DESTRUCTION WW5

CHAPTER FOUR

salut les knackis (pourquoi je dis ça exactemetn ptdrrrrr, ah oui c'est JFL qui déteint sur moi à nous appeler toujours par des noms de bouffe à chaque début de chapitre bref)

désolée pour n'avoir rien posté la semaine passée, mais comme j'avais prévenu, je suis partie en vacances et j'ai préféré profiter un max et donc pas écrire... BREF LA JVOUS ENVOIE DU LOURD JTROUVE BC J'AI KIFFE ECRIRE CE CHAPITRE C'ETAIT JOUISSIF MDRR et puis vous commencerez vraiment à voir tout le mystère qui se forme... enfin jcrois m'enfin vous m'en direz des nouvelles, j'attends vos avis avec impatience

jvoulais savoir, vous aimeriez qu'un personnage en particulier soit un peu plus mis en avant? je compte faire quelques chapitres comme ça, mais... peut-être que ça ralentirait la trame de l'histoire donc chui en train d'y réfléchir, mais dîtes moi quand même si vous préfériez que certains personnages soient vraiment dans le coup (ah oui vous inquiétez pas, pour l'instant je parle pas beaucoup de certains personnages... y en a une de l'équipe que j'ai même pas encore évoqué alors qu'elle est présente mdr ça craint mais elle me sert pas à grand chose pour lmoment mais patience my friends)

chapitre un peu long, de toute façon, va falloir vous habiter avec cette fiction, c'est pas le même genre que amd ou je faisais mes 3000mots, mais là c'est plutôt entre 4000 et 5000 mdrr

ENJOY MY LOVES

CHAPITRE QUATRE : « àen trembler jusqu'à l'os »

     Nous sommes rentrés trempés et couverts de boue. Une radée de pluie est tombée sur nos têtes, rendant nos pas d'autant plus lourds et notre esprit d'autant plus miséricordieux. Lorsque nous avons passé le seuil de la forteresse métallique, le reste du groupe était présent. Des regards interrogatifs nous ont fixé, et ont finalement compris la disparition de Leandro à nos têtes dépitées.

   Tremblant jusqu'à l'os, les perles d'eau tombant devant mes yeux, je n'ai prononcé mot et me suis cloitré dans cette chambre que l'on m'a donné sans préambule, ce matin-même. Tout n'était qu'obscurité et remords. Sans même passer par la case « douche », je me suis effondré sur le lit impeccable, le regard vide. C'est alors que j'ai commencé à me poser des questions. Notamment sur mes géniteurs, réalisant que je ne parvenais pas à me rappeler de leur visage. Leur voix. Leur regard. Rien. Mon passé avant mon arrivée ici ? Que dalle, le néant. Et puis, j'ai commencé à me gratter la nuque, pris d'horribles démangeaisons, jusqu'à que la chair de ma peau apparaisse sous mes courts ongles et que du sang perle sur les draps blancs immaculés du lit double. Interminable, jusqu'au moment où mes paupières se sont abaissées pour sombrer dans un profond sommeil bercé par la torpeur nocturne.

   J'ouvre lentement les yeux. Mon regard est penché sur le sol et les couvertures froissées qui sont tombées par terre, traînant encore leurs extrémités sur mon lit qui est à présent dans un état pitoyable. Je referme doucement les lèvres de ma bouche qui était entrouverte quelques instants plus tôt et rapproche mon bras à mon flanc, qui tombait hors du lit, là aussi, une poignée de secondes auparavant. Les draps sont à présent couvertes de tâche de boue et même de sang. J'amène ma main jusqu'à ma nuque, qui semble bien écorchée. Le sang a presque cessé de couler, même aucune croute ne s'est encore formée. Les évènements de la veille ma parviennent à nouveau. La mort de ce Leandro. Comment sa disparition a-t-elle pu me toucher à ce point ? Je ne le connaissais depuis que quelques heures, et sa bravoure ne m'avait pas subjugué. Et puis, il connaissait les risques de son entrée dans le programme. Alors, pourquoi le pleurer ? Je me redresse doucement. Mes vêtements tâchés et humides collent à ma peau. Le seul point affligeant est qu'il nous manque à présent un élément dans notre équipe, ce qui équivaut à que l'équipe adverse est en légère supériorité numérique. Sauf si Guilia et Alec ont bien fait leur boulot.