le paillasson, je sais que mon père m'attend, mon coeur s'accélère. Un frisson me parcoure le corps et mon sang se glace quand je le voit, en face de moi, un fouet à la main, le visage froid et sévère. Je baisse le regard, fixant le sol. Je vais passer un sale quart d'heure.

- Je...je m'excuse papa, je..je peux tout vous expliquez...

Et oui, je vouvoie mon père. Je suis bien obligé. Il me coupe alors la parole :

- qu'est ce que tu as fais tout ce temps hein ?! Dis le moi. Tu as rencontré quelqu'un c'est ça ? Viens dans la chambre, on va régler tout ça.

- m..mais papa, dis-je, les larmes aux yeux. Je...c'est mon anniversaire, je voulais profiter...ça n'arrive qu'une fois dans l'année donc il faut s'amuser...

- s'amuser ? Ricane-t-il. Je vais te montrer ce que c'est "s'amuser" tapette.

Il est plus énervé que d'habitude, ça se voit. Les traits de son visage son tirés et ses sourcils sont froncés. Il me tire par le bras et m'emmène dans sa chambre, son lit étant beaucoup plus grand que le miens. Une larme coule sur ma joue, je ne veux pas souffrir, il reprend en me donnant une gifle :

- Pleurer c'est pour les faible Nagisa, arrête ça de suite.

- Ou..Oui papa. Bégayais-je.

Il m'allonge brutalement sur le lit et ne perd pas de temps pour me détacher un par un, les boutons de ma chemise. Je ne le repousse pas, car je sais que, si je le fais, il m'attachera.
Mon père enlève complètement ma chemise, ce qui laisse découvrir mon corps frêle, coloré de suçons violets ou rouges. Je tremble en fixant mon père qui sourit en coin avant de compter un à un, mes suçon :

- vingt-neuf, trente..trente et un...trente deux, le compte et bon, annonce-t-il, enfin satisfait.

Il détache mon pantalon et me le baisse brutalement. J'ai peur, mon père énervé, ce n'est pas bon signe. Il jète mon pantalon à l'autre bout de la pièce, un sourire en coin se dessine au coin de ses lèvres. Il se penche pour m'embrasser le ventre, y laissant un nouveau et trente-troisième suçon, bien voyant celui-ci. Il fini par me déshabiller complètement, laissant mon corps à nu.

- Tourne toi, et vite. À quatre pattes.  Me dit-il avec tant de fermeté dans sa voix.

Je m'exécute et me tourne, mon corps tremblant. J'utilise mes épaules comme appuie, remplaçant mes bras, mon père ayant finalement décider de m'attacher les poignets afin que je ne puisse pas bouger lors de ma punition. J'écarte alors les jambes et bombe timidement les fesses. Je tourne délicatement la tête pour le regarder. Il défait mes cheveux et s'empare d'un fouet. J'écarquille les yeux en ratant un battement. Je n'ai jamais vu mon père aussi énervé, il se cale derrière moi et me donne un coup violent sur mes fesses, je ressent alors une douleur puissante sur ma fesse droite, je crie :

- P...papa ! S..stop !

Erreur. Il finit par me bâillonner et me redonne un coup plus puissant sur mon autre fesses. Je ne peu plus hurler, je me contente d'enfouir ma tête dans l'oreiller maintenant baigné de larmes.

Ce n'est que le début.