« Faisant face au soleil,astre lumineux qui régit la vie. Lui souriant au nez et lui montrant que je suis encore plus scintillante que cette étoile erronée. Lui prouvant que, oui, je suis la plus rayonnante de joie désormais. »
« Tes lèvres si scintillantes me paraissaient si tristes d'être seules. Je me devais de les recouvrir d'un tendre baiser à t'en faire décoller su sol sur lequel nous étions. Et c'est à ce moment là que j'ai réalisé que toi, je t'aimais vraiment. Et au lieu de te faire voler au septième ciel, c'est moi, qui au contraire, suis tombé au plus bas.Je suis tombée dans l'expression claire de mes sentiments. Je suis tombée amoureuse de tout ton être entier.
Je me suis rendue compte que la personne que je cherchais depuis si longtemps, se trouvait désormais en face de moi.
Mais comment quelqu'un d'aussi fantastique pouvait se tenir comme ça, juste devant moi,m'embrassant et me rendant complètement folle ?
Comment quelque chose d'aussi incroyable et inimaginable pouvait se réaliser pour une personne de mon genre ??
je n'en revenait toujours pas. Et pourtant, oui, tu es là.
Le rêve de toute une vie enfin prend réalité. Cette attente prenait tout son sens.
Ne soyons plus éloignés s'il te plaît, laissons nos lèvres s'amuser à danser sur les battements synchronisés de nos cœurs. »
« Je me réveille et prend des pilules pour me rendormir. C'est triste à en crever, un monde qui creuse ma tombe chaque jour.
Au final, je nais et avale des pilules pour mourir. »
« Les existences de papier s'envoleront. Dès le dernier souffle d'un être fait lui aussi de feuilles.
Feuilles à dessins vierges, rien n'est écrit dessus, vie insignifiantes qui entraînent une mort insouciante.
Les humains de papier vont couler dans les fleuves et rivières de feu. Sous le soleil brûlant, ils crament et s'enfuient au loin des villes éphémères faites de gens superficiels. »
« Et nous disparaîtront dans ce baiser dont nous avons tant rêvé.
Celui dont nous n'avions jamais vraiment osé évoquer, de peur de le gâcher en le rendant prévu et contrôlé. De façon à ce qu'il ne soit plus spontané et inattendu. »
« Elle avait des airs de filles que l'on voit dans les magazines. Les mannequins qui sont semblables à des poupées de porcelaine. Peau pâle, presque blanche. Lèvres rouges, scintillantes. Grands cils, noirs. Des yeux bleus, reflétant l'océan des kilomètres plus loin.
Elle avait des airs de celles quine mentent pas. De celles qui sont heureuses. Qui sourient pour devrai et qui font rire autrui juste avec un regard.
Oh, et ce regard. Oh oui, ce fameux regard. Il attendrirais n'importe quel tueur à gages récidiviste. Il ferait fondre des morceaux de glaces datant de l'aire glacière. Il pourrait réparer mon cœur en un clin d'œil si elle me regardait avec ce regard. Un battement de cils aurait suffi grâce à elle.
Mais finalement elle n'a rien de tout cela. Elle est encore plus incroyable que tout ce qui vient d'être décrit. Oui. Elle est merveilleusement elle. Elle faisait mon incommensurable joie de vivre. »
« J'aimerais lui dire que sa fille va mal, que tout va mal. Qu'au final oui, tout, mais alors absolument tout, part en couilles en ce moment.
J'aimerais lui faire comprendre que j'avais besoin de lui, pas comme d'un étranger mais comme d'un père.
Putain que ça fait mal de vivre avec le vide. De se construire avec des trous. Un mur fragile,manquant de briques dès la base. »
« Seule. là. Sur un banc.Assise ici, éloignée de tous sur un amas de bois plutôt délabré.Elle attend quelque chose. Ou même quelqu'un. On ne sait pas trop.Mais il faut dire qu'elle ne sait pas non plus exactement. Elle attend. En vain. Elle attendra toute sa triste vie sur ce morceau d'arbre mort. Où elle finira par ne faire qu'un avec cette nature que l'Homme a détruite. »
« Juste, je voudrais dire que fuir, ce n'est pas seulement partir en abandonnant lâchement tout ce que l'on avait connu jusqu'à lors. C'est également arriver quelque part ailleurs et recommencer. Avoir le courage de tout refaire du début.
Ce n'est pas seulement la fuite et la facilité. C'est également le renouvellement et la peur. »
« Les gens se transforment en monstres non pas à la vue de la lune mais bien de la thune. »
« Les morts vivants se lèvent lorsque mes rêves se stoppent et que je crève. »
« -« Tu as les cartes en mains, c'est à toi de les faire danser. »
...
Mais arrêtez ! Je ne veux pas ! Je ne veux plus jouer à votre putain de jeu qui metue ! »
« Il faut vraiment que je pense à arrêter de commencer des trucs que je ne finirais jamais. »
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Déclinaison De Douleurs En Couleurs.
PoetryJournal sous forme d'un recueil de poèmes assez sombres pour la plupart. Voici quand la vie effraie plus que la mort elle-même.