Chapitre 12

145 8 0
                                    

(Sèt )


je pense que je vais retourner voir mon petit chaton chez lui, comme sa on pourrait avoir une vraie discussion, enfin je l'espère. Mais il sera toujours veiner quand je partirai, sa sa ne changera pas. Les anges et les démons ne sont pas fait pour s'entendre. Je me bouge aussi non je ne sortirai pas de mon lit où je suis tranquillement dessus. Aujourd'hui je dois sortir par la fenêtre car ma putain de daronne m'a puni, oui puni comme un satané gamin de 5 ans. je suis consigné dans ma chambre car j'ai tapé ma connasse de sœur, elle m'a tellement énervée elle aussi. Elle a commencée à chauffer un de mes amis et sa ma gonflé, en plus il est rentré dans son jeu. Sa ma amusé pendant quelques temps mais après j'en en ai eu marre, j'ai donc comment dire ? Je l'ai d'abord traité sauf qu'elle m'a répondu puis j'ai voulu aller plus en voulant la taper mais heureusement que mes deux autres amis étaient là pour me retenir. Ma mère est apparu à ce moment là, je me débattais comme un fou et elle elle avait un putain de sourire que je voulais lui faire manger. Elle est venu vers moi puis m'a foutu une gifle, elle a raisonné dans toute la maison, sa à fait taire tout le monde puis je me suis arrêté de vouloir la tuer. Ensuite elle m'a hurlée dessus en me traitant de tous les noms. Elle m'a dis de monter dans ma chambre et de ne plus en sortir jusqu'à qu'elle le décide. Mes amis en ont énormément peur de ma daronne donc n'ont rien dis quand elle m'a puni. je suis dans ma chambre depuis plus deux jours et je peux vous dire que ces chiant vu que je n'ai rien à faire en plus de ne pas voir mes amis. Je mange que quand ma mère m'apporte le plateau devant ma porte. Comme j'en en avais marre de ne rien faire donc je pars sans que personne ne le voit, en plus j'ai de la chance sa fait déjà quelques jours que mes deux morveux de cousins sont partis, ils ne pourront pas faire leur balance. Oui ils s'en donnaient un cœur joie d'aller de dénoncer quand je faisais un truc « méchant ».



Je me pose comme à chaque fois devant sa porte fenêtre qui donne accès à la salle à manger. Comme d'habitude je le retrouve dans sa chambre, allongé sur son lit mais là cette fois enfui sous sa grosse couette. Je ne peux pas dire qu'il ne m'a pas entendu, mais pourtant il ne bouge pas. Je pense qu'il doit dormir ou il sait que s'est moi et qu'il ne veut pas me voir ou encore me parler. Je m'approche de là où il est puis vais m'asseoir sur le bord de son grand lit puis le secoue un peu. Même en le touchant il ne se retourne pas pourtant j'aurais pu juré qu'il ne voudrais pas que je le touche mais il faut croire que j'ai faux. Il ne se mouvait toujours pas, j'agis donc : je le retourne en essayant d'y aller sans lui faire mal et sans le réveiller si il dort. Quand je vois son visage, je peux remarqué qu'il dort, je ne veux pas qu'il sort du sommeil donc je vais m'installer sur la chaise du bureau qui est devant la fenêtre. Je n'ai rien à faire donc je détail la chambre, je peux dire que sa lui ressemble même si je le connais pas vraiment. La chambre est vraiment simple : on peut voir seulement un meuble qui sert du bureau avec un fauteuil sur lequel je suis assis et ces tout. Je n'attends pas trop longtemps vu que mon petit chaton commence à papillonner des yeux et franchement ce spectacle me rend plus doux. Quand ces yeux sont enfin adaptés au rayon du soleil et me remarque, il ne dit rien sur le coup. Il se met en position assise ensuite il continue de me fixer. j'amorce la discussion :


« - Salut mon petit cœur.

- Qu'est-ce que tu me veux ? Et j'ai un nom tu sais. Me demande-t-il avec un aire endormi sur le visage.

- Oui je sais mais je ne le connais pas.

- Il aurait peut-être fallut me le demander.

- Ouais donc je te le demande là maintenant, quel est ton petit prénom?

