Chapitre 9

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Comme promis, voici la suite !

Chapitre un peu long, mais à mon avis vous ne risquez pas d'être déçues... ^^

Bonne lecture ! N'hésitez pas à voter et commenter, celà fait toujours plaisir !


- Ton cavalier est arrivé ! Roucoula Marta.

J'avais passé la journée à me préparer avec les filles. En début d'après-midi, nous nous étions rendues dans le petit salon de coiffure où travaillait la grande sœur de Susan. Les autres jugèrent le salon avant même d'y avoir pénétré et ceux, simplement à sa façade... Il aurait fallut s'en douter ! Mais après être passées sous les mains expertes de Clara, elles se turent absolument ravies. Puis, pour leur faire plaisir, j'avais appelé un chauffeur, et lui avait commandé de nous conduire plus au nord de la ville, là où les boutiques chics se trouvaient. Coiffées et maquillées, nous essayâmes de nombreuse robes, toutes plus chères les unes que les autres. Susan n'acheta aucune robe elle, soit disant parce qu'elle en avait déjà une chez elle. Je lui en aurais bien payé une, mais elle refusait de me demander de l'argent. Pour ma part, je craquais pour une magnifique robe blanche. En fin d'après-midi, je rentrais donc plusieurs sacs à la main pour me changer. Il ne me restait plus qu'a attendre l'arrivé de Maël, et, il venait d'ailleurs d'arriver à en croire le bruit de la sonnette qui retentit.

Marta lui ouvrit la porte, et je m'empressai dehors. Maël portait un léger pull bleu clair, et un jean. Il aurait pu faire un effort... Bien qu'à sa place, je pense que j'aurais fait de même, il faudrait être fou pour porter une chemise par ce temps.

- Tu es magnifique. Dit-il en me faisant un baise main.

Il me tendit son bras et m'ouvrit la porte du côté passager. Marta nous fit un grand sourire, et referma l'entrée derrière elle. Il mit la musique à fond, pas très cosy comme ambiance.

- J'adore ce que tu as fait à tes cheveux. Me susurra-t-il.

Arrivés là-bas, il se mit à m'entrainer vers la piste de danse. Il y avait un monde fou à l'intérieur, et la musique me vrillait les tympans, mais en bonne reine de la fête qui se respecte, je décidais d'y faire abstraction et commençais à danser de façon langoureuse.

Bientôt, un cercle respectueux se forme autour de nous deux, et les filles se tracent un chemin jusqu'à nous. Mais cela ne me suffit déjà plus, il m'en faut plus. Je vais me chercher un verre pour m'empêcher de réfléchir. Je ne sais pas d'où viens cette envie mais je n'ai qu'une chose en tête : me faire le plus de mal possible. Je cogite toujours beaucoup trop... Maël danse toujours autour de moi et même si je trouve que ses mains descendent un peu trop bas sur mes hanches, je ne lui fait rien remarquer. Au contraire, je me montre encore plus sulfureuse et enroule mes bras autour de son cou.

Ni une, ni deux et le voilà qui m'embrasse fiévreusement. Au départ ce baiser n'a rien de désagréable et puis voilà qu'il me dégoute, j'en ai la nausée. Je le repousse et attrape un autre verre au passage. Tout s'accélère, nous nous embrassons de manière bien plus langoureuse et je dois me faire violence pour ne pas craquer.

Après tout c'est ce que tout le monde attend non ?! Que je l'oubli ?! Une fois pour toute c'est ça ?! Eh bien d'accord... J'empoigne son bras et il me suit jusqu'à l'étage en continuant de m'embrasser et de faire balader ses mains sur mon corps dés qu'il en a l'occasion. Je sais que je suis entrain de faire une grosse connerie, mais j'ai tellement envie de souffrir, ressentir quelque chose.

A peine sommes nous entrés dans la chambre qu'il me jette sur un lit et commence à retirer son pull, il est très fiévreux mais mon manque d'entrain ne semble pas le déranger.

Just like fireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant