DESTRUCTION WW5

CHAPTER FIVE

bonsoir à tous (uno dos tres, hihi, voilà jvous ai montré mes compétences incroyables en espagnol)

alors jreviens pour un nouveau chapitre plus court que d'habitude et beaucoup moins intriguant... j'étais obligée de le mettre, il est en quelque sort transitoire avec le prochain chapitre QUI VA ENVOYER DU BOUDIN vous voyez ou pas?? (mdrrr ok jsors non en fait vous avez besoin de moi pour avoir la suite hihi) j'ai malgré tout apprécier l'écrire parce que j'ai adopté en pdv externe au début du chap et j'ai mis un peu de GIRL POWER dedans mdrrrr

enjoy your reading, ladies and gentlemen

       

       

CHAPITRE CINQ « entre espoir et certitude »

Les jeunes femmes du groupe regardent partir les membres masculins de l'équipe, un à un, en commençant bien évidemment par un Daegan qui avait effrayé les troupes de part son regard assassin et sa technique de combat aiguisée et infaillible face à un Louis totalement perdu et apeuré, s'est ensuite rapidement retiré des mains d'Alec et s'est enfui honteusement du gymnase.

Ces dernières se réunissent en un groupe compact même si deux personnages féminins manquent à l'appel : tout d'abord Guilia, qui préfère se rattacher au groupe masculin ce qui est totalement ridicule aux yeux de certaines filles ainsi que de Laila, forcée à soigner le perdant.

Elene, le grande bouclée à la peau sombre laisse ses yeux divaguer sur ses camarades. Elle finit par pousser un soupir, agacée par l'ambiance malsaine de l'équipe et de leur avancée plus que lente et tumultueuse sur la route de la victoire de pays entiers.

— On doit faire quelque chose, lâche t-elle.

— C'est clair, répond Aalijah en roulant des yeux.

Toutes se consultent du regard. Et comprennent. Elles se dirigent donc toutes dans de pas rythmés jusqu'au sous-sol de la base, dans une petite pièce composée d'une seule table ronde surplombée par un jeu de lumières de spots. Aalijah et Isaak avaient trouvé cette étroite salle que l'équipe a décidé de la surnommer la salle des conseils quelques jours plus tôt. Jusqu'à maintenant, elle a été inutile au groupe loin d'être soudé. Mais aujourd'hui, il est temps de l'utiliser.

— Un plan ? demande la petite rousse aux yeux verts et toujours d'une discrétion incroyable, Lidia.

Elles s'assemblent autour de la table de verre dénuée d'ornements.

— Nous devons savoir qui ils sont, quelle est leur hiérarchie, l'exploitation de leur base et de ses alentours et leurs possibles plans, lance la deuxième française du groupe, Valentine.

— Exactement ! répond avec vivacité Jessica en sautillant.

Aalijah lève l'index en l'air, les yeux écarquillés et un sourire aux lèvres et informe les trois autres filles qu'elle revient. Elle disparaît de la pièce, puis réapparaît quelques instants plus tard, un carton dans les bras. L'américaine pose dans un lourd fracas la boite sur la table de verre et ouvre les pans. Elle y retire un large rouleau de papier, qu'elle tend à Elene, qui le déplie sur la table. Il est totalement vierge, au grand étonnement de ces dames. Aalijah sort ensuite des crayons de papier qu'elle dépose sur le plateau. Elle laisse tomber le carton au sol et le balance d'un coup de pied jusqu'au fond de la salle. Valentine la fixe, un sourcil arqué en l'air, d'une mine interrogative. Aalijah, ayant bien remarqué l'incompréhension de ses coéquipières, esquisse un faible sourire et se munit d'un crayon puis esquisse un carré au milieu de la large feuille. Elle pointe la mine sur la forme, les pommettes relevées par un franc sourire à l'américaine.