La dernière danse. [ En réécriture]

Come back. ♥

Mercredi 19 Septembre.

6h47.

Mon alarme retentit‚ saleté de réveil.

«Steven‚ éteint-le.» dis-je.

Aucune réponse. J'ouvris les yeux et me retournai. Steven n'était plus là. Je me levai déçue. Nous avions passés une bonne partie de la nuit à nous "connaître".

Je descendis les escaliers afin de prendre mon petit déjeuner.

«Maman ?!» Dis-je avec étonnement.

Ma maman était de retour‚ j'allai enfin pouvoir avoir des moments avec elle‚ j'allai en profiter un maximum car je savais qu'elle allait repartir comme d'habitude.

«Oui ma chérie‚ je suis de retour.»

Je la pris dans mes bras et nous allâmes déjeuner ensemble.

7h45

Ma mère et moi avions passés une bonne partie du déjeuner à nous raconter ces 15 derniers jours.

Je lui avait reprochée le fait qu'elle était absente le jour de mon anniversaire et que elle ne m'avait ni envoyée de SMS ou mail‚ et elle m'a promis de se rattraper.

Je filai sous la douche‚ l'eau chaude détendit mes muscles.

Après 20 minutes je sortis et pris mes vêtements dans mon dressing.

Une robe noire très près du corps arrivant à mi-cuisses avec un col en "v"‚ des collants transparents‚ un cardigan gris en laine mon favori et des bottines à talons noires.

Je me maquillai légèrement.

Eye-liner‚ mascara et baume à lèvres en guise de gloss.

Je laissai mes cheveux détachés et ils tombèrent au niveau de mes reins.

Je pris mon sac de cours‚ dis au revoir à ma mère et grimpa dans ma voiture en direction de mon lycée.

9h.

Ce jour-là je fus pile à l'heure. Je me dirigeai en direction de mon casier afin de prendre mes affaires.

Je vis Steven arriver près de moi. Manon n'était pas loin, elle nous observait avec de l'envie je dirais.

Il me tendit une fleur‚ je la pris en main mais la relâchai rapidement.

«Aie ! J'aime bien le fait que tu m'offres des roses mais essaye d'enlever les épines la prochaine fois.» Lui dis-je en essayant de ramasser la rose tant bien que mal.

Je la pris et la rangea dans mon casier.

«Je te l'ai offert avec les épines car elles sont belles mais elle pique. Tout comme toi.» Me dit-il en caressant ma joue.