Never succumb

CHAPITRE 29

À défaut d'apprendre la vérité si il ne veux pas être honnête avec moi

Inaya

Je le contemplait, son visage éclairé par les rayons du soleil, il paraissait si paisible à ce moment, si innocent pourtant si fragile.

Nous étions allongés sur mon lit son visage dans on coup et le mien sur son torse.

Je sens son poids lourd qui écrase mon corps m'empêchant de respirer convenablement et son souffle chaud qui caresses agréablement ma nuque.

La lumière du jour picote mes yeux m'obligeant à les ouvrir, mes paupières papillonnes pour s'adapter a la lumière du jour.

Hilel dors pratiquement sur moi, ses jambes enroulent les miennes et son bras protecteur encerclant possessivement ma taille.

Je me mord la lèvre inférieur en le découvrant si près de moi, enfermement mon corps pudique, ses cheveux qui me chatouille le cou, mes mains s'aventurent dangereusement sur ses épaules et les caresses du bout des doigts, remontant vers sa nuque pour enfin atterrir à ses cheveux que je caresse et tire, ce qui le provoque quelques gémissement.

Maintenant que j'y pense j'ai passe la nuit dans ses bras puissant, cétait si agréable...il me tenait fermement contre lui comme j'allais pouvoir m'échapper

Des frissons le parcoururent lorsqu'il grogne un instant q'il approche t son visage contre mon front pour déposer un doux baiser contre ma peau respective.

Je retire aussitôt mes mains de ses cheveux vu qu'il s'est réveillé, il se redresse de sorte que quelque centimètres nous séparant , il me fixe de yeux légèrement clos affichant un sourire sur le cote qui fait augmenter mon rythme cardiaque, il me caresse tendrement les cheveux sans me quitter du regard , il se penche vers moi et dépose ses lèvres sur ma tempe,pour ensuite redescendre sur mes yeux sur mon nez et lorsqu'il atteint mes lèvres il s'éloigne.

Je ne comprend plus rien, je le regarde avec incompréhension.

- Inaya....je ne te volerai pas un baiser j'attendrai que tu me le demande...

Je ferme les yeux attendant impatiemment la suite, toute la nuit j'ai espérais qu'il m'embrasse, mais en vain il n'a rien tenté, il m'a juste entourer de ses bras, maintenu contre lui et son corps chaud, vu la situation je pourrait comprendre mais aucune excuse me viens à l'esprit.

On toque à la porte et je sens l'atmosphère changer, tout s'écroule notre monde tombe.

Hilel se précipite d'enfiler son pantalon en vitesse, il a dormi en caleçon par cette chaleur cela ne m'étonne pas le moins du monde, il reste là a m'observer et je comprend que je porte son haut sur moi mais par flemmardise de le lui rendre je répond.

- Entrer.

J'aperçois la tète de ma tante dans l'encadré de la porte.

- Les enfants dépêcher vous de descendre le petit déjeuner est prêt.

Elle referme la porte et s'en vas sans rien rajouter.

Hilel se dépêche de sortir de ma chambre, j'ai l'impression qu'il tente de fuir, tant pis je garde son haut.

je me lève aussitôt de mon lit attrape ma grenouillère en tigre avec chausson et j'entre à la douche.

Je sors de la douche et travers le long couloir qui mène à l'escalier, je descend pour aller au salon, une délicieuse odeur vient titiller mes narines, mon ventre se met à chanter.

Je me dirige vers la cuisine et reste de marbre en apercevant la tale faites remplies de bonnes chose à manger, un Hilel torse nu assis sur un tabouret, ses abdos qui me font tant saliver à découvert.

Il est de dos, me laissant admirer ses larges épaules nues, son dos musclé et j'aperçois sur ce dos pour la première fois un tatouage.

- Bon matin, dit'mon père en descendant des escaliers.

Ma tante se retourne en nous dévoilant l'un de ses plus beaux sourires que elle même en a le secret.

- Venez manger !

Il ne faut pas me le répéter deux fois, je prends alors place sur un tabouret en face de Hilel sous son air moqueur je commence à déguster les délicieux pan-cakes au Nutella.

Lorsque les adultes parti, mes yeux ne peuvent se détacher du spectacle qu'il m'offre, il engouffre de grande bouchées entre ses lèvres pulpeuse mangeant avec un appétit féroce, sa barbe non rasé autour de sa mâchoire carré me fascine, tant de beauté devant moi ...et je me déteste d'avoir de telles pensées envers lui alors que lui et moi c'est absolument impossible il ne m'aimera jamais je ne l'aimerai jamais s'en ai même interdit.

- Tu n'as plus faim ?

Je m'extraie de mes rêves rapidement, j'hausse les épaules pour toute réponses en évitant soigneusement son regard, je descends du tabouret souhaitant aller me changer mais il encercle mon poignet, je le regarde avec incompréhension, et reste interdite face ç ce geste.

Ses lèvres si tentantes, ses prunelles d'un marron chaud ne me quitte pas du regard comme pour ne rater aucunes de mes réactions.

Mon bas ventre se met tout d'un coup à danser, se tord, et de frissons me parcourent lorsque sa langue chaud vient toucher le bas de mon cou, un de mes point faible, sans le faire exprès un gémissement sort et je le sens sourire dans mon cou mes jambes se serrent entres elles, ses quoi ses sensations ?

Il retire délicatement ses lèvres, et je sens un vide.

- Pourquoi....?murmure-t-il.

Je sursaute lorsque son téléphone sans sa poche sonne, il soupire d'agacement, exaspéré, jette un coup d'œil sur l'écran puis décroche.

- Oui, je lui ai dit pour la lettre...