Mon voisin de balcon

chapitre 19 première partie

coucou mes poulettes, cette partie n'a pas était recorrigé comme la précédente donc il risque d'y avoir des fautes. Vraiment désoler. j'espère que ce début de chapitre vous plaira, j'attends vos avis avec impatience. Bonne lecture.

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Un bruit assourdissant, qui n'est autre que la sonnette de mon appartement me tire violemment du sommeil. Je grogne et recouvre ma tête de mon oreiller. Qu'on me laisse tranquille, du moins pour encore quelque heure. Ma gueule de bois et minime, mais les souvenirs de ma soiré d'hier me revienne en pleine face comme un méchant cou de poing au visage. j'ai besoin de solitude, de me retrouver seul pour faire le point. Je vais continuer à avancer comme je les toujours fais, mais cela ne sera pas sens difficulté.

Tout ce qu'il me reste à faire en quelque sorte c'est mon deuil. Il n'est pas décédé serte. Le mal qui vous ronge de l'intérieure en repensant au circonstance du drame, n'existe pas. Mais il a tout de même ce sentiment d'avoir perdu une chose, une partie de soit. Ne pas pouvoir le voir, le toucher, entendre le son de sa voix. Un manque, un vide.

Au moment où je referme mes paupières, prête à retourner dans les bras de Morphée, la sonnette retenti de nouveau. Sérieux c'est quoi cet acharnement ? Généralement quand il n'y a pas de réponse, cela veut tout simplement dire que les lieux son vide, ou que la personne et bien trop occuper pour se soucier de savoir qui se trouve sur son palier. Comme moi en cet instant. Néanmoins je décide tout de même de me lever, c'est peu être un voisin qui et venu me prévenir d'une éventuelle fuite de gaze comme ses déjà arriver dans le passer ou autre. Peu probable, mais on ne ses jamais, mieux vos ne pas prendre de risque.

Après une bataille acharner avec mon drap, enrouler tout entoure de moi telle un cocon bien serrer, nuit agiter sans aucun doute. Je m'extirpe de mon lit, puis traîne difficilement mon corps encore endormi jusqu'à la porte d'entrés. Il ne peut pas s'agir de Miriam, cette dernière aurai déjà hurlé à m'en faire exploser les typant pour que je me dépêche d'ouvrir. Quant à Shane, ce n'est pas possible non plus, hier alors que je somnolai dans ces bras, peu de temps après notre baiser digne d'un film de cinéma. Il ma joliment rappeler la signification du mon adieux, certainement pour que je comprenne bien ou nous en étions.

l'oreille collée à la porte de mon appartement, je demande d'une voix encore endormie.

_ qui-est-ce ?

La réponse ne se fait pas attendre et me surprend dans le mauvais sans du terme.

_ Ina, bonjours ses Andora. Puis-je entrés pour discuter.

Hein ? Andora, mes que-ce quelle fiche ici celle-là. Discuter il n'en m'est pas question, et puis quoi encore elle pense peu être que je vais lui ouvrir et l'accueillir la bouche en cœur comme si rien ne s'était passé.

Je tourne les talons et ignore les coups violent qui martèle ma porte. Je dois bien admettre que madame et déterminer à obtenir ce qu'elle veut, sauf que ça ne marchera pas avec moi. Il est bien plus amusant, pour moi du moins de savoir que cette garce et là ou est sa place sur le palier à attendre patiemment que quelqu'un vienne la prendre en pitiez.

_ Ina sil te plais. Ouvre-moi, il s'agit de Shane.

Au moment où son prénom sort de sa bouche, mon cœur s'emballe à toute vitesse. Pourquoi tient telle absolument à me parler de lui ? Il a été très clair, cela ne devrait plus me regarder. Malheureusement ma curiosité l'emporte sur ma raison.

Les dents serrer prête à sortir les crocs en cas de besoin. j'ouvre la porte.

Persuader de me retrouver face à une Andora métamorphoser au regard suppliant. Du moins j'étais sur d'avoir décelé une pointe de détresse dans sa voix. Ses devant un homme grand et plutôt imposant certainement pas très loin de la soixantaine que je me retrouve.

Bien jouer Ina me crie ma conscience, tes tombés les deux pieds dedans.

Aucun doute la dessus, je suis tombé dans une sort de piège. Alors que le grand bonhomme au regard de tueur, balafré d'une gigantesque cicatrice partant de son œil droit et se termine à la naissance du menton me scrute de haut en bas. Une panique presque incontrôlable s'empare de moi. Que-ce-que Andora a encore bien pu manigancer pour rendre sa vie plus palpitante et réduire la mienne en un minuscule tas de cendre.

_ que-ce passe t-il demandé-je toute tremblante, essayant néanmoins de cacher l'angoisse qui cours dans ma voix.

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je viens de me rendre compte en le postant qu'il et vraiment petit et comme j'ai dit a certaine qu'il serai poster ce soir, je ne vais pas vous faire attendre. Pour me faire pardonner je vais essayer de poster la suite dans les deux jours à venir gros bisou