Partie 41.

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Partie 41.

Je suis Wassim vers la salle de bain, au finale je suis assez contente d'être ici.

Moi - *chuchote* Vous êtes trop beau avec ta maman et c'est hyper beau chez toi ! C'est accueillant et chaleureux, j'aime trop.

Wassim - Ah oui ma mère c'est ma vie, elle sera contente quand tu lui dira que c'est beau ici ! La décoration c'est passe-temps et son kiff.

On se lave les mains et nous retournons au salon. J'aide la mère de Wassim à mettre la table et l'adhan retentit.
On s'installe, en vite fait j'envoie un message à Neyla qu'elle s'inquiète pas et que je suis chez Wassim

Après que l'adhan soit finis, nous commençons à manger.

Ahlem - Alors Maissa, parle moi un peu de toi.

Moi - Comme vous savez je m'appelle Maissa, j'ai 17 ans et je suis Comorienne/Algérienne. J'ai plus ma maman et mon papa je n'ai plus de contact... C'est vraiment une longue histoire.

Ahlem - Ah désolé ma chérie, mais en me disant ça... Tu n'es pas celle qui est passé aux infos avec ses frères et sa sœur Neyla ?

Wassim - Maman !

Moi - *petit rire* Non c'est rien Wassim et oui c'est moi.

Ahlem - Encore désolé.

Moi - Non c'est rien.

[...]

Au seuil de ma porte, 22 heures.

Wassim m'a accompagné jusque devant ma porte, j'ai passé un énorme moment avec eux.

Wassim - Ma mère est fan de toi.

Moi - *petit rire* J'ai passé un agréable moment, merci beaucoup.

Wassim - Normal t'es le sang, bon bonne nuit grosse tête.

Moi - À toi aussi.

On se fais une accolade et je rentre moi. À mon retour, je vois toujours Souleymane. Il force tarpin ce gadjo, Neyla arrive et me fais un câlin.

Neyla - C'était bon chez Wassim hein.

Moi - Comment tu sais que j'ai mangé là-bas même ?

Neyla - Parce que tu me l'a dit daba.

Moi - Ah ouais mort, tu mangeras là-bas avec moi.

Neyla - Cool, je t'ai laissé à manger à la cuisine.

Moi - Merci, ils sont où les garçons ?

Neyla - Nassim se douche et Marwanne dort.

Moi - Ah ça va.

[...]

Maintenant nous allons passer aux choses sérieuses !

[...]

// Quelques semaines passent \\

Le ramadan s'achève, nous avions passer un mois bénie. Nous avions passé l'Aïd c'était énorme et pour finir Neyla a eu son brevet mention bien.
Dans nos vies, tous se passe pour le mieux.
Avec mes frères nous sommes au top, ainsi qu'avec Neyla. Malgré les disputes que nous avons, chaque jour je les aime encore plus !

Mais, il manque toujours un petit vide. Il manque toujours des questions sans réponses, il manque se visage familier, il manque des explications.

[...]

Au salon, 10 heures.

Aujourd'hui je ne me sens pas de sortir, j'ai envie d'être seule.
Marwanne et Neyla sont partis faire du shopping, en tant normal je serai la première à les suivre mais je suis blasé. Nassim doit être dans son entraînent de foot où quelques choses du genre.

Je ne sais pas pourquoi, mais je ressens ce vide. Je ressens ce manque, j'arrive plus à faire semblant.

Je m'allonge sur le sofa et machinalement, mon regard se pose sur celles de ma maman. Je regarde le cadre avec insistance, mes émotions que je refoule commence à se faire terriblement ressentir.

Je me redresse et j'ai qu'une envie c'est de prendre ce cadre et de me remémorer mes souvenirs...
Une fois que je l'ai entre les mains, je m'assois en papillon sur le sofa et me concentre.

Je reste là, en étant obnubilé par sa magnifique beauté. On peut dire d'où viens ma beauté lol, ses grands yeux perçant. Son nez fin tout mignon, son sourire d'ange ainsi que ses fossettes qui font craquées.

J'inspire profondément en fermant les yeux, je force mon cerveau à ce que mes souvenirs revienne.
D'un coup, un micro flash back reviens peu à peu.

Je devais avoir quelques mois, ma maman est entrain de m'allaitée. Je viens de prononcé le mot "maman", elle me répond avec un baiser et finis par dire "mon bébé" et puis plus rien.

C'est tout dont je me souviens, je force encore mais sa ne veux pas revenir.
À ce moment là je commence réellement à pleurée, je pleure tel un bébé qui cherche sa maman.

Mais moi maman, mon cœur te cherche mais mes yeux ne te trouve pas.
Je ne trouve même plus les mots, pour te parler de mon cœur. L'espoir n'est plus qu'un tombeau, où l'on enterre le bonheur.
Je te ressens près de moi, je cherche espoir qui m'aidera à vaincre ce destin.

Je pleure mais tu ne m'entend pas, je t'appelle mais tu ne me voit, je t'aime j'ai besoin de toi, je t'en pris reviens vers moi maman...

« Elle est mon âme, elle est mon cœur. Elle est ma flamme, mon bonheur et celle qui m'a donné la vie. Elle fait partie de moi !

Elle est mon sang, elle est mes yeux. Elle est mon ange, mon demi-dieu et celle qui m'a donné la vie. Elle fait partie de moi !

Elle est mon ombre, elle est ma voix. Elle est mon or, elle est ma foi et celle qui m'a donné la vie. Elle fait partie de moi !

Elle est ma chance, elle est mon souffle, mon existence et plus que tout. C'est celle qui m'a donné la vie, elle fait partie de moi ! »

Je suis au bout de ma vie, j'ai terriblement mal au cœur. C'est trop comme elle me manque, je l'a veux auprès de moi.
Je m'effondre quasiment, je ne vais pas dire jusqu'à m'arracher les cheveux. Mais je suis vraiment mal, pourquoi me l'avoir privée ? J'ai besoin d'elle.

Soudainement, j'entends la porte d'entrée claqué. J'accours à la fenêtre et aperçois Nassim partir à un pas déterminé quelques part...
Je vous jure que mes intuitions envers Nassim sont quasiment confirmer et là je crains largement le pire.

J'embarque mon téléphone et cours en essayant de rattrapé Nassim. Entre-temps, j'envoie un message à Marwanne en disant que Nassim fera peut-être une bêtise.

J'entre-vois Nassim pénétré dans un bâtiment, en suivant mon instinct j'envoie l'adresse sur laquelle je me trouve à Marwanne et décide d'entrer à mon tour dans le bâtiment.

L'odeur me dégoûte, je sèche mes larmes et monte avec peur les escaliers palabré. Les murs craquent, les marchent grincent puis j'entends deux voix graves résonné.

Une porte est entre ouverte, je glisse mon regard et deux silhouettes est présente.
Nassim et un homme, un homme dont je ne vois pas le visage. Il a l'air un peu vieux de dos, je ne sais pas qui sa peut être.

Pour l'instant je ne fais rien, je ne dis rien jusqu'à que sa dégénère gravement.

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Maissa - Quand la vérité frappe elle ne prévient pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant