Les ailes du passé ( Tome 1 )

Chapitre 35

(Sèt )

On est dans sa chambre et monsieur l'enfant qui me sert de copain préfère jouer avec son chien que de me parler, il croit quand faisant sa il va éviter le discussion mais non je veux parler donc on le fera, que sa soit maintenant ou plus tard il y aura une discussion. Mais pour l'instant je suis assis sur sa chaise de bureau tandis que lui est sur son lit avec son chien qui aboie. Je les regarde en soupirant, il me crie de venir les rejoindre, c'est ce que je fais au bout de quelques minutes en cédant à cette moue d'enfant boudeur qu'il me fait quand il n'a pas ce qu'il veut. Je croyais être tranquille mais non, ils en ont décidés autrement : je suis à peine installer que mon petit cœur me saute dessus et son animal s'approche trop près de moi à mon goût. Il vient me sentir avec sa grosse truffe tout en voyant qu'il bave, je grimace de dégoût et essaye de faire dégager l'ange sur moi mais je n'arrive pas, je le pourrai avec ma force sauf que monsieur me ferait la gueule et j'aime le voir heureux donc je me laisse faire même si moi je n'aime pas en particularité. D'un coup je sens un truc baveux sur ma peau au niveau du cou, je tourne mon regard vers l'animal et le voit se lécher les babines comme si il avait adoré le goût de ma peau, je comprends vite que ses lui et je repousse donc le petit ange qui est sur moi en me levant et en m'essuyant la peau la où l'autre la lécher tout sa sous les rires de mon petit fainéant. Je leur lance un regard noir mais qui n'arrête tout de même pas les moqueries de mon petit cœur.

« - Bon maintenant que tu es à l'écoute, j'aimerai bien avoir une discussion, lui dis-je.

- Quoi ? Pourquoi ? Me demande-t-il en me tendant ses bras.

- Tu le sais très bien pourquoi, lui dis-je en le prenant dans mes bras.

- D'accord, tu veux savoir quoi ?

- Pourquoi est-ce que tu criais le surnom que tu m'as donné ?

- Je faisais un cauchemar.

- Oui sa je le sais, mais d'habitude ça ne va si loin.

- D'accord mais si je t'explique tu me coupes pas la parole.

- OK

- Promis, me demande-t-il.

- Promis. »

Avant de s'expliquer, il s'installe correctement : sa veut dire qui se colle contre mon torse en cherchant ma chaleur corporel, je mets alors mes bras autour de son corps frêle. Il met sa tête contre mon épaule et commence déjà à jouer avec le bas de mon t-shirt. Sa veut surtout dire qu'il est entre mes jambes avec son poids complètement sur moi. Avant de s'expliquer, il vient m'embrasser tout d'abord doucement pour ensuite plus sensuellement. Il ose même m'en faire sur ma mâchoire et dans mon cou, en comprenant qu'il essaye de m'embrouiller, je repousse sa tête en soupirant et lui dis :

« - Sa ne sert à rien de me faire des bisous de partout, je veux qu'on parle donc on aura notre discussion. Plus vite tu me diras pourquoi tu as hurler en m'appelant, plus vite je pourrai comprendre et t'aider. »

Il baisse alors la tête en comprenant vite qu'il ne s'en sortira pas comme sa. je remarque que ses joues sont rouge de gène je pense, il triture un peu ses doigts, soupire puis commence son récit :

« - Bon alors, tu as du remarquer que depuis que tu viens il n'y a que mon père et les jumeaux, je hoche la tête, bon disons quand j'étais petit elle a décidée de partir. Moi je m'en souviens plus très bien car elle m'a trop fait de mal donc une partie de ma mémoire s'est effacée ou bloqué pour éviter que je souffre de ces souvenirs. Mon père et les jumeaux m'ont expliqués qu'elle avait donnait un ultimatum à notre paternel : soit il choisissait elle ou soit nous, donc tu devines peux deviner qu'il a préféré choisir. Elle est revenue pendant que toi tu étais en mission, elle a essayée de se rapprocher de moi pour me monter la tête contre le reste de ma famille. Elle a été fausse pendant tout le temps qu'elle a passée là, elle s'est invitée à la maison sans nous demander notre accord, elle s'est installée comme si elle a toujours été sans être parti et elle a même fait à manger mais vraiment pas bon, sur cette dernière phrase je peux pas m'empêcher de rire en reconnaissant bien là mon petit ange. Depuis qu'elle est passée par là je fais que des cauchemars venant sûrement de mon passé.