Allah (سُبْحَانَهُ وتَعَالَى) m'a sauvé

Partie 18 :

Bismillahi ar Rahmani Rahim

Il était incompréhensible vraiment. Et ça n'allait pas s'arranger avec le temps. En rentrant, j'ai pris l'initiative de le contacter car je lui avais ramener un petit souvenir de là ou j'étais partie et je voulais juste lui donner. Bizarrement il m'a répondu tout de suite et a débarqué quelques heures après. Quand je lui ai donné j'avais l'impression de voir un enfant, c'était un vieux truc mais le geste avait l'air de le toucher, il voyait que malgré tout je restais là. J'attendais RIEN en retour hein sachez-le, c'est juste que je suis comme ça avec les gens auxquels je tiens. Après ça, il m'a demandé comment ça c'était passé si j'avais parler à quelqu'un etc. Les questions typiques d'un homme à sa femme alors que ça n'était pas le cas entre nous. Il me parlait comme si de rien était, et comme je ne suis pas quelqu'un qui remets les choses sur le tapis dans ces circonstances là.. Bah j'ai fais la conne comme à mon habitude à rigoler avec lui alors qu'au fond de moi je pensais toujours à ce qu'il m'avait dit. Il restait 1semaine avant que je recommence mes études pour de bon et j'étais à la fois contente, à la fois soulée par les vacances que j'avais passées. Rayan et moi on s'est vu 2,3 fois (je précise que c'est lui qui me demandait à chaque fois). La 3ème fois j'ai eu le droit une fois de plus à ses paroles désagréables: il m'a dit qu'on devait arrêter de se voir, qu'il s'attachait autant que moi et qu'il voulait pas qu'on s'attache encore plus sachant que c'était impossible entre nous et tout donc voilà une fois de plus je n'ai rien dis. Je le regardais et franchement ça me choquait parce qu'il était plus mal que moi en fait. Mais bon pour moi c'était la fin, je pensais que je n'allais plus jamais entendre parler de lui.