Chapitre douze

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Nous montons tout les deux dans la voiture de Livaï mais il prends ni la direction de chez moi, ni celle pour aller chez lui. Je sais pas ou on vas et j'aime pas ça.

Le trajet se passe en silence, je regarde par la fenêtre pour voir si je reconnais le quartier, il me dis quelque chose j'habite pas loin d'ici.

Je me souvient maintenant c'est là où se trouve le cabinet de Livaï. Pourquoi on va là bas. Je le regarde avec un air éttoné.

- Pourquoi on est ici tu as dis que tu me ramenais chez moi ?

- Tu refusais de me parler ou de parler à tes amis. Tu sais qu'ils se font du soucis pour toi?

- Si je leurs parle pas ou que je te parle pas c'est que j'ai rien a dire, maintenant tu peux me ramener chez moi s'il te plait?

- Non Eren avant d'être ton petit ami je suis ton psy c'est pour cette raison que nous sommes ici.

- Et moi je veut pas te parler.

- Pourquoi tu refuse de nous parler?

Si je lui explique il fera comme tout les autres. Il va me rejeter et m'oublier. Mes bras commence à me brûler, j'ai besoin de Cat là tout de suite si je le fait pas je vais pas me sentir bien.

Un jour j'ai essayer le butterfly projet, mais sur moi ça n'a pas marcher. Ma peau et coupée de partout, mes bras, mes jambes, mon ventre.

Parfois je me dis que je voudrais m'endormir le soir et ne jamais me réveiller. Les choses serais tellement plus simples comme ça. Malgré toutes mes tentatives, j'ai jamais réussis. Les médecins de l'hôpital qui on vues toutes ses cicatrises plus ou moins récentes sur mon corps,m'on fait interné pendant un mois en pensant que je me serais calmé.

Mais c'était encore pire, je refusais tout aliment de peur qu'il mettes des calmants dans mon repas, et au bout de la fin de la première semaine j'ai tenté de me pendre avec mes draps. J'ai passé la fin de mon séjour attaché à mon lit comme un vulgaire animal,j'avais une sonde pour me nourrir et une perfusion pour les médicaments.

Plusieurs fois je me suis blessé en me débattant ou en voulant tout retirer. A la fin de ce mois d'enfer je suis ressortis complètement shooter. Mikasa et Armin étais là à ma sortie, mais j'ai pas pu les voir avant. Quand ils mon vues ils étais surpris et choqués. Mikasa a pleurée en me voyant, elle me répétais sans cesse que si elle avait fait ça c'était pour mon bien.

Normalement je devrais revoir les médecins dans environ 2 semaines, mais j'ai pas l'intention d'y retourner. Je prends pas tout les médicaments qu'on m'a donné c'est pas pour rien.

- ...ren...Eren tu m'entends?

- Oui je t'entends c'est bon. Tu veut quoi?

- J'ai lu ton dossier et j'ai vu que tu as fais un séjour en hôpital psychiatrique pour quelles raisons les médecins on fait se choix?

- A toi de me le dire si tu as lu mon dossier.

- Non je veux que se sois toi qui me parle. Je m'inquiète pour toi, s'il te plait parle moi explique moi.

- J'ai rien à te dire. Fout moi la paix maintenant.

- Non tu reste là tant que tu m'a rien dis et fait attention je suis très têtu.

- Bordel tu comprend rien je veux pas te le dire car j'ai peur que tu me juge comme les autres et que tu fasse comme si j'existais pas pour toi.

Merde voilà que les larmes s'échappent malgré moi, ça fait longtemps que j'ai pas pleuré comme ça. Mes bras me brûle de plus en plus. Je sais pas quoi faire. Là je veut juste voir mon sang s'échapper de mes veines, cette belle couleurs rouge que j'aime tant. Je t'en pris Livaï si tu m'aime comme moi je t'aime laisse moi partir.

- Eren pourquoi tu pleure?

- Je pleure pas. J'ai quelque chose dans l'œil.

- C'est pas vrai et tu le sais.

En me frottant les yeux j'ai eu ma manche qui a un peut bouger j'espère que Livaï n'a rien vu.

C'est raté aussitôt que ma manche c'est relevée  il c'est saisis de mon bras et à relevé  ma manche, par réflexe j'ai aussitôt mis mon autre main pour cacher.

- Pourquoi...Pourquoi tu te fait ça Eren?

- Ça te regarde pas...Livaï lâche moi tu me fais mal.

- Je dois comprendre si tu veut que je t'aide il faut me parler.

- Mais merde t'a pas l'air de comprendre quand je te dit de me foutre la paix et que j'ai besoin ni de ton aide, ni de ta pitié.

Je tire sur mon bras, je rabaisse ma manche et je pars en courant, la seule chose qui peut me calmer c'est Cat je me dépêche de rentrer chez moi.

Je suis enfin arrivé j'ai couru tout le long, j'ai les poumons en feu mais c'est pas important. Je prends pas la peine de retirer mes chaussures et je monte à l'étage. Elle est là toujours à la même place, je relève ma manche et je la prends.

Je trace un trait je sens pas la douleurs. Je vois mon sang couler, c'est pas assez je continu cette danse mortelle sur mon bras, jusqu'à ce que je me sente mieux. Quand je regarde mon bras il est couvert de sang, les marques sont plus ou moins profondes . Tout autour de moi tourne et tout est flou. Soudain je me sens partir c'est ça que l'on ressens quand on va mourir?

Le noir se fait de plus en plus présent autour de moi. Je me laisse sombrer depuis le temps que j'attends la mort, je résiste pas. Puis soudain tout est sombre et mes paupières se sont fermées, la dernière chose que j'entends c'est une porte qu'on vient de forcée et que quelqu'un a crié
mon prénom.

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Voilà c'est la fin de ce chapitre un peut plus long pour m'excuser de mon retard j'espère que sa vous a plu
Love 💚

DépressionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant