Chapitre 23

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(Nathanaël )


Ça va faire trois jours que je suis dans ma chambre. Depuis le jour où mon père m'a dit qu'il me demanderai à un de ses hommes de venir à la maison pour venir me surveiller et bin c'est ce qu'il a fait. Je me suis retrouvé donc le lendemain avec un ange du nom de Daniel. Un grand homme, même plus grand qu'un ange normal se qui veut dire 1m85 car nous on atteint facilement les 1m75. Il est blond avec quelques mèches blanches qui ne se voient pas trop. Le lendemain je me suis réveillé, j'ai pu le remarquer dans ma chambre près de la porte. J'ai fais un saut tellement qu'il ma fait peur ,lui à sourit. Il est ensuite parti sans rien me dire. Je suis triste qu'ils ne me fassent plus confiance. Je me rallonge de mon lit en ayant pas envie de bouger. Willie, Baloo et Iwi sont venu avec moi, ils n'aiment pas que je reste dans mon lit à ne rein faire. Ils le sentent que je ne suis pas bien, ils ont tout fait pour que je bouge mais non je suis resté dans mon lit. Je n'ai rien non plus manger, je n'avais pas faim, toute cette histoire m'a coupée l'appétit. Les chiens eux se font un plaisir de me faire le lavage du visage à cause des sillons salés qui ont glissées sur mes joues. Je ne sais plus quoi faire pour que sa revienne comme avant. Quand mon paternel et les jumeaux reviennent de leur journée de garde ils parlent avec Daniel avant qu'il parte et ensuite ils se mettent dans le salon pour s'y reposer. Franchement sa me fait bizarre car d'habitude quand ils rentrent ils viennent me voir pour se faire un câlin et des bisous. Quand je fais un cauchemar personne ne vient me voir pour me serrer, même si je cris je vois personne venir me voir, je reste donc dans mon lit à pleurer comme un gosse et à rester les yeux ouverts. Je dois dormir trois heures par nuits pas plus. Je dois avoir les yeux rouges et gonflés, mes joues rouges et pleines de bave de chiens. Je suis un minimum heureux de les avoir avec moi car eux ils me tiennent compagnie, eux ils me soutiennent de leur manière. Ils arrivent même à faire apparaître un petit sourire. Le jour d'après je me suis pris la graine avec mon garde du corps. Il faisait que de regarder ce que je faisais et sa commencé a sérieusement de mettre sur les nerfs. En me laissant aller, je ne m'occupe plus de mes plumes : au lieu d'être brillante, elles sont devenus ternes et ne sont plus aussi douces que de la soi. Je n'ai pas pris de douche non plus depuis ces trois jours. Je ne mange pas non plus, si j'essayais de volais je tomberai sûrement et j'ai du perdre du poids, déjà que je ne suis pas gros. De toute façon j'aurais du m'en douter que toute cette histoire finirait par me retomber dessus mais je ne voulais pas y croire.



Aujourd'hui je me fais réveiller par les chiens comme depuis ces derniers jours. Ils n'aiment pas que sa soit l'autre ange qui se croit tout permis qui s'occupent d'eux. Sa m'oblige donc à me lever, à sortir de ma couette protectrice et de voir du monde. Je peste contre les trois monstres qui ne me lâchent pas la grappe, je soupire en ayant déjà mare de cette journée. Ils sont tous les trois dans ma chambre assis en attendant que je me lève. Je fais un sorte de combat d'yeux pour savoir si je fais ce qu'ils attendent de moi. Finalement c'est moi qui perd, quand ils me regardaient ils mettaient leurs têtes sur le cotés avec leur regards triste je n'ai pas pu résister. Ils aboient content que je bouge enfin. Je suis assis avec ma tête entre les mains et mes coudes sur mes genoux et me plaint d'avoir mal à mes articulations de mes ailes, tu parles me diriez-vous vu que je n'ai pas bougé depuis un certain temps et que c'est bien fait pour moi. Je regarde par ma fenêtre pour voir le temps et je peux vous dire qu'il reflète mon humeur : il fait des nuages près à pleuvoir. Qu'il pleuve j'en ai rien à faire mais qu'il ne tonne pas car j'en ai peur du tonner. Oui je sais on dirait un gamin de cinq ans à toujours se plaindre mais ce n'est pas de ma faute. Je sors de ma chambre sur mes talons les trois chiens, je descends les escaliers sans lancer un seul regard à Daniel et ouvre la fenêtre du salon pour Willie, Baloo et Iwi. Ils sortent content de pouvoir enfin se dégourdir les pattes. Au bout de quelques minutes ils reviennent pour entrer, je referme la fenêtre et remonte dans mon antre pour enfin retourner dans ma couverture. Sauf que je ne peux pas être ne paix : les trois monstres n'apprécient pas que je reste là sans rien faire. Ils ne comprennent pas pourquoi je ne sors pas, que je ne fasse plus rien, que mes amis ne viennent plus la à la maison mais surtout qu'il y a un froid entre nous. Je peux vous dire qu'au paravent il n'y avait jamais eu de dispute comme celle si. Bon il y en a eu comme dans chaque famille on va dire mais pas aussi forte. Quand il y a une dispute, les chiens ne savent plus qui aller voir, un coût ils vont voir celui qui se met dans son coin et l'autre coût ils vont voir les autres, ils ne comprennent jamais pourquoi il y a une ambiance aussi lourde. Bon le pire ce n'est passa, même si ils ne voulaient pas que je reste dans le lit je l'ai quand même fait. Le pire est que je me suis pris la tête avec l'autre là, il se croit tellement tout permis qui ces permis de fouiller dans mes affaires. Non mais il croit quoi lui ? Que j'allais le laisser faire ? La dispute, je me rappelle encore de ses paroles :

Les ailes du passé (  Tome 1 )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant