DESTRUCTION WW5

CHAPTER SIX

BONJOUR LES JEUNES

moi, jean-luc débarque avec un nouveau chapitre! bon alors, je sais pas quoi penser de ce chapitre, mais j'y ai toutes les émotions possibles que pouvaient ressentir mon petit chaton daegan, qui a été une véritable torture pour moi de l'écrire parce que sa douleur était tellement immense qu'il ne pouvait résister à l'envie de... ok jme tais, mais attention, ce chapitre peut contenir des propos qui peuvent être heurtant pour certaines âmes sensibles mdr, moi personnellement je n'ai pas du tout de mal avec ça, mais si vous aimez pas trop... les couteaux ou certaines, je dirai, "méthodes de dissuasion forcée", préparez vos petits cœurs.

JPLEURE PTN

j'ai besoin de vos avis, bc AAAAAAAAHHHHHH JFAIS DU MAL A MON PETIT ANGE ET JSAIS PAS COMMENT VOUS ALLEZ REAGIR

enft chui en train de spoil im the devil in person hihi
       

CHAPITRE SIX : « de la lumière des ténèbres »

Soudain, je suis propulsé contre un arbre, privé d'air. Un visage aux traits asiatiques apparaît devant moi, mes pieds décollent du sol alors que je secoue mes bras dans tous les sens comme une poupée désarticulée. Les doigts de mon agresseur s'écrasent contre mes jugulaires, mon cerveau n'est plus alimenté en oxygène, le monde autour de moi ne devient que brouillard. Totalement désorienté, je tente d'envoyer mes poings dans sa figure, en vain. Je tente de crier à l'aide, un élan de panique montant en moi. L'ennemi me fixe, d'un air déterminé, un sourire presque sadique aux lèvres. Les larmes me montent aux yeux sans que je ne le demande. Vais-je mourir étouffé, sans que personne ne s'en soit rendu compte ?

Les doigts s'enlèvent brutalement de mon cou. Je tombe au sol, n'ayant réussi à prendre appui sur mes jambes titubantes. J'inspire une grande bouffée d'air éraillée. J'apporte ma main à mon cou, les paupières papillonnantes. Des bruits de coups parviennent jusqu'à mes oreilles. Je respire longuement, reprenant mes esprits, puis lève la tête vers deux silhouettes qui s'emmêlent et se déchirent. L'une est propulsée par son adversaire et tombe à terre. Le vainqueur s'assoit sur son buste et cale la semelle de sa chaussure sur son cou.

Tout tremblant, je me relève, manque de tomber. Je me rattrape de justesse aux silures du tronc d'arbre et tente de mettre des visages sur les tâches d'ombre. Je manque de rater un battement lorsque je vois mon ancien assaillant totalement prisonnier sous l'emprise de Louis. Louis. Celui que j'ai presque battu à mort quelques heures plus tôt. Maintenant que mon regard s'est habitué à l'obscurité, je peux apercevoir les ecchymoses qui parsèment sa peau.

Le combat est terminé, l'ennemi est resté collé au sol, vaincu. Mon camarade d'équipe relève les yeux en mon encontre, m'incitant à lui donner un coup de main pour attacher notre nouveau détenu. Je reste totalement figé quelques secondes, puis, finalement, chancelle jusqu'au duo et redresse notre adversaire perdant. Avant même que ce dernier ne se mette à hurler à l'aide, Louis lui décoche un tel coup de poing dans la figure que le grand asiatique sombre dans les ténèbres. Je déglutis difficilement et tente tant bien que de mal à maintenir notre prisonnier inconscient sur ses pieds.

— C'était indirectement pour moi, ce coup ? me surprends-je à demander avec un gloussement nerveux.

— Peut-être, se contente t-il de dire en détournant le regard devant lui.

— Merci.

Je devais lui dire. Il m'a sauvé la vie, alors qu'il aurait pu me laisser agoniser entre les mains de ce gars, et ne plus avoir à s'en faire pour sa propre existence. Il hoche doucement la tête, et nous nous mettons en route pour rejoindre le groupe sur cette courte entrevue. Tous se sont presque rassemblés. William, Hayden et Isaak rejoignent le cercle, les visages bouffis par la chaleur et le souffle court. Tous, dévisagent notre prisonnier, et les regards jetés deviennent malicieux.