Ô, cette alchimie qui est en toi,
A embellie mon indécente foi,
Pourquoi suis-je triste, pourquoi suis-je heureux ?
Car tel un pessimiste je suis ocreux !
Ne regarde pas mon abject visage,
Qui semble être une bâtarde sur un nuage,
Et oublie mes folles paroles sans heures,
Mais écoute l'auréole de mon cœur,
La passion et l'allégresse du tien,
Te permettra rédemption sur mon bien,
Il y a tant de choses qu'on a à mettre en commun,
Pour que nos roses finissent sur le même chemin,
Oui, cela signifie que je t'aime,
Ceci n'est en aucun cas anathème... .
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D'orgues et de plumes
ŞiirDivers petits poèmes écrits d'une plume novice par temps de pluie durant le lycée.