La journée fut longue la semaine aussi d'ailleurs, je me sentais terriblement seul, mes seuls phrases de la journée était bonjour, oui, non, et ceux à n'importe quel question. On a déjà dut vous expliquer que quelqu'un de triste répondras toujours oui à là questions "sa va?" C'est se que j'aurais fait aussi ... si on m'avait poser cette questions ne serais-se que une seul fois, et malheureusement sa n'avait jamais été le cas. Ce vendredi soir soir la je rentrais chez ma mère avec la satisfaction de pouvoir me renfermer à double tour dans ma chambres tout le week-end et de n'en ressortir que le lundi matin pour retourner en cours. Mais sa ne sais pas passer comme sa. Je sortis du bus avec mes écouteurs dans les oreilles, j'écoutais alors les 4 saisons d'un musicien que vous devez tous connaître. Je traversais la route s'en regarder si une voiture arrivait d'un coter ou de l'autre, puis là je vois tout noir, je n'entends plus rien, ne bouge plus et ne me souviens de rien, la seul chose que je sais .. c'est que je n'ai jamais finir de traverser la route. Je me réveil alerter par des "bip" régulier. J'avais un masque de respiration et une perfusion d'en Le Bras. Je voyais encore trouble alors je ne distingue pas très bien la personne qui dort sur la chaise à coter de mon lit d'hôpital. Et oui j'étais à l'hôpital. Après quelques minute de réveille j'arrive enfin à voir qui est en face de moi, c'est ma mère. Elle se réveille alerter par les frottements des drapz, elle se lève d'un bond à la vue de mon réveille et cria dans les couloirs qu'il me fallait une infirmière au plus vite. J'étais heureuse de voir ma mère mais cela n'a pas durer longtemps, elle commença:
- ma puce ... comment tu te sens ?
-j'ai mal sur le coter de la tête et à la jambe aussi. J'ai dormit combien de temps ? Et pourquoi ?
Elle hésita puis se lança :
- tu as dormir 3 jours ma puce, et tu t'est fait renverser par une voiture, tu t'en souviens ?
- non dije sèchement, qui m'a renverser ?
Je vis l'espace d'un instant de la colère mélanger à de la tristesse dans ses yeux sa réponse allait me faire très mal, je savais qui c'était juste en lisant les émotions que c'est yeux reflétait, et elle compris que je savais et s'empressa de de dire:
- Il était saoul tu sais il ne l'a pas fait exprès, il est très mal et s'en veut beaucoup !
- J'en ai rien à foutre hurlais-je , il a cas continuer à se bourrer là geul mais moi il ne me verra plus .. je suis sûr qu'il n'est pas venus me voir à l'hôpital tellement il en a rien à foutre de ma gril ce conard !
- C'est de ton père que tu parle la !! Alors tu va te calmer et parler beaucoup mieux !! Répliqua ma mère
Mais je ne voulais pas me calmer je voulais hurler pleurer insulter à la place je ne dit rien. Encore une fois je me taisais. J'interiorisais toute émotions susceptibles de déborder. J'étais blesser mon père m'avait casser la jambe et m'avait fait un traumatisme crânien .. il a faillit me tuer .. pour ne rien changer ...

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Exit
Genç KurguJe m'appelle Kenza j'ai 13 ans, et mes meilleurs amis sont le désespoir les pleurs la solitude et le noir ... pour un père qui ne m'aime pas, une nouvelle famille qui ne m'accepte pas, un frère oppressant et une soeur absente ce n'est pas ma mère q...