- Il soupire d'un aire exagéré, Nathanaël.

- Joli prénom et moi c'est ...

- C'est bien j'en ai rien à foutre

- oh! Mais ces que mon petit chaton sort les griffes. »

Il soupire puis me regarde dans les yeux, il n'a pas bougé depuis qu'il m'a vu. Ce qui est bien ces que monsieur ne sait pas énervé depuis que je suis dans sa chambre. On parle sans se prendre la tête. Il me pose des questions et je lui réponds puis vice versa pour moi. On arrive à s'échanger comme si on se connaissais depuis longtemps, mais il y a une question qui m'a mise mal à l'aise :


« - C'est toi qui ma aidé la première fois que j'étais dans la forêt.

- Ouais

- Mais pourquoi ? Il fronce les sourcils du à l'incompréhension.

- Il faut que je te dise la vérité ?

- Oui plutôt.

- Donc voilà, je t'avais suivi pendant quelques heures puis au début je voulais te faire peur mais quand je t'ai vu que tu tremblais et que tu t'es assis contre un tronc d'arbre je voulais t'aider.

- Donc tu viens me dire que tu as attendu tant de temps pour me venir aide ? Me demande-t-il avec un aire ahuri.

- Bin oui, comme tu m'as souvent dit on est pas ami donc au début je ne t'aurais pas aidé.

-Alors pourquoi ?

-Tu m'as fais un peu pitié même si ce n'est pas forcément vrai. »



Il me regarde avec des gros yeux puis les détourne. Moi j'avance la chaise vers lui, il ne bouge pas, je sais pas comme il va réagir si je me mets à coté de lui sur son lit. Je me lève donc et avance vers lui, il continue à me fixer sans rien dire, je le pousse un peu pour avoir de la place, quand je le pousse il râle. Ce qui me fait rire, avant de m'installer j'ai pris la télécommande de la télé et je l'allume. Pour m'emmerder il me prend la manette pour changer de chaîne. On se fait une sorte de bataille de changement de chaîne, sa nous fait quand même rire. On visionne une série complètement débile, je mets mon bras autour de ses épaules mais il le retire puis se décale un peu. Mais pour le faire encore chier je continue de mettre mon bras sur ses épaules, mais comme il arrive au bout de son lit : soit il tombe parterre soit il laisse ce qu'il le dérange sur lui. Nous passons l'après-midi comme sa ; tranquille. Je m'incite à manger tout seul car aussi non il ne m'aurait pas proposer, il me dit que heureusement que sa famille n'est pas là. Je vais voir qu'est-ce qu'il y a dans le frigo : du vert. Il y a que du vert, non mais j'y crois pas !! Bien sur l'autre se moque de moi, remarquant la grimace sur mon visage. Il nous fait des putains d'haricots vert avec un peu de viande. Quand je vois l'heure je décide de partir aussi non ma daronne va me tuer.




J'arrive enfin chez moi, j'escalade le mur qui me mène à ma chambre, je n'ai pas utilisé mes ailles car elles auraient fait trop de bruit. J'aurais du parié que ma sadique de mère m'attendait dans ma chambre. Elle me regarde, j'ai pu remarquer que dans ses iris que j'ai hérité qu'elle m'a déjà tuée plusieurs fois dans sa tête. Elle quitte la chambre sans rien dire de plus, Sauvage lui rentre avant que la porte se referme. Bien sur quand il me voit il me saute dessus, je recule puis nous tombons à la renverse sur mon lit. Il frotte sa grosse tête contre mon torse et mon cou, il ronronne. Il trouve que ce n'est pas assez donc il commence à me lécher puis après vouloir jouer. Il me « mord » les bras, il me donne des coups de patte pas trop fort et moi j'essaye de le pousser. Il arrête enfin quand il trouve qu'il m'a assez fait la fête, je m'allonge et me demande si je suis toujours consigné dans la petite pièce. De toute façon je préfère rester dans ma chambre, je m'allonge sur mon lit et le lion me rejoint, nous nous endormons, moi qui le sert contre moi pour sentir de la chaleur.

Les ailes du passé (  Tome 1 )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant