XVIII

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Tout d'abord; je m'excuse de l'attente de la suite. Je suis extrêmement occupée et de plus, je ne suis plus aussi motivée pour la rédaction de cette fanfiction; souhaitant me tourner vers l'écriture  d'une histoire m'appartenant complétement . Ce n'est hélas pas aussi bien que vous l'auriez sans doute voulu, mais tenant à vous fournir une conclusion, ce chapitre et le suivant, feront office de conclusion de l'intrigue.

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Suite à notre conversation, ma relation avec Ophélie se compliqua d'avantage. Quelques temps plus tard, celle-ci découvrit je ne sais comment que je souhaitais l'épouser pour traduire le livre, et elle me fit la tête durant trois mois entier. Bien évidemment, je tentais tant bien que mal de lui expliquer mes motivations.

Après les trois mois en question, Ophélie se décida à me voir, nous passâmes des heures à discuter. Ce fut difficile pour moi de lui révéler la vérité, mais je lui devais la vérité. Dans un premier temps, elle eut d mal à me croire, mais pour en être sûre, elle demanda à son grand oncle de lui envoyé un arbre généalogique de la famille de son arche.

Comme je m'en doutais, il n'y avait aucune trace de mon amie d'enfance ; cependant, le grand oncle d'Ophélie, trouva un parchemin qui mentionna le nom d'Océane ; une jeune femme qui aurait habité sur Anima lors de l'apparition de l'esprit de famille, et disparut quelques mois plus tard.

Intrigués par cette information, la liseuse et moi décidâmes de nous associer pour découvrir la vérité. Nous dûmes nous confrontés à quelques difficultés, car notre mariage ne plaisait guère à la majorité, mais nous parvinrent nous marier.

Après que la cérémonie, et dès que je reçu les dons de la passe Miroir, je me plongeais dans la lecture du livre de famille. Ce que je découvris était dès plus surprenant :


Océane, Moi et la Passe-MiroirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant