Une nuit,
quand la Lune était
ronde et belle,
Anne s'est touchée.
Elle a regardé ses murs un peu blancs et ses posters qui se décollent.
Louise
est arrivée à
côté d'elle.
C'était son esprit,
mais dans un recoin
de sa tête,Anne s'en fout.
Elle voulait juste
que la peau de
Louise
soit contre la
sienne.Alors, elle l'a imaginé.
Elle a levé ses yeux
trop grands vers lesétoiles lointaines.
Elle a descendu ses mains
sur ses seins.
Puis son ventre.
Elle a caressé entre ses
cuisses.
Et touché son sexe.
Assez longtemps pour
qu'il y ait duplaisir
et un peu de
honte.
(Un sentiment artificiel qu'Anne voudrait n'avoir jamais connu.)