Le début de la fin.

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« Vous me dégoûtez, tous autant que vous êtes vous m'écœurez... Vous et votre sale pitié, vos fausses paroles ainsi que vos sourires focus... Vous m'avez bien eu... »


« Je suis sûre que tu ne n'aimais pas vraiment,

Quand j'y pense je trouve ça marrant,

D'avoir cru que tu étais différent...

Je suis sûre que tu étais en train de mentir,

Quand tu avais ce si beau sourire...

Allez,dis-le que ça t'amuses de me voir souffrir... »


« N'abandonnes pas, ne renonces pas.... Pas maintenant... Ne laisse pas fuir ce bonheur que tu as tant mérité... Après toutes ces épreuves que tuas surmonté tu ne vas tout laisser tomber, si ? Ça serait du gâchis de tout faire foirer. Certes, beaucoup de personnes ont contribué à te blesser mais grâce à elles tu es devenue plus forte... Alors, s'il te plaît, reprend le dessus sur le mal-être que tu as accumulé toutes ces années. S'il te plaît, arrête de te faire du mal, arrête de te renfermer sur toi-même, arrête d'avoir peur des gens, arrête tout ça et va enfin trouver ce bonheur qui joue à cache-cache.. »


« Pourquoi ?Pourquoi je ne peux pas m'envoler loin ? Pourquoi je dois rester et supporter tout ça, seule ? D'ailleurs, pourquoi« seule » ? Pourquoi je ne suis pas comme tout le monde ? Pourquoi me dit-on « folle » ? Pourquoi suis-je comme ça ? Pourquoi suis-je si inutile ?Pourquoi ? Pourquoi... »


« C'est si mal de vouloir changer ? De vouloir être différent de vous tous ? Vous qui vous ressemblez tellement, je ne veux pas être comme ça tout droit sortie de la photocopieuse, je ne veux pas... Je ne peux pas... Mais je peux pas non plus être comme je le voudrait,à cause de vous... Vous changerez donc jamais ? »


« Vous qui vous ressemblez tellement, vous en êtes écœurant.

Vous me saoulez, avec votre stupidité,

À vouloir que les gens ne changent pas, et qu'ils soient comme ils ne voudrait pas.

Vous me tuez, à dire que je ne dois pas changer,

Et si un jour je ne serait plus là, vous pourrez vous en prendre qu'à vous bandes d'ingrats.. »


« Je ne me fait même plus confiance à moi-même, alors comment veux-tuque je te fasse confiance ? »


« Nous sommes tous nés, pour un jour ne plus respirer,

mais nous sommes différents, séparés en deux groupes distants,

rejetés de la société, ne pouvant vivre à leurs côtés,

nous passons notre vie misérable, à ne pas devenir ces êtres exécrables. »


« Juste pour vous donner bonne conscience, vous me faites croire que ma vie a un sens. »


« Désolé,désolé d'exister, désolé d'avoir fait irruption dans ta vie et de l'avoir transformer en enfer, désolé d'être un calvaire, désolé de touts ces choses sans grandes importances... »


« Je m'excuse de tout, même de vivre parmi vous,

Mais je n'ai pas eu le choix, et je t'en pris crois-moi,

Déclinaison De Douleurs En Couleurs. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant