(Nathanaël )
Assis sur notre terrasse de notre maison, emmitouflé avec un plaid malgré la chaleur ambiante du soleil. J'ai interdiction de la part de mon père et des jumeaux de sortir, malgré toute mes protestations et mon rhume qui part. J'en ai mare d'être enfermé, mes ailes qui émettent quelques frétillements d'impatience de pouvoir enfin revoler, de sentir le vent dans mes cheveux, de retrouver mes amis qui ce sont eux aussi foutu de ma gueule.
Pour pouvoir faire passer le temps, je repense à ces trois derniers jours, ils ont étaient les plus pourris de toute ma vie. Quand mes frères sont rentrés ce soir là, ils m'ont appelés pour savoir où est-ce que j'étais, je leur ai répondu avec une petite voix toute cassée. Ils sont vite montés dans ma chambre alarmé par mon ton inhabituel, j'ai vu sur leur visage de l'inquiétude. Ils ont fini par poser leurs regards sur moi : moi qui était sous une tonne de couvertures, avec que le bout du nez qui sortaient de ma cachette. Ils ont très vite compris que j'étais malade, un petit sourire ont commencés à germer sur leurs visages, amusés ils m'ont demandés des détails que je ne leur ai pas donnés. Ils ont vite remarquaient que je ne faisais que de tousser et d'éternuer, Aaron s'est donc empressé de descendre dans la cuisine pour me faire une soupe, j'en grimace déjà et Mickaël vient avec moi dans le lit pour me prendre dans ses grands bras musclés. Un peu plus tard, Aaron lui revient avec ma soupe dans un grand bol qui me tend une fois assis correctement, ils me regardent attentivement la boire pour vois si je la finis bien. Ma gorge me fais mal, quand j'avale le repas chaud, je fais une grimace en laissant sortir un petit couinement. La soupe terminait, je redonne le bol à mon grand frère qui me la apportée, il le pose sur le bureau et nous rejoint au chaud. Finalement on s'endort tous les trois collaient les uns sur les autres.
Le réveil a été dur autant pour mes grands frères que pour moi. Entre mon mal de tête qui m'a empêché de m'endormir, les éternuements à répétitions, le nez bouchait qui ma lui aussi m'a empêché de dormir et le fait que je n'ai fais que de bouger à cause de tout sa. j'ai dû sans le vouloir réveiller les jumeaux plus d'une fois cette nuit. Je me rassois quand ma tête commence à tourner quand je veux me lever, j'attends quelques minutes pour retenter l'expérience, cette fois tout va bien. Je me dirige donc doucement vers la cuisine, vois mon père entrain de boire son café matinale, il m'embrasse le front puis part travailler en me souhaitant une bonne journée. Je finis de boire mon chocolat pour aller m'installer sur le canapé sous un plaid chaud que je mets sur moi et la télé. Une fois allumée, les jumeaux descendent vers la cuisine déjeuner avant de me rejoindre dans le salon. Ils vont s'allongés sur le canapé ensemble et mettent un film que je ne regarde pas forcément. Ils vont préparés le repas, pour eux des pâtes et pour moi encore une soupe. Moi je n'ai pas trop faim en sachant que je mange un truc que je n'aime pas du tout. Aaron vient vers moi pour me toucher mon front et hurler sur son jumeau de me rapporter des médicaments en même temps que le repas, il arrive avec le plateau qu'il dépose sur la table en face de nous. Il me tend les médocs que je bois avec un verre d'eau. Je mange à peine deux / trois cuillères de ma soupe puis je dépose le récipient sur la table basse, mais malheureusement le bol se retrouve sous les yeux d'Aaron qui commence à s'énerver contre moi pour que je mange plus.
« - Ho ! tu manges tout ! s'énerve Aaron.
- Mais je n'ai pas faim. Je réponds d'une petite voix.
- Même, reprend Mickaël calmement, si tu veux guérir il faut que tu manges et que tu restes au chaud.
- D'accord mais je ne veux plus de soupe.
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Les ailes du passé ( Tome 1 )
Любовные романы( Tome 1 ) L'homosexualité n'est pas accepté de partout sur terre et par tout le monde, mais est-ce vraiment accepté dans un autre monde ? Nathanaël un jeune ange, qui est gay, ne vivant qu'avec son père et ses frères qui sont jumeaux. Son contraire...