DESTRUCTION WW5

CHAPTER TEN

大家好

(avouez jtape dans l'originalité là, bon, j'avoue, j'ai utilisé google traduc, mais jme promets que j'apprendrai un jour à parler un peu chinois parce que j'adore mdr)

alors, je dois avouer que ce chapitre va être relativement court, c'est-à-dire, environ 1550 mots (alors que je hit les 3000 d'habitude), mais c'est que le titre de mon chapitre convient parfaitement, bah, au chapitre mdr et que la fin bah elle est va vous donner un coup sur la tête mdr, et je ne voulais pas gâcher cet effet en poursuivant sur quelque chose qui n'a aucun rapport, voilà pourquoi c'est aussi court

j'ai plus tellement d'idées concernant la partie une de la fiction, donc je pense que je vais bientôt la terminer, je ne peux vous en dire plus pour le moment, vous le verrez en temps voulu :)

n'oubliez pas de me montrer que vous appréciez l'histoire rien qu'en faisant scintiller l'étoile, ça serait déjà super cool, et puis si vous voulez en discuter, commentez, et si vous accrochez vraiment à la fiction, parlez en à vos proches, histoire de faire un plus gros fan-club mdrrr

ps: maintenant que vous êtes des habitués des persos, vous voyez sûrement qui est le fameux hayden, le russe polyglotte (je ne lui avais donné moins d'une dizaine de langues mais je pense que je vais doubler puisque c'est vraiment un don qu'il a), et bien j'ai décidé qu'il soit représenté par l'acteur dane dehaan, tout d'abord parce que j'adore ce mec, et puis, parce que qu'il s'accorde superbement au perso, avouez hihi

CHAPITRE DIX : « affection ensanglantée »

     Mes pas s'enchaînent maladroitement, mes genoux tombent dans la viscosité de son sang, à ses côtés. La respiration coupée, mon regard paniqué examine son corps meurtri, son visage couvert de contusions, d'enflures bleuâtres et de traînées vermeilles.

     Automatiquement j'amène ma main sur la plus importante des plaies, flanquée sur le côté du thorax, ce qui provoque soudainement son réveil. Ses petits yeux gonflés remplis de panique s'ouvrent et le cri de douleur qu'il tente de pousser n'est qu'un râle d'affliction. Je me place au-dessus de lui pour lui montrer ma présence. Le voir dans ce pitoyable état de vulnérabilité me rend étrangement tout aussi faible qu'il ne l'est.

— Je suis là, dis-je. Ne bouge surtout pas.

     Je doute qu'il ne comprenne quelque chose d'aussi distinct qu'un bredouillement sifflé. Ses yeux finissent par me percevoir et son corps tout entier semble s'apaiser sous la pression de ma main. Ses lèvres tuméfiées tentent de bouger mais le son qui en ressort reste totalement muet. 

— Sois tranquille, Laila est sur le chemin, on va te remettre sur pied, dur comme t'es, le rassuré-je avec le plus de calme possible.

     Soudainement, ses doigts bleutés et irrités attrapent le poignet de ma main que j'avais gardé posée près de la flaque de sang. Mon regard divague entre sa main et son regard qui semble rempli de détresse. Alors, sans attendre, je laisse glisser mes doigts contre son poignet pour ensuite sentir ses phalanges me serrer avec toute leur force restante.

     Les voix d'Elene et Laila résonnent désormais dans mon dos, jusqu'à que la médecin attitrée du groupe s'abaisse de l'autre côté du bassin d'Alec. Pourvue d'un calme presque autoritaire,  elle inspecte le corps tout entier du blessé et remarque même ma main qui exerce une pression contre son thorax.

— Bon, ok, Elene, prépare moi une chambre, on va le déplacer. Blessure par arme blanche plutôt sérieuse, dit-elle en relevant légèrement mes doigts, mais elle n'a apparemment touché aucun organe. Je dois aussi évacuer le sang des yeux et vérifier qu'il n'a pas de trauma.