affaires N/2 : prostituées

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Soubaru: ohhhhh! Ton bureau est super grand mon pote.

Kyoske: hhhhhhhh! C'est un bureau pour deux personnes, alors fait comme chez toi.

Je me jette sur la chaise du bureau vide puis change de ton, que peux être cette affaire.

Soubaru: merci pour l'accueil Kyoske, mais maintenant donne moi les détails.

Kyoske: j'étais entrain de les trier, voilà.

Il met un grand dossier sous mon nez, puis se change en mode détective, voilà son deuxième visage, un visage grave et sérieux, chaque jour je découvre une chose nouvelles sur lui hier nu aujourd'hui se visage j'attends demain avec impatience. Il termine son discours.

Kyoske: c'est l'affaire de meurtre en série un peu trop étrange, les victimes sont morts de la même façon à la même heure, trois jours les sépare tout les trois, on pense qu'un autre meurtre va se passer aujourd'hui, et je ne sais pourquoi il sont tuer près de leur domicile (maison), il sont poignardé de dos, leurs doigts et membre sexuel couper et jeter n'importe où près de la scène du crime. Pardon car c'est ta première affaire on y peut rien.

Soubaru: c'est le travail, vous avez interrogé leur famille, qu'ont ils dit?

Kyoske: rien de spécial, ils n'avaient pas d'ennemis et personne ne leur voulais du mal.
Sauf une qui voulait le divorce, est maintenant veuve.

Soubaru: demain si rien n'arrive aujourd'hui on va les parler, et s'il te plaît, peut tu me laisser la relai des questions demain?

Kyoske: sherlock Holmes va commencer hhhhhh.

Soubaru: hahaha! Pas rire.

Kyoske: ok je te donne la relai, en attendant je vais aller parler au directeur.

Soubaru: ok à plus.

Je relit en détail tout les documents sous mes yeux, me concentrent 90 % sur mon travail mais sans baisser ma garde, kyoske après un long moment reviens au bureau, il me parle, mais je suis tellement concentrer que le rependre pour moi n'ai qu'une perte de temps, il comprend que je suis focalisé par se que je lis alors il n'ajoute pas de mot j'arrive à la fin des documents, en lisent la dernière phrase, kyoske resoie un appel, je la termine puis lève la tête et trouve le visage de mon partenaire choquer il déclare.

Kyoske: c'est l'heure, un nouveau crime s'ajoute au trois autres.

Soubaru: en dois stopper se tueur.

Kyoske: oui.

Soubaru: en lisant les documents tout à l'heure j'ai découvert des choses.

Kyoske: les quelles.

Soubaru: le tueur est une femme, j'en suis sûr.

Kyoske: sûr des sûr.

Soubaru: car la force employer pour tuer n'est pas comparable avec la force d'un homme. Et pour soutenir mon hypothèse la longueur de la personne fait effet aussi il est bien plus petit que ceux tuer, j'ai conclu ça en voyant les blessures sur le corp des victimes car la blessure change radicalement de forme d'un corp à l'autre.

Affaires N/0 : Amour DangereuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant